Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
26 août 2024 1 26 /08 /août /2024 07:00

 

Souvent éclipsé par la notoriété du débarquement en Normandie le 6 juin 1944, le débarquement en Provence du 15 août fut une opération militaire de grande importance pour la libération de la France. Cette année, son quatre-vingtième anniversaire a été célébré avec une ampleur inhabituelle.

 

La particularité de cette opération militaire est que, au contraire de la Normandie, elle fut effectuée par des troupes en majorité françaises (avec des Français métropolitains, des "Pieds Noirs" et des indigènes nord-africains). Un Poggiolais, Archange COLONNA, y participa.  

 

Né le 7 mars 1924 à Poggiolo et engagé volontaire en 1942, à 18 ans, Archange COLONNA eut une valeureuse carrière militaire. Il participa aux campagnes de Tunisie et d'Italie. Il débarqua à La Croix-Valmer en août 1944. Il fut blessé au plateau d'Onans puis au col de Chedesdray, près de Belfort.

 

Grand invalide, mutilé de guerre, il était titulaire de la médaille militaire, de la croix de guerre avec étoile d'argent et à la médaille de la valeur militaire avec étoiles d'argent et de bronze. En mars 2009, le titre de chevalier de la Légion d'Honneur lui fut attribué à titre militaire.

 

Il s'installa à Poggiolo au début des années 1980 après une importante carrière professionnelle, notamment dans la Police Nationale où il devint commissaire.

 

Décédé le 12 août 2013, il repose au cimetière d'Orto d'où son épouse Jeanne PAOLI (1923-2014) était originaire

 

Archange Colonna devant son four en 1987 (photo Paul Vincetti).

Archange Colonna devant son four en 1987 (photo Paul Vincetti).

Partager cet article
Repost0
25 août 2024 7 25 /08 /août /2024 08:30

 

La libération de Paris en août 1944, il y a quatre-vingts ans, si elle fut un grand événement dans l'histoire de la France, constitua aussi un moment important pour une famille poggiolaise.

 

Le 24 août, les premiers éléments de la 2e DB (division blindée) du général LECLERC entrèrent à Paris. Le 25, la capitulation allemande fut signée et le général de GAULLE prononça son discours à l'Hôtel de Ville. Le  26, ce fut la descente des Champs-Elysées et la messe à Notre-Dame.

 

Ce jour-là, plusieurs chars français firent halte sous un pont de chemin de fer dans la banlieue pavillonnaire d'Épinay et de Saint-Denis.

 

La population du quartier vint les féliciter et leur parler. Jean-Baptiste PAOLI (1896-1993) et son épouse Françoise (1902-1996), d'origine poggiolaise, ayant appris que les équipages des blindés comprenaient des Corses, en invitèrent à manger chez eux. C'est ainsi que Pascal VECCHI (1925-2008) fit connaissance de leur fille Julie (1923-2011) et que débuta une idylle d'où naquit Hélène en 1947.

 

80 ans de la Libération et d'une belle histoire d'amour

 

Pascal avait à peine 18 ans quand la Corse fut libérée de l'occupant en septembre 1943 et qu'il força son père à accepter qu'il s'engage dans l'armée.

 

Mais regardons le texte lu par son gendre Philippe DUBREUIL lors de ses obsèques dans l’église de Poggiolo le 13 août 2008 :

 

 

«C'était un homme qui aimait la vie et ses amis étaient nombreux, un homme qui aimait sa famille, un homme qui aimait son village et le village le lui rendait bien. Un homme qui aimait la Corse, Vero où il est né, Sari d'Orcino où il a vécu, Poggiolo qu'il avait adopté. Mais au-delà de ce que chacun voyait et croyait savoir, il y avait en lui un autre personnage, un homme de conviction. Il parlait peu en effet de ces mois sombres mais aussi lumineux de sa vie.

À 18 ans, il s'est engagé à l'automne 1943 et a entamé un long périple qui l'a mené en Afrique du Nord à Koufra, au large de l'Amérique puis en Angleterre. C'est là que s'est préparé avec des milliers de compagnons d'armes ce moment tant attendu de libérer la France occupée.

