Toute l’équipe de Sorru in Musica est ravie de vous annoncer l’ouverture des inscriptions pour l’académie du festival, édition 2021 !
Tous les ans, une quarantaine d’élèves a la possibilité de progresser rapidement et notablement dans un cadre dynamique et inspirant. Concerts, rencontres, découvertes, mélange des cultures… Les dix jours du festival apportent une traversée artistique unique.
Vous trouverez toutes les informations nécessaires sur le site internet :
L'année dernière, Sorru in Musica était le seul festival avec une académie présente et nous vous assurons que nous comptons bien tenir nos engagements pour cette édition 2021.
L'énergie est là, au sein de TOUTE l'équipe !
Alors soyez sur les starting blocks car l'édition du 18ème festival Sorru in Musica s'annonce MÉMORABLE.
Peut-on imaginer que Philippe CERATI, l'élu marseillais d'origine guagnaise évoqué dans un article récent à l'occasion du centenaire de son décès, ait pu approuver l'idée des boîtes à livres?
Lui qui fut favorable à l'éducation populaire aurait certainement apprécié ce moyen de diffuser gratuitement la culture en déposant et en échangeant des livres déposés dans des boîtes ou des abris.
Ce qui est certain, c'est que, depuis plusieurs mois, à Marseille, unVivalLivres a été installé à un angle du boulevard de la BLANCARDE et de la rue JEAN.
Et, au même croisement, sur l'autre côté de la rue JEAN, séparé seulement par une clôture métallique, se trouve le jardin public Philippe CERATI où (pourquoi pas?) le livre emprunté peut être lu.
Plusieurs associations font la promotion des boîtes à livres où l'on peut déposer et retirer des livres gratuitement, et qui ont été présentées dans l'article précédent.
Les magasins VIVAL sont en pointe sur ce thème. Ces commerces de proximité alimentaire ont installé des boîtes à livres de leur fabrication devant leurs devantures dans plusieurs localités, comme à Ajaccio, dans les Jardins de l'Empereur (photo ci-dessous).
VivalLivres S'échanger des livres en toute convivialité ! Facebook-f L'enseigne alimentaire de proximité Vival, présente essentiellement en milieu rural, s'inscrit dans le mouvement des " petit...
A Poggiolo, même s'il n'existe pas de commerce alimentaire, il ne serait pas difficile de faire construire une boîte à livres.
Les emplacements possibles sont nombreux: devant la mairie (où était l'ancienne bibliothèque), place Saint Roch (à la place de l'ancienne cabine téléphonique), piazza Inghjo et devant le Bar du Belvédère (qui a l'avantage d'être un lieu très passant).
Vite! On peut mettre la boîte à livres en place avant l'été!
La mise en place est facile: un meuble à étagères placé à l'extérieur, dans un endroit facile d'accès.
Le fonctionnement est simple: on y dépose des livres dont on ne veut plus afin que d'autres les prennent pour les lire et déposent leurs propres bouquins.
Le procédé existe dans de nombreuses villes et dans des petites communes.
Le très bon site Villagemagazine.fr a expliqué ce moyen de convivialité et de partage de la culture dans un article signé Christine Raout et publié en novembre 2017.
La commune de Poggiolo
aura-t-elle sa boîte à livres?
Pour partager des envies de lecture, monter une bibliothèque d’appoint ou créer un espace de rencontre et rencontre et d’échange, la boîte à livres connaît un succès grandissant. Pourquoi ne pas en construire une dans votre commune ?
À Saint-Pierre-de-Frugie en Dordogne, le cantonnier a fabriqué des étagères et les premiers livres ont été déposés, issus de dons pour la bibliothèque municipale. Sans avoir affiché le mode d’emploi, les habitants se sont pris au jeu. « Dès le lendemain, d’autres livres ont été apportés, le bouche-à-oreille a fonctionné, raconte Gilbert Chabaud, le maire. La notion de partage est intéressante, ça peut amener l’amour de la lecture et c’est à la portée de tous. »
Emmanuel BONINI, originaire de Rosazia, présentera demain samedi 13 mars, à partir de 9h30, une séance de dédicace au café National de Vico.
