Samedi 2 février, à 20 heures, aura lieu la traditionnelle soirée figatellu et pulenda au couvent de Vico.
Afin de faciliter l'intendance, il serait bon que les réservations se fassent bien à l'avance.
Inscriptions auprès de Madame Bassi au 04-95-26-62-29 ou au couvent (le matin uniquement) au 04-95-26-83-83.
Les Corses de Marseille et des alentours qui sont venus au salon du livre corse de samedi 19 et dimanche 20 janvier ont été privilégiés. Ils ont été les premiers à découvrir "Corse: indépendance", le nouveau livre de Christian MONDOLONI (éditions Vincentello d'Istria).
Très proche d'Edmond SIMEONI, l'auteur a participé activement à la rédaction de plusieurs textes importants. Il donne ici un réquisitoire précis et argumenté sur la façon dont la Corse a été traitée par les gouvernements français.
En tout cas, un ouvrage à lire absolument.
Voici comment la parution de ce livre est présentée sur la page Facebook de son éditeur:
Il vient de sortir de l'imprimerie! Le voici, ce livre-évènement tant attendu. Il s'agit de "Corse: Indépendance", de Christian Mondoloni. Pour la première fois dans l'histoire de la Corse, un auteur a accompli un travail de recherches historiques, économiques, politiques et illégales afin d'argumenter sérieusement pour la solution qu'il propose, à savoir l'indépendance nationale de l'île de Corse.
Le lecteur pourra ne pas être d'accord avec cette solution, mais il ne pourra que respecter le travail réalisé par Christian Mondoloni, militant de la première heure de la cause nationaliste corse.
Edizione Vincentello d'Istria, une toute jeune maison d'édition bastiaise, est fière d'avoir été choisie par l'auteur pour la publication de ce livre qui, certainement, fera date.
Christian Mondoloni dédicacera "Corse: Indépendance" le samedi 26 janvier de 16 à 19 heures à la Librairie Album, boulevard Paoli, à Bastia.
Une citation de Victor HUGO a été placée au début du prologue : "Il n'est rien au monde d'aussi puissant qu'une idée dont l'heure est venue". Pour Christian MONDOLONI, l'heure de l'indépendance de la Corse serait-elle venue?
Prévue pour le dimanche 27 janvier à Rennu, A Tumbera va jouer cette année encore son rôle de vitrine pour valoriser les produits liés à l'élevage porcin.
Cette foire identitaire qui valorise le monde rural est un moment authentique à ne pas manquer.
PROGRAMME:
10H00
MESSE A LA CHAPELLE ST ROCH
11H00
FABRICATION ET DEGUSTATION DU BOUDIN
12H30
REPAS TRADITIONNEL
Figatellu, Pulenda, Brocciu, Fromage, Fruit
ET
VENTE DE SANDWICH AU FIGATELLU
TOUTE LA JOURNEE:
VENTE DE PRODUITS LOCAUX
CHANTS AVEC « SCOLA DI CANTU A TROVA »
Le mot est joli et peu connu du public: le gentilé.
Il s'agit de la dénomination des habitants d'un pays, d'une ville ou d'un village.
En Corse, sur les 360 communes, seulement 161 ont un gentilé français, révèle l'article de Ghilormu PADOVANI publié dans le "Settimana" du 11 janvier. La raison en est l'empirisme de la monarchie française:
"Après la conquête française et l'établissement du plan Terrier, organisant l'espace insulaire, la royauté a décidé de maintenir les toponymes toscans ou hérités directement du latin, comme Tox. De ce fait, il n'existe pas de nom de lieu français, en Corse."
En conséquence, dit le linguiste Jean CHIORBOLI (qui tient la rubrique "I vostri lochi" dans le supplément hebdomadaire de "Corse-Matin"),
"Tous les noms d'habitants de communes corses en français, comme Ajaccien, sont pure invention, pour coller à la langue française. Sur une base toscane ou corse, on est venu rajouter un suffixe français. Linguistiquement, il s'agit d'une forme artificielle dont certaines sont parvenues à s'imposer avec le temps et grâce à l'usage. Cette forme colle ou non mais personne ne peut empêcher qu'elle soit usitée si les principaux concernés l'emploient."
