Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
13 septembre 2024 5 13 /09 /septembre /2024 07:00

 

L'été, il est bon de faire une promenade tôt le matin, avant que la chaleur du soleil écrase tout.

 

Jeudi 22 août, un marcheur (attention, un marcheur, pas un joggeur) se trouvait sur la route entre Poggiolo et Soccia. Il était environ 7 h 30 quand il arriva à l'héliport, ce petit espace plat séparé de la chaussée par un petit muret, un peu plus haut que Saint Marcel. Un camion de livraison venait d'y déposer des palettes. Le chauffeur disait quelques mots dans son téléphone, certainement avec le pilote de l'hélicoptère qui devait venir prendre le chargement.

 

Voyant le promeneur, il hésita un bref instant, puis (est-ce parce que le promeneur semblait sympathique ?) il monta dans son véhicule et démarra.

 

Il laissait les paquets, très certainement destinés aux randonneurs qui passeraient par le refuge de Manganu, le plus proche de Soccia.

 

Chacune des quatre palettes servait de socle à un grand paquet enveloppé de plastique noir avec des anses rouges pour les saisir. Mais elles n'étaient pas entièrement fermées, l'une d'elles laissant paraître des sachets de pains de mie. En dehors de ces sacs, le livreur avait déposé deux gros cartons d'œufs et une pastèque.

 

On avait ainsi une idée de ce qui pouvait être servi au refuge.

 

Des palettes pour le refuge
Des palettes pour le refuge

 

Le promeneur ne toucha à rien car il avait mieux à faire: aller prendre le café à Poggiolo chez une amie avec laquelle il pourrait discuter de la vie du village.

 

Et l'hélicoptère arriva plus tard... Et les excursionnistes purent se ravitailler grâce à l'héliport de Soccia...

 

PS: pour le ravitaillement par mulets, lire l'article suivant:

Partager cet article
Repost0
11 septembre 2024 3 11 /09 /septembre /2024 07:00

 

Il n'est pas possible de laisser inoccupé le mur qui borde la route à Poggiolo.

 

En effet, près du centre du village et sur une voie très passante, l'endroit est excellent pour servir à diffuser des informations.

 

Pendant longtemps, l'administration des PTT y avait fixé une boîte aux lettres, en face de la porte des CECCALDI.

 

Nous n'avons que deux photos où cette boîte est visible:

 

-l'une, de juillet 1968 

Au bord de la route: le mur, toujours semblable et toujours différent (3/4) (la boîte aux lettres)

 

- l'autre, de l'été 1969, où l'on voit Hervé OULIÉ régler le moteur de la 4L de Michel FRANCESCHETTI 

Au bord de la route: le mur, toujours semblable et toujours différent (3/4) (la boîte aux lettres)

 

Nos lecteurs auraient-ils d'autres clichés montrant cette boîte aux lettres?

 

A côté de cette boîte jaune et bleue, voisinaient parfois des affiches pour des spectacles et surtout, entre 1965 et 1968, les annonces des séances hebdomadaires de cinéma qui se déroulaient à Soccia. Des articles ont été consacrés sur ce blog à ce cinéma rural itinérant: voir ICI et ICI.

 

Le problème de cet affichage était qu'il ne durait pas longtemps, une petite main tenant un briquet le réduisant vite en cendres!

 

De nos jours, la boîte aux lettres n'est plus sur le mur: elle a été déplacée, un peu plus bas et de l'autre côté de la route, à un endroit discret, entre un poteau électrique et la clôture des CECCALDI.

 

Au bord de la route: le mur, toujours semblable et toujours différent (3/4) (la boîte aux lettres)

 

Le mur sert toujours de lieu d'informations car la mairie a installé un panneau d'affichage pour faire connaître les décisions municipales et préfectorales importantes. A côté, un morceau de contreplaqué est destiné à l'affichage libre. Chacun a intérêt à y jeter un coup d'œil en passant.

 

Photo du 4 août 2021.

Photo du 4 août 2021.

