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31 octobre 2015 6 31 /10 /octobre /2015 16:04

Toutes nos condoléances aux familles Lagrange et Pinelli.

Guagno-les-Bains en deuil
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29 octobre 2015 4 29 /10 /octobre /2015 18:00

L’article «Mimi, Jules-Antoine, Casalta. Un document inédit sur les commerçants disparus», récemment publié, évoquait les commerçants qui passaient dans les villages pour proposer leurs produits. Ils étaient très attendus, à commencer par les boulangers, puis les épiciers et bouchers. Avec eux, les conversations allaient bon train et les informations circulaient rapidement entre clientes (seules les femmes faisaient les courses) et marchands.

Mais on ne voulait pas acheter n’importe quoi et la méfiance pouvait être de mise. Du moins, c’est l’impression qui ressort de cette photo prise par Jacques-Antoine MARTINI en août 1968. 

Cliquer sur la photo pour l'agrandir.

Cliquer sur la photo pour l'agrandir.

Bras croisés, les Poggiolaises regardent les piles de draps et écoutent les arguments du bonimenteur (peut-être GRIFFONI puisque ce sont des produits textiles) installé comme toujours à l’angle de la route et de la Stretta.

Les Poggiolais sont encore nombreux à pouvoir identifier ces personnes, y compris les deux copines (Rosine FRANCESCHETTI et Françoise PAOLI) qui, à gauche, bavardent sans s’occuper de la marchandise.

 

 

P.S. 1: cette photo a déjà été utilisée, sur le mode humoristique, en mai 2009 dans l’article intitulé «Clin d'œil: féminisme poggiolais».

P.S. 2: on peut voir derrière le groupe une inscription peinte sur une maison. Elle a été expliquée en mars 2010 dans l’article : «Un tag ésotérique».

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 18:00

Depuis son décès, le 28 octobre 2014 , Mimi CANALE vit toujours dans le cœur de ceux qui l’ont connu. Mais, pour GOOGLE, il est toujours visiblement présent à Guagno-les-Bains.

Pour s’en rendre compte, il suffit de demander à son ordinateur d’aller sur l’application Google Maps qui  est si utile pour préparer des itinéraires. Il faut ensuite faire glisser le bonhomme jaune de Street View sur le village des Bains. Street View permet de montrer ce que peut observer un automobiliste ou un piéton passant sur la route.

Or, en étant placé devant l’ancienne épicerie, devenue maintenant PROXI, on peut facilement distinguer un personnage dans le jardin.

Mimi est toujours avec nous

En s’approchant et en agrandissant la photo, le doute n’est plus possible:

Mimi est bien là !

Mimi est toujours avec nous
Mimi est toujours avec nous

Ce n’est pas un fantôme. Il n’y a pas là de phénomène surnaturel.

Simplement, Google n’a pas remis à jour ses vues photographiques. L’inscription «Données cartographiques ©2015 Google», placée en bas et à droite des images produites par ce système, peut faire croire que ces images sont récentes.

En réalité, les routes de Sorru in Sù n’ont été photographiées qu’une seule fois, en novembre 2008. La preuve en est déjà fournie par le fait que la photo ne montre pas que l’épicerie a été remplacée par Proxi. Un élément plus précis se trouve en allant regarder les images de l’entrée de Poggiolo. Un calicot est installé à la hauteur de la salle des fêtes et de la maison Tramini, et il annonce le marché de Noël du 30 novembre 2008 !

Cette absence de mise à jour avait déjà été signalée par le Blog des Poggiolais dans l’article du 28 septembre 2010 intitulé « Nos villages sur internet »

http://poggiolo.over-blog.fr/article-nos-villages-sur-internet-57621504.html

 

Après tout, tant mieux, car ainsi Mimi est toujours présent dans le jardin qu’il aimait tant et il peut être vu par tous ceux qui utilisent internet pour connaître Guagno-les-Bains.

 

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25 octobre 2015 7 25 /10 /octobre /2015 18:00

Le groupe musical qui connaît un succès grandissant en Corse est Sirocko. Sa réputation déborde sur le continent. Après avoir joué à Aix-en-Provence, il va animer trois grandes soirées à Marseille. Les 29, 30 et 31 octobre, il se produira au Palais de la Major, établissement de qualité qui allie restaurant et boîte de nuit dans le quartier de la Joliette.

PASCAL BUTEAU FAIT SOUFFLER LE SIROCKO TOUTE L'ANNÉE.

Pour mieux connaître ce trio de musiciens et chanteurs, nous reproduisons l’entretien publié à la fois dans «Inseme» du mois d’octobre et dans «Corse-Matin».