L'article est illustré par un tableau donnant les communes avec un gentilé en langue corse et en français. Voici la partie concernant Poggiolo (Pighjolu) et ses voisines.
On peut remarquer que le gentilé Poggiolais devient Pughjulacci en corse, d'après ce schéma. Or, dans le langage courant, les habitants emploient le terme "Pighjolacci" qui est plus proche du nom de la commune.
A l'inverse, Orto (Ortu) est placé dans la liste des communes ayant un gentilé uniquement en langue corse: "Urticesi". Mais, quand on parle en français de ses habitants, le terme "Ortigais" vient assez facilement.
En réalité, l'article n'a aucune erreur. Jean CHIORBOLI reconnaît que les formes varient selon les auteurs.
Le dogmatisme doit être exclu car, finalement, le plus important est que les gens concernés se comprennent et soient compris.
Madame Angèle PINELLI, maire de Poggiolo-Guagno-les-Bains, tient à préciser que l'étayage de l'olivier voisin du monument aux morts a été réalisé à la demande d'une grande partie de la population qui ne voulait pas que l'arbre soit coupé.
Le risque d'effondrement est désormais dissipé.
D'autre part, la municipalité a demandé des plaques portant le nom de la commune à la Direction de l'Equipement mais celle-ci est seule juge du moment de leur installation.
L'arbre penché ne doit pas s'écrouler - Le blog des Poggiolais
Si l'eau coule de nouveau dans la fontaine, il existe en face, juste à côté du monument aux morts de Poggiolo, un autre problème: l'arbre penché. Il avait été évoqué à l'occasion de la c...
http://poggiolo.over-blog.fr/2019/01/l-arbre-penche-ne-doit-pas-s-ecrouler.html
Le jeu de piste poggiolais - Le blog des Poggiolais
Pendant les vacances scolaires, les enfants ont besoin de jeux pour se distraire. Si le temps permet d'être en plein air, la chasse au trésor ou le jeu de piste, où l'on suit des indices pour ...
Si l'eau coule de nouveau dans la fontaine, il existe en face, juste à côté du monument aux morts de Poggiolo, un autre problème: l'arbre penché.
Il avait été évoqué à l'occasion de la cérémonie du 11 novembre.
Cérémonie sous un arbre penché - Le blog des Poggiolais
Le soleil brillait ce dimanche 11 novembre à l'occasion de la commémoration du centenaire de l'armistice qui mit fin à la première guerre mondiale. Les Poggiolais présents ont entendu les ...
L'olivier qui est à côté du monument s'est fortement incliné et touche maintenant la croix.
Redresser l'olivier sans le casser ou le déraciner étant très difficile, il était nécessaire de le retenir pour empêcher sa chute.
D'un côté, une grosse pièce de bois bloquée sur la base de la croix sert d'étayage.
De l'autre, de solides courroies tenues par un palan fixé à un piquet enfoncé de l'autre côté du grillage entourent plusieurs branches.
En principe, l'arbre penché ne doit pas s'écrouler.
La Fédération des Groupements Corses de Marseille et des Bouches-du-Rhône met la littérature et la culture corses à l'honneur en organisant, comme tous les ans, son habituel Salon du Livre Corse, samedi 19 et dimanche 20 janvier, de 10h à 18h.
Durant ces deux journées, le public aura accès à la Maison de la Corse, 69/71, rue Sylvabelle, 13006, Marseille (métro Estrangin), où se tiendront des dédicaces par 22 auteurs, cinq conférences, une exposition d’aquarelles, des stands associatifs, de produits du terroir, des démonstrations culinaires, et où seront exposés de nombreux ouvrages publiés par une douzaine d’éditeurs corses.
Les Editeurs :
L'association des éditeurs insulaires représentera une vingtaine de maisons d'édition(Albiana, DCL, Aquansù, Anima Corsa, Sammarcelli, Teramo, Clémentine, Piazzola, A Fior di Carta, Materia Scritta, Imprimerie Siciliabno, Editions Colonna D'Istria, Ancre latine...).