Partager cet article
Repost0
10 septembre 2024 2 10 /09 /septembre /2024 07:00

 

Nouvelles photos et petit texte d'Hélène DUBREUIL sur la cérémonie du 8 septembre:

 

Au col de Sorru, la messe de la nativité de la Vierge a été présidée par le Père KENNEDY, OMI du couvent de Vico, accompagné par le chœur d'hommes de Sorru in sù. 

Tous les villages du haut-canton étaient représentés et il y avait plein de petits enfants.

Malgré un temps maussade mais chaud, ce fut une belle célébration selon la tradition. 

 

La troisième photo est de Jeanne SEGURA, les autres d'Hélène DUBREUIL.
La troisième photo est de Jeanne SEGURA, les autres d'Hélène DUBREUIL.
La troisième photo est de Jeanne SEGURA, les autres d'Hélène DUBREUIL.
La troisième photo est de Jeanne SEGURA, les autres d'Hélène DUBREUIL.

La troisième photo est de Jeanne SEGURA, les autres d'Hélène DUBREUIL.

Partager cet article
Repost0
9 septembre 2024 1 09 /09 /septembre /2024 07:00

 

La cérémonie en l'honneur de la Nativité de la Vierge a connu un grand succès dimanche 8 septembre 2024 au col de Sorru. Des pèlerins de tout âge et des différents villages de Sorru in Sù ont suivi la croix et la statue de Santa, témoignant de l'attachement populaire à la Reine de la Corse et à nos traditions.

 

Tous nos remerciements à Hélène DUBREUIL pour ce reportage dans lequel on peut voir beaucoup de têtes connues.

Partager cet article
Repost0
8 septembre 2024 7 08 /09 /septembre /2024 07:00

 

Cette histoire vraie s'est déroulée voici 390 ans.

 

Dans les premières lueurs de l’aube, quelques hommes s’approchent prudemment de l’église Saint Siméon de Poggiolo. On est au matin du 11 septembre 1634. Dans la nuit, des cris avaient été entendus, et aussi des coups de feu, certainement des déflagrations d’arquebuses à rouet, l’arme par excellence des Corses à cette époque. Puis, il y avait eu le son des sabots de mulets ou de chevaux s’éloignant rapidement. Et encore des cris, puis des râles d'agonie...

arquebuse à rouet

arquebuse à rouet

Les Poggiolais les plus audacieux trouvent la porte complètement enfoncée. A l’intérieur,

 « la vision est celle d’un spectacle d’horreur. Le corps (d’un homme) git dans un coin, sans tête, traîné et déchiqueté par les chiens. Son épouse gémit, un peu plus loin, moribonde, avec le cadavre de son petit garçon mort-né, dont elle a accouché pendant la nuit, à ses pieds, percé de plusieurs coups d’arquebuse. Les portes de l’église ont été fracassées à coups de hache, et le décor, autour de l’autel, a été transpercé par les coups de feu.» («Letia et la région de Vico dans l’histoire de la Corse» par François PAOLI).

 

Même sans avoir son visage, les villageois savent que le corps de l’homme décapité est celui d’AMATO de Soccia, LE FILS DE LEUR CURÉ PAOLO.

 

 

Aux XVIIème et XVIIIème siècles, de nombreux prêtres corses vivaient en concubinage et avaient des enfants. Ce fut le cas pour Lario POLI ou Hilaire (écrit aussi Hylaire), curé de Guagno, qui avait bénéficié de faveurs de la part de Théodore de NEUHOFF, roi de Corse en 1736. En souvenir, le curé aurait prénommé son fils Théodore. Le prénom serait passé ensuite à son petit-fils, le célèbre bandit qui se proclama le "roi de la montagne" (voir l'article "Les exploits de Théodore").

 

LE MARCHÉ DES TÊTES

 

Paolo, curé de Poggiolo, était le père d’Amato qui eut de gros ennuis avec la justice. Il avait été condamné à mort le 22 novembre 1631 pour le meurtre d’un Guagnais et le 27 mai 1633 pour celui d’un Socciais. Pour la législation génoise, il était devenu un «bandito capitalo», c’est-à-dire qu’il était considéré comme très dangereux mais qu’il pouvait échapper à la mort en s’exilant, ce qu’il fit.