Il débarque en juillet 44 en Normandie et est engagé au combat sur la poche de Falaise puis de Royan. Avec l'armée Leclerc, sa 2e DB, il fait son entrée le 24 août 1944 dans Paris où il rencontre sa future épouse Julie. Il poursuivra sa route jusqu'au nid d'aigle d'Adolf Hitler à Berchtesgaden. Son courage, son engagement ont été récompensés par de nombreuses distinctions et médailles à titre militaire (Croix de guerre 1939-1945 et American Legion) ainsi que des citations à l'ordre de l'armée. (…)

C'était cela Pascal, il était exubérant mais aussi secret, courageux, épris de liberté, amoureux de sa Corse et de son pays, un exemple pour les jeunes de demain».

 

Ainsi que l’écrivit J-M F, le correspondant de «Corse-Matin», «C'était de tout cela que témoignaient les deux drapeaux recouvrant son cercueil, le drapeau corse et le drapeau tricolore.»

 

Partager cet article
Repost0
9 août 2024 5 09 /08 /août /2024 07:00

 

Avant sa présentation au village le 16 août, vous pouvez voir ici la première page de couverture de "I nostri antichi di U Pighjolu". 

Quelques renseignements sur le livre

 

Parmi ses 100 pages, ce livre contient de nombreuses photos qui, des années 1880 à la fin des années 1970, montrent les Poggiolais dans leur village, au service militaire ou dans les colonies, pendant des fêtes religieuses ou pendant leur vie quotidienne.

 

Certains personnages ont été identifiés, d'autres pas mais leurs descendants pourront certainement le faire.

 

Quelques renseignements sur le livre
Quelques renseignements sur le livre
Quelques renseignements sur le livre

 

 

Dans les premières pages, le projet est présenté par des textes de Philippe PRINCE-DEMARTINI, Michel FRANCESCHETTI, Hélène DUBREUIL-VECCHI, sans oublier le mot du maire Jean-Laurent PINELLI.

 

Une "Histoire abrégée du village avant 1914", écrite par François-Xavier PAOLI, a été reprise.

 

Pour terminer, deux arbres généalogiques à remplir (un pour le côté paternel et un pour le côté maternel) sont proposés au lecteur.

 

Quelques renseignements sur le livre

 

Le livre sera présenté le 16 août à Poggiolo, à l'issue de la procession, et vendu au prix de 11 euros.

 

Il peut également être commandé par internet en suivant le lien:

Partager cet article
Repost0
3 août 2024 6 03 /08 /août /2024 12:14

 

Moins médiatisé que les 80 ans de la Libération, l'anniversaire du déclenchement de la Première Guerre Mondiale ne doit pas être oublié.

 

Le 3 août 1914, l'Allemagne déclarait la guerre à la France. La dévastation de l'Europe commençait.

 

Les hommes de Poggiolo et de Guagno-les-Bains firent leur devoir. Trente, dont les noms sont gravés sur le monument aux morts de la commune, y laissèrent leur vie. Cent dix-huit participèrent d'une façon ou de l'autre à ce conflit.

 

 

Jean-Antoine FRANCESCHETTI et Jean-Baptiste PAOLI en 1918.

Jean-Antoine FRANCESCHETTI et Jean-Baptiste PAOLI en 1918.

 

Leurs 118 notices biographiques, classées par ordre alphabétique, sont disponibles sur ce blog à l'adresse http://poggiolo.over-blog.fr/tag/guerre%2014-18/

 

Les photos de certains d'entre eux se retrouvent dans le livre "I nostri antichi di U Pighjolu" qui sera présenté le 16 août prochain. 

Partager cet article
Repost0
20 juillet 2024 6 20 /07 /juillet /2024 07:00

 

L'importance de Jean-Martin FRANCESCHETTI dans l'histoire du sport marseillais a été évoquée par l'article précédent présentant la publication de «Marseille ville sportive: histoires des lieux et des hommes» par le Comité du Vieux Marseille.

 

Cet ouvrage est abondamment illustré. Toutefois, nous vous présentons ici des documents qui ne sont pas dans ce livre.

 

Tout d'abord, deux cartes de membre de l'Olympique de Marseille datant de 1953 et 1955 qui indiquent que le Poggiolais faisait partie du comité directeur du club et en était même le trésorier.

 

A cette époque, l'OM avait réussi à se qualifier en finale de la Coupe de France de football mais fut battu par l'OGC Nice le 23 mai 1954 (2 buts à 1).