Vingt-deux auteurs dédicaceront leurs ouvrages : Jeanine Anziani, Jean-Paul CECCALDI, Hervé Creuzeville, Robert Colonna-D’Istria, Jacques Di Costanzo, Pierre Folacci, Jacques Fusina, Rolande Giacometti, Simon Giuseppi, Danièle Masse, Philippe Moncho, Anna Vladimirovna Gnedina-Moretti, Nicolas Nasica, Ourties Hélène, Philippe Pierangeli, Sampiero Sanguinetti, Emilie Santini, Zaven Sarafian, Jean-Pierre Simoni, Jeanne Terramorsi, Simone Tramoni et Michel Vergé-Franceschi.
Six conférenciers interviendront tout au long du week-end :
De 14 h à 16 h 30, «Il y a 250 ans, Ponte Novu et Bonaparte naissait…» par Michel-Vergé-Franceschi et «Tito Franceschini-Pietri, les dernières braises de l’Empire» par Sampiero Sanguinetti.
De 11 h à 17 h, «Paoli et Catherine II», par Anna Vladimirovna Gnedina-Moretti, «Le Dossier Felix Decori» par Jacques Fusina et «Corse terre d’accueil, terre d’exil, les étrangers en Corse pendant la grande guerre» par Simon Giuseppi.
Vincent TABARANI, président de l'association Cucina Corsa, fera des démonstrations de recettes traditionnelles le samedi à 10 h et à 15 h, et le dimanche à 10 h. Le public participera à la dégustation.
La peintre aquarelliste Yvane Brandi, exposera une partie de ses œuvres en relation avec la Corse.
Des stands de produits du terroir offriront un large choix de charcuteries, fromages, pâtisseries, confitures, vins, apéritifs et autres liqueurs... Quelques associations seront présentes tel que l'INSEME, l'AFC-UMANI, l’association SCOLA CORSA et l’association de Recherches sur l’Histoire des Familles Corses.
Des billets aller-retour pour la Corse et d’autres lots seront tirés au sort le dimanche 21 à 17 h 30.
Entrée libre
04 91 13 48 50
maisondelacorse13@gmail.com
Maison de la Corse de Marseille
A Guagno-les-Bains, il existe cette chapelle qui domine le hameau et qui continue vaillamment de veiller sur les villages de Sorru in Sù. Un lieu de culte où l'on célèbrera l'office samedi 19 janvier à 15 heures, à l'occasion de la Saint Antoine.
Protecteur des animaux domestiques
Saint-Antoine Abbé était Égyptien. Il mourut à l'âge de 105 ans, nous dit la tradition, après une vie dans le désert où il partagea son temps entre la prière et le travail. Il est connu pour avoir été le fondateur de plusieurs monastères. Il est considéré comme le protecteur des animaux domestiques, c'est pourquoi à Rome, sa fête est aussi la fête des animaux et de leurs éleveurs.
En Corse, où les habitants élevaient de nombreux cochons, il était le protecteur de la race porcine et c'est le jour de sa fête que l'on procédait à la bénédiction des troupeaux.
Ce samedi 19 janvier, nombreux seront les fidèles du canton des Deux Sorru qui se retrouveront donc en la chapelle Saint-Antoine de Guagno-les-Bains. Un saint qui sera également célébré dans les Deux Sevi, lors de la messe donnée à 10 heures à Marignana.
Pendant les vacances scolaires, les enfants ont besoin de jeux pour se distraire. Si le temps permet d'être en plein air, la chasse au trésor ou le jeu de piste, où l'on suit des indices pour arriver au but, est toujours une bonne idée.
Un jeu de cette sorte peut même être pratiqué par les adultes, comme par exemple pour trouver Poggiolo en partant de Vico.
A priori, tout s'annonce bien au début. Au col de Saint Antoine, un panneau annonce la direction de nombreux villages dont Poggiolo et Guagno-les-Bains, écrits en italien et en corse.
Même tranquillité en sortant de Vico. A la bifurcation, il est bien indiqué de prendre la route de droite.
A Murzo, le panneau placé devant la Maison du Miel nous encourage à continuer. Il donne cinq noms de village et nous évite de tourner vers Muna.
