Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 16:55

Cette photo de la nouvelle statue de Circinellu à Guagnu, vue de côté, permet de mieux distinguer la croix sur la poitrine, qui rappelle son état de prêtre, toute proche du fusil du combattant corse.

Circinellu vu de côté
Partager cet article
Repost0
4 décembre 2016 7 04 /12 /décembre /2016 18:01

Après deux ans de travail, l'associu Pà u Ricordu di Circinellu a réussi son pari. Samedi 3 décembre, la statue du curé patriote a été placée à Guagnu.

Après une messe dans l'église San Niculau, la statue de Circinellu a été inaugurée et bénie place de la mairie. Puis, après l'intervention de l'historien Antoine Marie Graziani, ce fut la fête avec le groupe Cuscenza à la salle municipale.

 
La nouvelle statue.

La nouvelle statue.

Texte de l'inscription placée à la base de la statue.

Texte de l'inscription placée à la base de la statue.

Partager cet article
Repost0
3 décembre 2016 6 03 /12 /décembre /2016 18:00

Tous les Poggiolais connaissent la fontaine du Lucciu (ou du Luccio pour certains) et il peut paraître curieux de demander ce qu'il lui manque pour être ce pourquoi elle a été construite.

28 juillet 2011

28 juillet 2011

Comme toute fontaine normale, l'eau tombe dans un bassin de réception. Le trop-plein qui part par la gauche était destiné à rejoindre une citerne de stockage pour alimenter des jardins voisins. Depuis la construction de cet édifice en 1898 jusqu'à la mise en place de l'eau courante dans chaque maison en 1968, les habitants se rendaient au Lucciu pour remplir cruches, seaux ou brocs afin de se ravitailler en eau de la vie quotidienne.

Solution de la devinette du mois: Pourquoi la fontaine de Poggiolo est-elle incomplète?

Bien sûr, les analyses ont montré maintenant que sa qualité sanitaire est loin d'être parfaite. Mais, à l'époque, personne ne le savait.

Deux documents anciens montrent l'utilisation de la fontaine:

- Cette image extraite d'un film tourné par Jean-Martin FRANCESCHETTI en 1952. Une femme remplit un broc en tôle émaillée pendant qu'un autre est en attente.

Solution de la devinette du mois: Pourquoi la fontaine de Poggiolo est-elle incomplète?

- cette photo prise par Marie QUAIRÉ et datant du 15 août 1967. Hervé CALDERONI lit le journal en attendant qu'un broc en plastique (le progrès est passé par là!) soit rempli.

Solution de la devinette du mois: Pourquoi la fontaine de Poggiolo est-elle incomplète?

De gauche à droite, on peut reconnaître François OLIVA, Bernard FRANCESCHETTI, Jeanne CECCALDI (maintenant épouse GRIMALDI), Martine CECCALDI, Dominique PINELLI, Michel FRANCESCHETTI, Joël CALDERONI, Hervé CALDERONI.

 

Le problème est là: si, par extraordinaire, l'on voulait de nouveau remplir des récipients, il ne serait pas possible de les poser.

Aucun support n'existe plus.

 

Cette photo le prouve.

15 août 2016

15 août 2016

Auparavant, deux barres métalliques placées sous le jet d'eau permettaient de bien placer les récipients et de les laisser se remplir.

été 2008

été 2008

20 juillet 2009

20 juillet 2009

Depuis plus de deux ans, ces barres ont disparu. Il reste leurs extrémités fixées dans le ciment du bassin.

22 août 2014

22 août 2014

Il n'est pas indispensable de remettre ces barres car elles n'ont plus d'utilité mais il est bon de savoir qu'elles ont existé et que le Lucciu ne peut plus remplir sa fonction originelle.

Partager cet article
Repost0
2 décembre 2016 5 02 /12 /décembre /2016 18:00

La fontaine du Lucciu est, avec le clocher de Saint Siméon, l'un des symboles de Poggiolo.

Pourtant, il lui manque quelque chose qui l'empêche d'être ce pourquoi elle a été construite.

De quoi s'agit-il? Réponse dans l'article de demain. 

La devinette du mois: la fontaine incomplète
Partager cet article
Repost0
29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 18:07

Les villages de notre haut-canton n’ont pas toujours été situés là où ils sont maintenant. Un peu comme les baignoires de Guagno-les-Bains, les habitations se sont déplacées au cours des siècles.