 

Jean-Martin Franceschetti le sportif (compléments)

 

Plus ancienne, cette licence de basket-ball, année 1947-1948.

 

Jean-Martin Franceschetti le sportif (compléments)

 

Le club mentionné, l'ASSS, était l'Association Sportive de la Sécurité Sociale que Jean-Martin transforma en CSMT (Cercle Sportif du Ministère du Travail) en 1956, club qui comprenait également volley et hand-ball, et dont il fut longtemps secrétaire général.

 

Son siège fut situé plusieurs années à la direction régionale de la Sécurité Sociale, au 102 rue Sylvabelle, dans le 6ème arrondissement de Marseille, où J-M FRANCESCHETTI travaillait.

 

 

C'est de cette même année 1947-1948 que date la photo suivante qui présente la section féminine de basket de l'ASSS. 

 

Jean-Martin Franceschetti le sportif (compléments)

Jean-Martin est accroupi à droite. Derrière lui, la joueuse de droite, portant le numéro 6, était Marie QUAIRÉ, qui travaillait dans le même bureau.

 

Ils se marièrent en janvier 1949 et eurent trois enfants bien connus à Poggiolo: Michel, Monique et Marie-Claude.

Jean-Martin Franceschetti le sportif (compléments)
Partager cet article
Repost0
16 juillet 2024 2 16 /07 /juillet /2024 07:00

 

La déception a touché certains de nos lecteurs en regardant l'article sur la visite de la mairie de Poggiolo: la qualité technique de la photo des élèves de l'école du village en 1900 n'est pas excellente.

 

Angèle et Suzanne ont-elles été censurées?

 

En dehors du reflet de la porte d'entrée sur le côté gauche, des visages de filles, entourés de rouge ci-dessus, sont tachés et méconnaissables.

 

L'humidité en est responsable. Elle avait commencé ses méfaits lors de la parution, en 2010, de l'article qui présentait ce document exceptionnel. Mais on a pu reconstituer les visages cachés.

 

Angèle et Suzanne ont-elles été censurées?

 

Les numéros correspondent à ceux indiqués sur la notice explicative qui donne les identités des élèves, avec parfois des dates de naissance et de décès incomplètes:

25: MARTINI Angèle (29/2/1892 - ?)

26: FRANCESCHETTI Thérésine-Marguerite (29/3/1889 - 2/2/1968)

27: FRANCESCHETTI Marie-Françoise (15/12/1896 - 26/11/1987)

28: DESANTI Marie-Célestine (8/8/1890 - 10/9/1971)

46: PINELLI Suzanne (? - ?)

Qui pourrait donner des renseignements sur la vie d'Angèle et de Suzanne?

 

La photo restaurée se trouve dans "I nostri antichi di U Pighjolu", livre de photos anciennes qui va sortir très prochainement et qui sera l'événement de l'été.

 

Partager cet article
Repost0
11 avril 2024 4 11 /04 /avril /2024 18:00

 

Il était 5 h 25, ce matin du 13 avril 1934, quand une tête roula dans le panier de la guillotine placée devant les portes de la maison d'arrêt de Bastia.

 

Jean-Baptiste TORRE était puni pour ses crimes qui avaient eu un grand retentissement en Corse et sur le continent.

 

Né à Lopigna en 1909, Jean-Baptiste TORRE déserta du 6e régiment colonial au Maroc en juillet 1930, alors qu'il devait comparaître pour une agression. Il prit le maquis avec  son oncle François CAVIGLIOLI. Le 20 octobre 1930, il commit son premier meurtre. Le 17 août 1931, il participa à l'agression de Guagno-les-Bains.
 

Publicité parue dans "La Corse touristique" en 1926.

Publicité parue dans "La Corse touristique" en 1926.

 

Avec François CAVIGLIOLI et son cousin Toussaint CAVIGLIOLI, il avait investi le village de Guagno-les-Bains pour racketter les commerçants. Mais le gérant de l'établissement thermal ne s'était pas laissé faire et un coup de feu tiré par Jean-Baptiste TORRE tua Antoine GUAGNO, garagiste ajaccien venu en cure.

 

Cet attentat servit de prétexte à l'expédition militaro-policière montée pour supprimer le banditisme corse en novembre 1931 (voir ICI).