La situation se complique au-dessus de Guagno-les-Bains pour les individus qui n'ont pas l'habitude de venir dans le haut-canton. A côté de la chapelle Saint Antoine, deux routes sont possibles.
A gauche, le chemin est celui des Bains.
En continuant tout droit, on peut arriver aux quatre autres villages. Le fait que les panneaux soient troués par les tirs d'armes de chasse est totalement anecdotique.
Les panneaux suivants sont au carrefour du Genice. Pour Poggiolo, il faut tourner à gauche. Soccia et Orto ont disparu mais, qu'importe, notre but est poggiolais.
Très rapidement, la route rejoint le tronçon venant des Bains.
Mais que serait-il arrivé au joueur s'il était passé par la station thermale?
En fait, il n'aurait pas su qu'il y entrait car, s'il existe bien une limitation de vitesse à 30 km/h, l'agglomération est anonyme.
Pardon, après avoir franchi le pont, on peut apprendre que l'on sort de Guagno-les-Bains, sans savoir que l'on y est entré, et on peut même savoir que cette localité fait partie de la commune de Poggiolo!!!
Donc, quelles sont les informations à l'endroit où les deux chemins se rejoignent? Tout simplement que, en continuant à monter, on trouvera Soccia, Poggiolo et Orto.
Il faut bien regarder les deux poteaux car un panneau manque sur chacun.
On en arrive à une nouvelle bifurcation qui donne le choix entre Orto, si l'on continue tout droit, et Soccia, en tournant à gauche.
On est au Fragnu mais il faut savoir que ce nom existe. En tout cas, aucun autre panneau ne donne de renseignement sur le lieu où l'on se trouve.
Le joueur-explorateur peut éviter de parcourir les trois kilomètres jusqu'à Orto en tournant à gauche. Il sait bien que Poggiolo est avant Soccia.
Il voit tout de suite un panneau limitant la vitesse à 40 kilomètres à l'heure. Tiens, pourquoi 40 alors que le hameau anonyme précédent (c'est-à-dire Guagno-les-Bains) avait une limitation à 30?
En tout cas, le panneau rectangulaire dit qu'il y a des enfants et qu'il faut faire attention à eux.
La route est ensuite bordée de maisons, d'une fontaine, d'un monument aux morts. Serait-on arrivé à Soccia? Certains touristes le croient et demandent alors où commence le sentier pour le lac de Crena. Exemple: l'article "Ne pas confondre".
En tout cas, aucune identification n'est possible si l'on ne demande pas à des autochtones.
A la fin de la série de maisons, sur la seule ligne droite de cette zone, un poteau informe que l'on est sur la route D 123. Le début du jeu de piste a commencé sur la D 23 et a continué sur la D 323. On est sur le D 123 depuis l'embranchement se trouvant après Guagno-les-Bains.
Un panneau avec un nom de lieu était peut-être vissé dessous mais il n'en reste plus aucune trace. Pour les initiés, on est là aux Trois Chemins.
Au bout de moins de trois kilomètres, voici un nouveau panneau qui vaut la peine d'être bien lu.
On entre ici sur la commune de Soccia, il faut ralentir car il y a des enfants et la vitesse est limitée à 35 km/h. Donc, il faut rouler moins vite que dans le lieu précédent (40 km/h) mais on peut aller plus vite qu'à Guagno-les-Bains (30 km/h)!!!
De l'autre côté de la route, à la hauteur de ce panneau, on peut voir l'indication que, dans l'autre sens, on sort bien de Soccia.
Mais où est Poggiolo? Où commence-t-il? Où finit-il?
Au fait, qui est vraiment intéressé par Poggiolo?
Qui veut réellement savoir à quoi ressemble ce village?
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Votre ancêtre a participé à la guerre de 1914-1918?
Envoyez une photo de lui à l'adresse larouman@gmail.com
Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.
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Artisans, inscrivez-vous pour le marché du 1er mai au couvent de Vico (06-46-50-33-60)
REPAS SANGLIER A SOCCIA
VACANCES SCOLAIRES:
du samedi 27 avril au lundi 13 mai.
Début des vacances d'été: samedi 6 juillet.
Les articles du blog se trouvent sur la page Facebook du groupe Guagno-les-Bains Poggiolo.