 

POGGIOLO

Avant qu’existe Poggiolo, les hommes du néolithique fréquentaient (vers 4.200 ans avant Jésus-Christ) les hauteurs de Campivu, entre Guagno-les-Bains et les Trois Chemins. Le site était encore occupé pendant l’âge du fer, au IIIème siècle avant notre ère. Voir l’article  «Tout sur Poggiolo et Guagno-les-Bains en cinq pupitres».

Il n’existe pas de vestiges archéologiques permettant de connaître le Moyen Age poggiolais. Ce n’est pas très étonnant car les habitations étaient le plus souvent en bois et surtout car le village fut victime, comme toute la pieve, de la «disabitazione», c’est-à-dire des destructions et des déportations ordonnées par les Génois en 1489 et en 1507 pour punir la population de son soutien aux seigneurs de Leca (voir les articles «Poggiolo les années zéro: 1489»  et «Poggiolo les années zéro: 1501»).

Les familles rescapées purent rentrer vers 1517. En 1530, dans sa "Description de la Corse», l’évêque Agostino GIUSTINIANI, parla du village de "Podiolo" et d'un autre plus petit, les «Soprane», lequel comptait 14 feux sur le registre des "taglie" de 1537. Podiolo doit à peu près correspondre à l’actuel quartier de saint Roch. Le nom de Soprane est utilisé maintenant pour les maisons et terrains qui sont au-dessus de la route, près de Saint Siméon. En fait, les Soprane de l’époque se trouvaient plus haut que l’église. 

Il en reste encore des traces dans le maquis, mais complètement enfouies par la végétation. Seules deux ou trois personnes du village se souviennent encore d’avoir vu quelques pierres il y a très, très longtemps…

 
Les villages actuels sont en jaune. Les emplacements anciens sont en rouge. Cliquer sur l'image pour l'agrandir.

Les villages actuels sont en jaune. Les emplacements anciens sont en rouge. Cliquer sur l'image pour l'agrandir.

SOCCIA


Le Soccia actuel est le résultat de plusieurs déplacementss.
Anna-Maria LECA et Noëlle MEDURIO, dans leur "Inventaire préliminaire du patrimoine bâti du Canton des Deux-Sorru” (consultable sur le site de La Médiathèque Culturelle de la Corse et des Corses: http://m3c.univ-corse.fr/omeka/items/show/1163), rapportent que, d’après la tradition orale, la première implantation aurait été "u Petricaghju, proche de la limite communale de Letia, qui aurait été fondé par des habitants fuyant au sujet d’un différent dans leur village de Petricaggio en Castagniccia".
La seconde a été Aghja, sur la rive droite de la rivière
de Filiccioni (surnommée «le fleuve» par les Socciais). Des ruines y sont toujours bien visibles. Le hameau «fut cultivé et habité jusqu'à la fin du siècle dernier (XIXème siècle). Une tuilerie y fonctionnait», précise Jean-Baptiste PAOLI dans «Histoire d’un petit village de montagne au cœur de la Corse du Sud». L’érudit socciais répète la tradition orale qui explique la localisation actuelle de Soccia:


«Quatre frères ayant pour prénoms Mainettu, Francu, Lucha et Martinu, issus d’une famille installée à Aghjia, auraient, dit-on, découvert le site du village actuel en suivant leurs chèvres qui fréquentaient volontiers cet endroit particulièrement agréable et ensoleillé».

 

ruines d'Aghjia par Denise Peres, Panoramio (17 mai 2008)

ruines d'Aghjia par Denise Peres, Panoramio (17 mai 2008)

ORTO


Même pour Orto, l’emplacement a connu des variations. Anna-Maria LECA et Noëlle MEDURIO l’ont écrit:

«Orto avait un village premier, San Cervone, dont il ne reste pas de vestiges visibles. La nouvelle implantation présente des édifices de la fin du 18e siècle pour les plus anciens. Le cimetière actuel se trouve sur l’ancien site du village et a, pour mur d’enceinte, les pierres de l’ancienne chapelle. Orto est construit sur un versant rocheux, ce qui lui aurait très certainement valu son nom.»

 

cimetière d'Orto

cimetière d'Orto

Contrairement à ce que l’on peut croire, l’histoire de nos villages a été très active. Mais il reste beaucoup à découvrir.

Partager cet article
Repost0
28 novembre 2016 1 28 /11 /novembre /2016 09:06

Dans les Deux Sorru, les électeurs de droite avaient placé Sarkozy en tête du premier tour de la primaire. Ils se sont tous reportés sans aucun problème pour le second tour sur François Fillon qui trouve un pourcentage proche de ses chiffres nationaux.