 

Trois mois plus tard, le 2 novembre 1931, lors de la fusillade de Balogna, pendant laquelle François CAVIGLIOLI fut tué, Jean-Baptiste abattit le maréchal des logis TOMI et le gendarme KLEIN, et blessa grièvement le lieutenant NEUVEGLISE et le gendarme SOYER.

 

Mort de François Caviglioli vue par la presse parisienne.

Mort de François Caviglioli vue par la presse parisienne.

En haut, les deux gendarmes tués. En bas, les deux blessés.

En haut, les deux gendarmes tués. En bas, les deux blessés.

 

Il s'enfuit mais fut finalement pris à Muna le 11 février 1932 (voir11 février 1932: Torre rattrapé à Muna).

 

Les Assises de Corse, qui le jugèrent en novembre 1933 en même temps que Toussaint CAVIGLIOLI, le condamnèrent à la peine capitale, peine exécutée voici 90 ans.

 

J-B Torre et Toussaint Caviglioli.

J-B Torre et Toussaint Caviglioli.

Les derniers moments de Jean-Baptiste Torre racontés par "Le Petit Journal".

Les derniers moments de Jean-Baptiste Torre racontés par "Le Petit Journal".

Partager cet article
Repost0
23 mars 2024 6 23 /03 /mars /2024 18:00

 

 

Après avoir décrit les anciens moulins construits sur la rivière (voir l'article Autrefois, la rivière permettait d'avoir la farine et les pipes), Xavier PAOLI, dans le texte fourni au Blog des Poggiolais, ajoutait quelques souvenirs d'enfance sur ces lieux:

 

"Certains d’entre nous (de moins en moins nombreux) se souviendront que, il y a largement plus de cinquante ans [ce texte a une douzaine d'années], après la baignade au « LAVU A E CONCHE », se disputaient sur ce « PIANU A U FANGO », seul espace assez vaste, d’acharnées parties de football.

A l’époque, on y distinguait encore très nettement le canal d’amenée d’eau (« A madre ») construit avec de gros blocs agencés avec soin et qui ménageait une pente suffisante permettant aussi l’irrigation des jardins en terrasses qui jouxtaient la rivière."

Xavier Paoli

On jouait au football près de la rivière

 

Sur cette carte, le terrain représenté par le croquis de Xavier sur les moulins est circonscrit par un trait rouge. L’espace plat permettant de jouer au football est représenté par la distance séparant la rivière (d’altitude 460 mètres) et la courbe de niveau des 470 mètres.

Ces lieux servirent également à la génération suivante, dans les années 1960-1970. 

Pour arriver à ce lieu depuis Poggiolo, il faut bifurquer depuis le sentier joignant le village à Guagno et dont le point de départ principal est près du Fragnu, là où une barrière et une pancarte ont été installées voici quelques années (et qui ont été bien dégradées depuis que ces photos ont été prises).

 

LES MOULINS POGGIOLAIS
LES MOULINS POGGIOLAIS

 

 

Partager cet article
Repost0
11 mars 2024 1 11 /03 /mars /2024 08:00

 

Plusieurs lecteurs ont montré leur intérêt à la publication des dix premières notices biographiques des Poggiolais ayant participé à la Première Guerre Mondiale.

 

Certains ont trouvé des renseignements sur leurs grands-parents. D'autres ont suggéré de montrer plus clairement les liens familiaux entre ces soldats et les familles actuelles.

 

Enfin, Jean Toussaint ARNAUD, de Guagno-les-Bains, nous a signalé deux oublis: son grand-oncle François, né en 1889, et son grand-père Jean-André, né en 1886, qui furent rappelés sous les drapeaux en août 1914, dès le début du conflit.

 

L'erreur est réparée et vous allez pouvoir lire leurs deux fiches. Elles sont numérotées 2b et 2c car, dans l'ordre alphabétique, elles doivent s'intercaler entre la fiche 2 (ANTONINI Pierre Toussaint) et la fiche 3 (ARRIGHI Jean-Baptiste).

 

Aujourd'hui, ce sera François ARNAUD. Demain sera le tour de Jean-André.

------------------

 

2b-ARNAUD François

 

Né le 26 décembre 1889 – Décédé en 1940 à Serriera.

Parents : Jean ARNAUD, fabricant de pipes à Guagno-les-Bains, et Rosine FERRARI.

Frère de Jean André (fiche 2c) ainsi que de Marguerite et Anne, épouses de Jean-François CECCALDI (fiche 12).