 

Par quel miracle trois quasi-quadragénaires encravatés, jouant des musiques corses traditionnelles ou du Brassens, ont-ils réussi tout l'été à embraser les pistes de danse, suivis par un fan-club de fidèles déchainés? Grâce au talent bien évidemment, couplé de professionnalisme et d'un petit brin de folie. Ce trio s'appelle Sirocko, derrière lequel se cachent le Socciais Pascal Buteau, et les frères François et André Paoli, dont le père n'est autre que Xavier Paoli, directeur de l'école de musique d'Ajaccio.

 

Rencontre avec Pascal Buteau de repos quelques jours dans son village avant d'entamer une saison d'hiver qui s'annonce très active. Avant la formation actuelle, Sirocko existait et se produisait déjà dans le canton depuis quelques années.

 

Pascal Buteau : En 2002 avec mon frère Jean-Claude et cinq copains de Sagone nous avions formé un premier groupe pour s'amuser, et on faisait quelques dates l'été dans les restaurants. Certains n'étaient même pas musiciens mais se mettaient à la guitare basse car il fallait un bassiste. Notre répertoire était très rock et nous avons progressé en même temps. Il y avait notamment Francis Rezoali qui a joué trois ans avec nous et a fait ensuite une tournée avec I Muvrini.

Et puis j'ai fait cette rencontre avec François et André Paoli qui a été décisive. Nous animions des soirées ensemble et j'ai pris énormément de plaisir à jouer avec eux. Ce sont de vrais professionnels. Il faut dire qu'André a créé le jazz band de Corse que beaucoup de gens allaient écouter le lundi au kiosque de la place du Diamant, et qu'il est également le batteur du Big Band de Monaco avec lequel il fait des tournées internationales. Quant à François, qui est prof au conservatoire d'Ajaccio, il a quand même initié Paul Mancini au saxo.

Je vendais des piscines depuis 13 ans et j'ai vendu ma société pour faire de la musique mon activité principale.

 

PC :Quand on est trois sur scène à interpréter des reprises, comment se font les choix de programmation, d'arrangements ... et de look?

 

PB : Le look est le fruit du hasard. Un jour le Hussard nous appelle à 15h car un groupe s'était désisté pour animer le soir même la soirée du conseil d'administration d'une banque. On s'est dit qu'il fallait arriver «un peu classe», c'est-à-dire avec des chemises blanches et des cravates noires. En fin de soirée, le patron nous a complimentés car c'était la première fois qu'il voyait des musiciens habillés avec une tenue de scène identique. Mais ceux qui savaient que j'avais travaillé un temps dans les pompes funèbres nous ont baptisés «les Pichett's boys» pour nous «magagner». Il a suffi de mettre une cravate rose à la place de la noire, de la dénouer un peu, et la tenue est restée.

Quant aux choix musicaux, j'ai compris après avoir joué du rock pendant longtemps pour me faire plaisir, qu'il ne fallait pas jouer ce dont tu avais envie, mais ce qui amusait les gens. Avec François aux claviers, André à la batterie, et moi-même à la guitare et au chant, toutes les chansons qu'on reprend ont des arrangements très dansants et festifs. D'ailleurs, je n'oublierai jamais la tête de mon oncle Ceccè (Buteau du groupe Canta U Populu Corsu) la première fois qu'il nous entendu interpréter «Compagnero» en version rock. Il avait un peu fait la grimace mais, aujourd'hui, il ne la trouve pas si mal ainsi. Mais notre chanson-référence reste "l'Orage" de Brassens, que tous les jeunes du canton auto-baptisés «la team de rêve» réclament à chaque concert pour danser dessus.

Nous avons environ 180 chansons au répertoire, et sommes conditionnés pour faire un show de 3 heures sans jamais de blanc. François et moi avons juste deux Ipad synchronisés qui donnent les paroles, la partition, et indiquent la tonalité. On répète chaque soir 3 ou 4 chansons pendant les réglages, mais François et André sont tellement bons que, si j'ajoute une nouvelle chanson pendant le concert, ils s'adaptent et enchainent à la perfection.

 

PC : Quels sont vos projets ? Etre plus connus, faire un disque, une tournée plus loin que dans la région ajaccienne ?

 

PB : Pour être connus, il faut s'exporter. J'ai demandé à une amie de Porto-Vecchio, Cécile Colonna Cesari, de me trouver des dates là-bas, mais c'est un milieu très fermé, sauf si quelqu'un te présente pour t'introduire. Elle nous a fait faire 12 dates à Porto-Vecchio, et les patrons d'établissements l'ont remerciée d'avoir insisté pour nous faire jouer. Elle gère notre planning entièrement, et nous a fait jouer aussi à Calvi et Ile-Rousse. Aujourd'hui elle aussi a tout quitté pour devenir notre agent, et s'occupe également de Jean-Charles Papi.