 

Malheureusement, au bout d’un an, Amato revint et rencontra Matteo de Soccia dont il avait tué le frère. Or, après la condamnation, les parents des victimes assassinées avaient constitué des primes sur sa tête. Les primes étaient versées à celui qui ramenait la tête du meurtrier aux autorités génoises. On appelait cette coutume le «marché des têtes».

 

Blessé d’un coup d’arquebuse, tiré peut-être par Matteo, Amato se réfugia dans l’église de Poggiolo avec son épouse enceinte. Il était protégé dans ce lieu saint par le droit d’asile. Pendant ce temps, son père obtenait que l’évêque de Sagone (qui résidait alors à Calvi), Mgr Stefan SIRI, et son vicaire général, Gio Martino SAVELLO, négocient avec le Commissaire génois d’Ajaccio un sauf-conduit et un traité de paix avec les familles des victimes, ce qui était fréquent à l’époque.

 

Mais le 10 septembre 1634, alléchés par la prime et certainement poussés par Matteo, Aurelio, fils de Nicomedo de Guagno, et Gregorio, fils de feu Giovan Ghilardo de Muracciole, trouvèrent sa cachette et firent le massacre décrit au début du texte.

 

Les chasseurs de primes présentèrent le lendemain la tête d’Amato à Paolo Ambrosio CARMAGNOLA, le Commissaire de Gênes à Ajaccio, qui leur donna l’argent promis et exposa sa tête dans une cage de fer.

 

L'ÉVÊQUE CONTRE LE GOUVERNEUR

 

Monseigneur SIRI, l’évêque de Sagone, réagit promptement en mettant en avant le fait qu’Amato n’avait pas été tué «in campagna», en pleine campagne, comme le voulait la loi, et surtout qu’un sacrilège avait été commis. Le prélat en appela au Sénat de Gênes et excommunia Aurelio et Gregorio ainsi que Carmagnola.

armoiries de Sagone

armoiries de Sagone

Mgr SIRI ayant décédé en janvier 1635, son action fut poursuivie par le vicaire général SAVELLO et par Mgr Benedetto REZZANI, devenu évêque de Sagone en septembre 1635.

 

Le Commissaire blâma l’action des deux assassins et fit donner une sépulture chrétienne à la tête d’Amato.

 

Aurelio et Gregorio furent condamnés «pour la violence faite à l’Eglise, une balle ayant touché l’autel». Mais, en 1636, la sentence n’était toujours pas appliquée.

 

UNE ÉGLISE DE RECHANGE

 

A Poggiolo, la situation religieuse était catastrophique. Saint Siméon avait été souillée par cet acte ignoble. De plus, elle était église piévane, c’est-à-dire que son curé avait autorité sur tous les villages de Sorru in Su : Poggiolo, Orto, Soccia et Guagno.

 

L’église fut déclarée désacralisée avec interdiction d’y célébrer des cérémonies religieuses.

 

Il fut décidé de bâtir une chapelle en bas du village, sur un terrain offert par les familles DEMARTINI et MARTINI. Elle fut dédiée à saint Roch, choix judicieux car ce saint était imploré pour combattre les épidémies alors fréquentes.

 

Lors de travaux de restauration entrepris en 2011, le peintre Mario SEPULCRE  trouva sur les piliers de Saint Roch une couche de peinture qui était peut-être la décoration originelle (voir l'article Il se passe toujours quelque chose à Poggiolo... et à Saint Roch).

Du sang à Sorru in Sù. N°1: DU SANG À ST SIMÉON

Mais Saint Siméon se releva de son abandon.

 

En 1686, Gio. Battista SPINOLA, évêque de SARZANE en Ligurie, fut envoyé par Rome pour inspecter les diocèses de Corse. Il n’écrivit rien sur Saint Siméon dans son rapport du 4 juin.

 

Mais le 15 juin 1698, Mgr Giovanni Battista COSTA, évêque de Sagone, décrivit une église San Simeone avec autel de pierre, tous les objets liturgiques indispensables, des fonts baptismaux, un confessionnal, une «chapelle du très Saint Rosaire récemment érigée dans l’église» et un «pavement de pierres avec trois ouvertures d’arca avec trappe de pierre». Malgré le toit à réparer, l’église était utilisée et elle était redevenue un lieu sacré.