Infographie "Le Monde"

Infographie "Le Monde"

Partager cet article
Repost0
26 novembre 2016 6 26 /11 /novembre /2016 18:00
Du nouveau dans les aventures des baignoires

Les baignoires en marbre des thermes de Guagno-les-Bains ont connu une histoire assez compliquée et ont parfois été déplacées. Plusieurs articles de ce blog ont raconté certaines de leurs péripéties.

Mais un fait peu connu jusque-là se trouve dans l’excellent ouvrage «Vico-Sagone-Regards sur une terre et des hommes» publié cet été.

Du nouveau dans les aventures des baignoires

Le chapitre intitulé «A propos de la santé à Vico», écrit par le docteur Bernard ALLIEZ, consacré cinq pages aux «anciens bains de Vico au hameau de Guagno-les-Bains sur la commune de Poggiolo» :

«Quelques mois plus tard (après l’attaque de l’établissement de bains par le bandit CAVIGLIOLI le 17 août 1931), la concession (alors confiée à Michel SIMONGIOVANNI) sera reprise par Jean PAPADACCI qui s’associera en 1935 avec son gendre Philippe GERONIMI (Filippu). (…)

A cette époque, le bâtiment possédait trois niveaux. Au rez-de-chaussée, (…) les curistes avaient à leur disposition une vingtaine de magnifiques baignoires en marbre et un bain de vapeur destiné aux cures d’amaigrissement. Les célèbres baignoires en marbre qui dataient sans doute du Second Empire et avaient probablement été conçues pour la réfection des thermes de 1850, ne parvinrent pourtant à Guagno-les-Bains que dans les années 1930.

C’est Jean PAPADACCI qui les récupéra dans les sous-sols de la préfecture d’Ajaccio où elles avaient été entreposées pendant des décennies pour des raisons que nous ignorons encore». (pages 347 et 348)

 

Donc, ces fameuses baignoires ne sont pas arrivées à Guagno-les-Bains avant 1935. Bien évidemment, contrairement à la légende, l’impératrice Eugénie n’a jamais pu y prendre de bain.

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2016 4 24 /11 /novembre /2016 18:00

Sous ce titre interrogatif (et même inquiétant), le Père BONNAFOUX donne, dans le numéro de novembre du bulletin "Inseme", des informations importantes pour le couvent de Vico. Nous le reproduisons afin que chacun puisse en avoir connaissance.

QUEL AVENIR POUR NOTRE COUVENT ST FRANÇOIS?

QUEL AVENIR POUR NOTRE COUVENT ST FRANÇOIS?

 

Le couvent Saint François de Vico est lié à l'histoire de notre canton. Depuis Jean Paul de Lcca qui appela les Franciscains en 1489. Il fut une première fois fermé, en 1790. En Février 1836, Monseigneur Casanelli d'Istria achète le couvent à l'Etat Français et en fait don le 7 mai 1836 à Monseigneur de Mazenod; le Père Albini est le premier supérieur. En 1904, les Oblats sont expulsés de couvent: ils y reviendront en 1935.*
Depuis, à trois reprises, la présence OMI a été mise en danger: l'intervention de laïques a décidé le Supérieur Général Marcello Zago d'envoyer des OMI extérieurs à la Province de France: Benoît Kabongo ...
Récemment, c'est le nouveau responsable des OMI en France, le Père Vincent Gruber, qui a décidé que la présence OMI restera au Couvent.
Mieux! il nous dit que cette présence est quasiment assurée POUR LES 10 ANS QUI VIENNENT! Alors c'est maintenant à nous de prendre en charge cet avenir dans toutes ses dimensions:


- Restaurer les structures matérielles défaillantes du bâtiment.
- Donner à chaque membre de la Communauté OMI le confort minimum pour le XXIème siècle.
- Repenser l'accueil des activités spirituelles, sociales et culturelles du couvent.
 - Repenser le rayonnement du couvent dans le canton et au-delà.


Vincent Gruber viendra les 2, 3 et 4 décembre pour coordonner cette mise en œuvre.
Le 3, il aura un Conseil d'Administration avec l'Association pour l'accueil qui gère le couvent.
Le 4, à 9h30, il présidera la messe au couvent.

Ensuite à 11 h, vous êtes tous invités à une rencontre avec lui, que vous participiez à un groupe ou non, et -je vais même plus loin!- que vous soyez croyants ou non-croyants! Nous avons besoin de vos idées, suggestions et compétences.

Vers 12h30, cette rencontre se continuera dans la convivialité avec un repas tiré du sac.


Construisons ensemble l'avenir du couvent pour les années au-delà de 2020!


Jean-Pierre BONNAFOUX, omi *


* Lisez cet immense ouvrage: «VICO-SAGONE regards sur une terre et des hommes».