Pour l'heure, nous venons de signer un contrat avec le cabaret «Le son des guitares» à Marseille dont le patron travaille souvent avec des groupes corses. Nous nous y produirons deux semaines par mois, du mercredi au samedi, jusqu'à fin décembre.

 

 

Recueilli par Pascale Chauveau

 

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23 octobre 2015 5 23 /10 /octobre /2015 18:14

CÉRÉMONIES DE TOUSSAINT ET DES DÉFUNTS:

Samedi 31 octobre: messe à POGGIOLO à 15h, suivie de la bénédiction du cimetière.

Bénédiction du cimetière de GUAGNO-LES-BAINS à 16h30.

 

Poggiolo n'oublie pas les fêtes de Toussaint
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21 octobre 2015 3 21 /10 /octobre /2015 08:56

Toutes nos condoléances.

Un décès à Guagno-les-Bains
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20 octobre 2015 2 20 /10 /octobre /2015 17:55

Ouvert depuis plusieurs mois, le magasin Super U de Sagone a été inauguré officiellement le 9 octobre. Pour l’occasion, Serge PAPIN, PDG de Système U, avait fait le déplacement.

Même si ce supermarché est conçu comme un élément de la lutte actuelle entre U et Auchan contre Leclerc, ainsi que le montre l’interview de M. PAPIN dans «Corse-Matin», ce magasin facilite la vie quotidienne des estivants et des résidents permanents des Deux Sorru.

 

On est loin des commerçants ambulants qui, avec leur camionnette aménagée, allaient de village en village proposer leurs produits à une population plus nombreuse et qui avait peu de voitures. On a pu compter que, voici cinquante ans, en 1965, le parc automobile poggiolais ne dépassait pas douze voitures l’été, vacanciers compris.

Il fallait se mettre en embuscade près de la route et tendre l’oreille pour écouter les coups de klaxon qui annonçaient l’arrivée proche du marchand. Comme les heures de passage n’étaient jamais tout à fait les mêmes, on s’inquiétait d’avoir râté l’un ou l’autre. On pouvait ainsi entendre des questions comme : «As-tu entendu si Jules-Antoine est passé?».

Il faut connaître ce contexte pour comprendre l’intérêt d’un document qui a été retrouvé par Rose-Marie CHABROLLE.

Sur une feuille de papier préparée par son père, le docteur BARTOLI, les jours de passage des commerçants sont marqués avec leurs noms (Mimi CANALE, CASALTA, JULES-ANTOINE, qui étaient les principaux épiciers de l’époque) ou leurs spécialités (pain, légumes, viande). Cet aide-mémoire date du début des années 70, certainement entre 1972 et 1975. Il a été complété en 1990 par d’autres membres de la famille (encre plus fine).

Cliquez sur la photo pour l'agrandir.

Mimi, Jules-Antoine, Casalta. Un document inédit sur les commerçants disparus.

Il n’existait pas seulement le commerce alimentaire. Ce document ne mentionne pas GRIFFONI. Chaque mardi après-midi, ce Vicolais venait proposer du prêt-à-porter, des vêtements de travail, des maillots de bain, des chaussures…

Sa boutique était située à l’entrée de Vico, en face de la pharmacie, remplacée maintenant par l’étude notariale Alexandre. Maintenant fermée, elle devait voir s’implanter le nouveau bureau de Poste mais le projet semble avoir été abandonné (voir article du 27 novembre 2012 : http://poggiolo.over-blog.fr/article-la-poste-fait-peau-neuve-112436267.html).

Mimi, Jules-Antoine, Casalta. Un document inédit sur les commerçants disparus.

Déjà, après 1970, la voiture particulière s’était largement développée et une part grandissante des courses se prenait directement dans les magasins. Le mouvement n’a fait que s’amplifier et il est devenu normal de parcourir plusieurs kilomètres pour n’importe quel achat.

Mais bien des services sont rendus par le Proxi de Jean-Marc à Guagno-les-Bains et par les passages de Pierrette et de Marie-Jo.

Il faut les remercier, les commerçants d'aujourd'hui comme ceux d'hier.

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18 octobre 2015 7 18 /10 /octobre /2015 18:20

Pour mieux connaître l’œuvre de Maistrale, voici deux enregistrements de ses plus grands succès (en dehors de «A canzone di u cuccu» présentée la dernière fois).

 

 

- "Sirinata à i sposi" par Tavagna :

- "U lamentu di u banditu" par Tino ROSSI

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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 18:08

Le style très plaisant du poème « Una prucissione in Soccia », publié ces jours derniers sur ce blog, est caractéristique de Dumenicu Antoniu VERSINI, journaliste et écrivain qui fut surnommé « le barde corse » et eut un prestige immense dans la première moitié du XXème siècle.