Les transformations de l'église St Siméon.

Les transformations de l'église St Siméon.

Actuelle église Saint Siméon (construite en 1874)

 

Les horribles meurtres de 1634 sont ainsi la cause de la présence de deux bâtiments catholiques dans ce petit village qui mériterait d’être nommé : «POGGIOLO-LES DEUX ÉGLISES».

 

------------------------------------------------------

Cet article a utilisé les renseignements trouvés dans :

«La violence dans les campagnes corses du XVIe au XVIIIe siècle» par Antoine-Marie GRAZIANI (ed. Alain Piazzola)

«Letia et la région de Vico dans l’histoire de la Corse» par François PAOLI (Stamperia Sammarcelli)

Visites apostoliques et pastorales à Sorru in Su, traduction du Père DOAZAN (non édité)

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2024 6 07 /09 /septembre /2024 07:00
Le miel sera en fête le 22 septembre

 

"U mele in fiesta", la grande fête du miel, se tiendra dimanche 22 septembre à Murzu.

 

Le programme précis sera bientôt publié mais la présence du chanteur Feli Travaglini est déjà annoncée.

 

Le miel sera en fête le 22 septembre
Partager cet article
Repost0
6 septembre 2024 5 06 /09 /septembre /2024 07:00

 

Décrit dans l'article précédent, le mur qui borde la route en face de la maison CECCALDI a joué un rôle important dans la sociabilité poggiolaise.

 

Le matin et en fin d'après-midi, le forum du village se tenait là, surtout en été. On discutait en "tenant le mur" comme on disait, les pieds bien plantés dans la rigole, comme Pierre MARTINI, Pierrot PIETRI, Raymond MARTINI et Ange MERCURI en donnent l'exemple sur cette photo datant de 1968.

 

 

pierre pierrot,raymond, ange

  (photo de Jacques-Antoine MARTINI)

 

Avec cet appui, on avait plus de force pour renforcer le mur et bloquer son écroulement éventuel !!!. Surtout, on pouvait rester des heures sans se fatiguer pour parler des faits survenus au village, discuter de politique et de haute philosophie (hum!), attendre les commerçants ambulants ou compter les voitures traversant le village.

 

 

Mais, maintenant, le forum n'existe plus. Le lieu est désert.

 mur désert

 

Il peut encore réunir des Poggiolais dans des occasions très précises, comme ici, lors d'une Saint Roch voici 25 ans.

mur St Roch

 

Bien sûr, les habitudes et les façons de vivre ont changé. On ne sort pas autant qu'autrefois dans la rue.

 

Mais avez-vous remarqué la grande modification qui s'est produite?

 

mur sans rigole

 

IL N'Y A PLUS DE RIGOLE !!!

 

Alors, comment caler ses pieds pour "tenir le mur" efficacement?

Partager cet article
Repost0
4 septembre 2024 3 04 /09 /septembre /2024 07:00

 

La couverture du livre I nostri antichi di U Pighjolu a pu surprendre car elle montre un lieu connu mais qui a bien changé.

 

Sur cette photo, reprise en page 51, on voit deux personnages: Joseph DESANTI (1889-1959) et Martin BATTESTI dit Martinellu (1905-1964). Ils se trouvent près d'un mur empierré de quelques mètres de long qui laisse ensuite place à un talus de terre et de végétation. En arrière-plan, se dressent des maisons anciennes.

 

Le lieu est le carrefour entre la route départementale et la stretta.

 

La photo a été prise devant la maison CECCALDI.

 

Au bord de la route: le mur, toujours semblable et toujours différent (1/4)

 

Cette image est complétée à la page 57 qui montre le bord de la route quelques mètres plus bas.

 

Devant, posent Colette CECCALDI, Julie DESANTI, Agathe CECCALDI (1902-1943) et Anna ARNAUD (1889-1972).

 

Le cliché date d'avant la deuxième guerre mondiale.

 

Au bord de la route: le mur, toujours semblable et toujours différent (1/4)

 

Le même endroit n'est plus le même maintenant.