1,75 m.

Scieur de pipes dans l’entreprise de son père à Guagno-les-Bains.

Incorporé le 8 octobre 1910 au 3e régiment d’infanterie, devient chargeur de la section de mitrailleuses.

Libéré le 25 septembre 1912.

Rappelé au 173e RI le 1er août 1914.

Blessé d’une balle dans l’avant-bras gauche, est fait prisonnier le 20 août 1914 à Dieuze (Moselle), le même jour et au même endroit que Joseph BARTOLANI (fiche 6), Jean-Baptiste FRANCESCHETTI (fiche 51) et François Antoine LECA (fiche 54).

Interné à Landsberg-sur-Lech (Bavière). Il a reconnu un enfant né d’une Allemande en 1918.

Rapatrié le 17 décembre 1918.

Marié le 14 février 1933 à Poggiolo avec Marie Dominique FRANCHI, née en 1905 à Serriera et décédée en 1990 à Ajaccio.

De leur union, est né Jean ARNAUD (1934-2002).

 

 

Prisonniers français en août 1914.

Prisonniers français en août 1914.

Toutes les fiches des Poggiolais en 14-18 sont accessibles par le lien 

http://poggiolo.over-blog.fr/tag/guerre%2014-18/

Partager cet article
Repost0
29 février 2024 4 29 /02 /février /2024 18:00

 

2024 est l'année du 110ème anniversaire du déclenchement de la première guerre mondiale en août 1914.

 

Ce conflit, d'une ampleur inconnue jusque-là, provoqua de grands massacres et traumatisa la population européenne.

 

Poggiolo, comme toute la France, y participa avec la mobilisation de ses jeunes. Si trente d'entre eux ont leurs noms inscrits sur le monument aux morts du village, beaucoup revinrent blessés, mutilés, fortement marqués psychologiquement. Leurs vies en furent bouleversées.

 

Faisons connaissance avec les 112 Poggiolais de 1914-1918

 

Au total, 112 Poggiolais de toutes les familles furent directement touchés par cette guerre.

 

Ils ne doivent pas être oubliés. Ils font partie de notre mémoire collective.

 

Dans ce but, ce blog va publier les 112 fiches biographiques de ces ancêtres qui ont connu l'épreuve de 14-18.

 

A partir du 1er mars, une fiche sera postée chaque jour en suivant l'ordre alphabétique (d'ANTONINI Louis-Antoine à VINCIGUERRA Toussaint), si possible illustrée d'une photo. La parution se fera à 8 heures du matin.

 

Les autres articles habituels resteront édités à 18 heures, tous les deux jours en principe.

 

Notez bien que, quand il s'agit de Poggiolo, le lieu de naissance ou de décès n'est pas indiqué. Pour les trente morts pour la France, l'endroit de leur mort se trouve dans le texte de la fiche.

 

Si vous remarquez des erreurs ou des oublis, n'hésitez pas à nous le faire savoir.

 

 

Toutes les fiches des Poggiolais en 14-18 sont accessibles par le lien 

http://poggiolo.over-blog.fr/tag/guerre%2014-18/

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog des Poggiolais
  • : blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù). Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
  • Contact

Qu'est-ce que ce blog?

Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité.
POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici.
Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO.
Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images.
Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).

Recherche

Le calendrier poggiolais

 

 

-----------------------------------------

Carnaval de Sorru in Sù

Samedi 26 avril: départ des chars à 16 h devant le FAM de Guagno-les-Bains.

------------------------------------------

L'album de photos des Poggiolais:

Pour le commander, suivre le lien:

https://www.collectiondesphotographes.com/i-nostri-antichi-di-u-pighjolu-de-philippe-prince-demartini.html

 

-----------------

Votre ancêtre a participé à la guerre de 1914-1918?

Envoyez une photo de lui à l'adresse larouman@gmail.com

Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.

..............

Vacances de Pâques:

du samedi 12 avril au lundi 28 avril.

Vacances d'été:

samedi 5 juillet.

--------------------

 

 

La météo poggiolaise

Pour tout savoir sur le temps qu'il fait et qu'il va faire à Poggiolo, cliquez sur LE BULLETIN METEO

POGGIOLO SUR FACEBOOK

Les articles du blog se trouvent sur la page Facebook du groupe Guagno-les-Bains Poggiolo.