MAISTRALE de Marignana (et de Poggiolo ?)

Né à Marignana le 25 décembre 1872, il fit ses études au lycée de Bastia. Puis, il fut employé d’octroi à Marseille (il habitait 5 rue Jean Martin, dans le quartier Saint Pierre) et instituteur avant de vivre de ses publications.

Il paraît qu'il adopta le pseudonyme de MAISTRALE à la mort du poète Frédéric MISTRAL. Comme ce dernier l’avait fait pour la langue provençale, il combattit toute sa vie pour la langue corse.

Il fonda le journal « A Corsica », sous-titré « Muzzicone di jurnale di i Corsi a u Fronte », rédigé entièrement en langue corse, et distribué gratuitement aux soldats corses dans les tranchées pendant la Première Guerre Mondiale.

Des renseignements sur ce journal se trouvent à l'adresse:

http://data.over-blog-kiwi.com/0/96/48/01/20140313/ob_4b3758_26-31-acorsica-v3.pdf

MAISTRALE de Marignana (et de Poggiolo ?)

MAISTRALE fonda l'Academia Corsa en 1921 et collabora au journal "A Muvra". En 1922, il devint membre du Partitu corsu d'Azzione de Petru Rocca qui représentait l’autonomisme. En 1928, quand ce parti se rapprocha de l’Italie fasciste, il s’en retira.

Esprit vif, il eut une œuvre abondante et diverse, en prose et en vers. Il publia jusqu’à la guerre «l’Almanaccu di Maistrale». Il écrivit des lamenti («Lamentu di u Banditu»), des sirinati («U Sirinatu à i sposi»), des textes satiriques… Son plus grand succès fut peut-être «A CANZONA DI U CUCCU», magnifique ode à la Nature naissante, qui fut rapidement enregistrée sur disque et est toujours chantée.

Une version en vidéo en est présentée à la fin de cet article.  

Dumenicu Antoniu VERSINI était très attaché à son village d’origine auquel il consacra le poème «Marignana».

Mais il connaissait bien les Deux Sorru. En plus de "Una prucissione in Soccia", il écrivit en 1932 «A Letia. San Roccu contru San Martinu».

Il ne semble pas avoir écrit sur Poggiolo, sauf dans «A Corsica» où il fit une grosse confusion entre Guagno et Guagno-les-Bains, ce qui a été remarqué dans l’article paru dans ce blog en septembre 2011 sous le titre « Attention ! Livre dangereux ! » .

Il était pourtant marié à une Poggiolaise. Il avait épousé le 12 janvier 1896, à Marignana, Marie-Thérèse LOVICHI, née le 5 septembre 1867 à Poggiolo. Elle était la fille de Giovan Paolo LOVICHI, instituteur dans notre village, et de son épouse Angela Francesca PINELLI. 

Reproduction du registre d'état-civil de Marignana.
Reproduction du registre d'état-civil de Marignana.

Reproduction du registre d'état-civil de Marignana.

Marie-Thérèse avait un frère Charles, né en 1862, qui fut sous-préfet en Algérie et dont le fils Jean mourut aux Dardanelles en 1915.

Maistrale était donc l’oncle par alliance du jeune héros poggiolais dont l’histoire a déjà été racontée ici (voir l'article "Face au tombeau d'Achille").

Il est probable qu’il ait séjourné brièvement dans la maison de la famille LOVICHI qui est maintenant celle de Xavier et Marie-Ange PAOLI.

MAISTRALE de Marignana (et de Poggiolo ?)

Dominique Antoniu et Marie-Thérèse eurent une fille, Toussainte, née en 1896. Marie-Thérèse mourut le 31 juillet 1948 à Marignana, deux ans avant le «barde de la Corse» qui décéda le 11 décembre 1950 à Ajaccio où il avait fait aménager son tombeau longtemps à l’avance.

Maistrale à côté de son propre tombeau.

Maistrale à côté de son propre tombeau.

La plus célèbre œuvre de Maistrale.

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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 18:09

Le 3 octobre, le blog avait montré une photo des flots du Fiume Grosso près du pont de Guagno-les-Bains (voir l'article: Le pont des Bains résiste au fleuve ).

 

Jean-André CANAVELLI avait filmé le même endroit ce jour-là, le 2 octobre. Il sera difficile aux estivants de reconnaître le petit cours d’eau dont ils apprécient la fraîcheur et la tranquillité en juillet et août.

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Présentation

  • : Le blog des Poggiolais
  • : blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù). Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
  • Contact

Qu'est-ce que ce blog?

Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité.
POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici.
Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO.
Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images.
Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).

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VACANCES SCOLAIRES:

du samedi 27 avril au lundi 13 mai.

Début des vacances d'été: samedi 6 juillet.

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