 

Pour éviter les glissements de terrain, le mur a été prolongé, peut-être à la fin des années 1950, jusqu'au chemin d'entrée de la maison FRANCESCHETTI. Les pierres furent été bien choisies et assemblées avec minutie. Une rigole cimentée fut creusée pour permettre l'évacuation des eaux de pluie. L'ensemble paraît désormais bien solide.

 

Au bord de la route: le mur, toujours semblable et toujours différent (1/4)

 

Une autre différence est frappante: les maisons des Case Suprane ne sont plus visibles. Elles sont pourtant toujours là mais elles sont désormais cachées par une forte densité d'arbres et arbustes.

Au bord de la route: le mur, toujours semblable et toujours différent (1/4)
Au bord de la route: le mur, toujours semblable et toujours différent (1/4)

 

Avec I nostri antichi di U Pighjolu, les lecteurs peuvent voir que le village est à la fois immuable et différent.

 

Pour commander le livre, suivre le lien: 

https://www.collectiondesphotographes.com/i-nostri-antichi-di-u-pighjolu-de-philippe-prince-demartini.html

Partager cet article
Repost0
3 septembre 2024 2 03 /09 /septembre /2024 07:00

 

Sainte patronne de l'île dont elle a été proclamée reine en 1735, la Vierge Marie est célébrée chaque 8 septembre, jour de sa naissance, par les catholiques corses. Une journée marquée par de nombreuses processions et messes.

 

Comme chaque année, une messe sera célébrée à la chapelle du col de Sorru dimanche 8 septembre à 10 h 30.

 

Les Corses de Marseille participeront à cette fête samedi 7 septembre à 16 h 30 avec une messe célébrée à Notre-Dame de la Garde par le Père Xavier MANZANO, vicaire général du diocèse marseillais. La prédication sera en langue corse.

 

Nativité de la Vierge au col de Sorru et à Marseille
Partager cet article
Repost0
2 septembre 2024 1 02 /09 /septembre /2024 07:00

Puisque c'est la rentrée scolaire, pensons aux vacances!!!

 

Dans le calendrier officiel des vacances scolaires 2024-2025, on pourra remarquer que la Corse est alignée sur la zone C (Créteil, Montpellier, Paris, Toulouse et Versailles). 

 

Mais elle garde ses particularités: la rentrée dans l'île est fixée au mardi 3 septembre et non pas au lundi 2. D'autre part, elle n'est pas mentionnée parmi les zones n'ayant pas cours les 30 et 31 mai.

 

Il est à remarquer que, cette année, contrairement à certaines autres, le jour de Pâques (20 avril) est placé dans toutes les académies pendant les vacances dites "de printemps", saison qui débute le 20 mars 2025. Mais le Ministère n'emploie pas le terme de "vacances de Pâques". Pourtant, les vacances d'octobre-novembre et de décembre-janvier portent des noms de fêtes religieuses.

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog des Poggiolais
  • : blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù). Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
  • Contact

Qu'est-ce que ce blog?

Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité.
POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici.
Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO.
Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images.
Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).

Recherche

Le calendrier poggiolais

 

 

Dimanche 22 septembre à Murzu:

u mele in festa

--------------------

L'album de photos des Poggiolais:

Pour le commander, suivre le lien:

https://www.collectiondesphotographes.com/i-nostri-antichi-di-u-pighjolu-de-philippe-prince-demartini.html

 

-----------------

Votre ancêtre a participé à la guerre de 1914-1918?

Envoyez une photo de lui à l'adresse larouman@gmail.com

Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.

.............

 

Vacances de Toussaint:

du samedi 19 octobre au lundi 4 novembre.

Vacances de Noël:

du samedi 21 décembre au lundi 6 janvier.

Vacances d'hiver:

du samedi 15 février au lundi 3 mars.

Vacances de Pâques:

du samedi 12 avril au lundi 28 avril.

Vacances d'été:

samedi 5 juillet.

 

 

 

 

La météo poggiolaise

Pour tout savoir sur le temps qu'il fait et qu'il va faire à Poggiolo, cliquez sur LE BULLETIN METEO

POGGIOLO SUR FACEBOOK

Les articles du blog se trouvent sur la page Facebook du groupe Guagno-les-Bains Poggiolo.