Il est co-auteur du livre Je les ai tous vus débuter, publié aux éditions l’Archipel. Après la disparition fin 2020 de Jean-Michel Boris, ancien directeur de l’Olympia, Roger Morizet, dit Doudou, est à 91 ans le dernier témoin de la renaissance du célèbre établissement parisien. Il était celui qui accueillait les artistes, de Piaf à Aznavour, Claude François, Sylvie Vartan, Polnareff et bien d’autres.
En se confiant dans un livre coécrit avec Emmanuel Bonini, il raconte l’intime et l’inédit. Biographe d’investigation reconnu, Emmanuel Bonini apporte au récit un ton vif aux formules bien senties.
Présentation du livre:
Dalida, Hallyday, Brel, Aznavour… Roger Morizot, entré grâce à Bruno Coquatrix à l’Olympia dont il fut le régisseur principal pendant trente ans, livre des anecdotes sur les artistes qu’il a côtoyés.
Bruno Coquatrix, le directeur, me disait : « Prends des notes. Il faudra bien qu’un jour on sache ce qui s’est vraiment passé ici, les nuits blanches que nous avons vécues, la sueur et les plumes que nous avons laissées pour que les étoiles continuent de briller sur les néons de la grande façade... Écris tout ça. »
Régisseur de l’Olympia depuis sa réouverture en 1954, Roger Morizot raconte la célèbre salle de spectacle parisienne depuis les coulisses. Il y a vu les stars internationales s’y produire : Liza Minnelli, Marlene Dietrich, Joséphine Baker, Miles Davis, Frank Sinatra... Et presque toutes les vedettes hexagonales y faire leurs débuts : Aznavour, Brel, Brassens, Dalida, Claude François, Hallyday, Polnareff...
Autant de noms qui ont brillé au fronton du 28 boulevard des Capucines... mais pas toujours par leur comportement. De fait, « Doudou » distribue lauriers et coups de griffes. S’il fut le confident et l’ami de beaucoup, tels Édith Piaf, Dalida ou Jacques Brel, il n’envoie pas dire ce qu’il pense de quelques autres.
Après trente-quatre années de présence assidue, Doudou a quitté les lieux. « The show must go on ! Le spectacle n’a pas d’autre loi. J’ai suffisamment bien vécu et, si mon banquier ne s’en souvient pas, j’ai de la mémoire pour deux et des paillettes plein les poches. »
Gros remue-ménage à la mairie de Poggiolo aujourd'hui mercredi 10 mars: on évacuait la bibliothèque!
Située au rez-de-chaussée de la maison municipale, la bibliothèque a été complètement vidée de ses livres, des documents, des meubles et des affaires de secrétariat qui dormaient là depuis huit ans.
Déclarée à la Préfecture le 15 juillet 2002, l'AACSIS (Association Artistique et Culturelle de Sorru in Sù) fut à la base de plusieurs activités. Elle organisa dans l'été 2004 le premier salon des artistes peintres. Le 4 décembre 2005, ce fut le premier marché de Noël.
Grâce à la mairie, l'association gérait la bibliothèque depuis 2005. Elle était très riche de nombreux ouvrages (plus de 1.500) de toutes sortes (policiers, historiques, jeunesse, littérature, B.D.) donnés par les Poggiolais et destinés à tous les âges. Que ce soit l'hiver ou l'été, il était toujours possible de trouver quelque chose à lire.
Il n'est pas possible d'évoquer la bibliothèque sans penser à Jean-Martin FRANCESCHETTI qui eut l'idée de cette création et veilla sans cesse à son bon fonctionnement. Certains allaient au local autant, et même plus, pour bavarder avec "J-M F" que pour emprunter un livre.
Depuis le décès de Jean-Martin en septembre 2013, la relève n'a pas été prise.
Récupérer cette pièce était logique pour la mairie qui pourra transformer le bâtiment pour une utilisation plus rationnelle.
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blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù).
Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité. POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici. Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO. Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images. Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).