NDLR: l'histoire du couvent est raconté sur ce blog dans l'article intitulé "le sauvetage du couvent".
 

Partager cet article
Repost0
22 novembre 2016 2 22 /11 /novembre /2016 18:08

Le four présenté dans l’article intitulé "Le four oublié" est celui de la maison de la Pisciata.

La maison oubliée
La maison oubliée

Ces deux constructions existent bien dans le village de Poggiolo mais sont très peu connues.

Sur la photo aérienne ci-dessous (extraite de Google), le cercle bleu entoure la maison et le four.

Il est possible d'agrandir ces images en cliquant sur elles.

La maison oubliée

Ces maisons semblent perdues en pleine zone d’arbres et de broussailles. Pourtant, placées entre le cimetière (à côté de l’église cerclée de noir) et la route d’Orto, elles ne sont pas très éloignées des premières habitations du village.

Cette zone s’appelle Pisciata. Elle était bien nommée et représentée sur le cadastre de 1857.

La maison oubliée

Comme sur la photo d’aujourd’hui, l’église St Siméon a été distinguée par un trait noir. La maison est en bleu. Le four, qui était plus visible autrefois, est dans un cercle rouge.

Le plan cadastral permet d’apprendre que Pisciata était le nom d’un ruisseau qui passait en dessous de la maison. Il rejoignait un autre cours d’eau dit Calonica partant approximativement de l’endroit où se trouve maintenant la station de pompage.

Pour s'y rendre, le chemin est difficile à trouver. Une fois les broussailles écartées, la façade de la maison s’offre au visiteur.

La maison oubliée

Ce côté, qui est face au sud, présente deux portes en rez-de-chaussée et trois fenêtres en étage. L’autre côté, orienté au nord, n’a qu’une ouverture.

La maison oubliée

Les murs ont été construits avec des pierres semblables aux autres maisons du village. On peut remarquer la grosseur du linteau. Près de la porte, une niche a été creusée et un anneau est encore fixé au mur.

La maison oubliée

Si les murs paraissent toujours solides, le toit a en partie disparu, surtout dans la partie ouest comme le montre la photo aérienne, et la charpente s’est écroulée ou a été envahie par les ronces.

La maison oubliée
La maison oubliée
La maison oubliée

Pourtant, cette ferme était autrefois le centre d’une assez grande exploitation.

Il semblerait que le dernier agriculteur à l’avoir mise en valeur ait été Pascal “Ignace” MARTINI dit «Calzitone», né le 28 janvier 1869 et décédé le 15 avril 1945 à Poggiolo. Il n’eut pas d’enfant et ses trois frères (Dominique Marie dit Picciatinu, “Jules” François et Toussaint) s’étaient installés en Algérie.

La maison fut donc abandonnée et la végétation la fit disparaître peu à peu. Et elle fut oubliée.

Sic transit gloria mundi.

La maison oubliée

-------------------------

Photos Michel Franceschetti

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2016 1 21 /11 /novembre /2016 09:07

A l'inverse de la tendance générale, les Corses qui ont participé au premier tour de la primaire de la droite et du centre, dimanche 20 novembre, ont donné la majorité de leurs voix à Nicolas SARKOZY. Serait-ce parce qu'il est celui qui a le plus fréquenté la région?

En tout cas, les votants des Deux Sorru ont mis en tête l'ancien président de la République avec 44,34% des bulletins (43,77% dans l'ensemble de l'île). Le vainqueur national, François FILLON, n'est que troisième.

Les Sorrinesi ont préféré Sarkozy

Un seul bureau de vote se trouvait à la mairie de Vico pour accueillir les électeurs de Vico, Coggia, Balogna, Arbori, Renno, Letia, Murzo, Poggiolo, Orto, Soccia et Guagno.

Les Sorrinesi ont préféré Sarkozy
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog des Poggiolais
  • : blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù). Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
  • Contact

Qu'est-ce que ce blog?

Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité.
POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici.
Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO.
Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images.
Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).

Recherche

Le calendrier poggiolais

 

....

Votre ancêtre a participé à la guerre de 1914-1918?

Envoyez une photo de lui à l'adresse larouman@gmail.com

Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.

...

 

 

 

VACANCES SCOLAIRES:

du samedi 27 avril au lundi 13 mai.

Début des vacances d'été: samedi 6 juillet.

La météo poggiolaise

Pour tout savoir sur le temps qu'il fait et qu'il va faire à Poggiolo, cliquez sur LE BULLETIN METEO

Un bulletin indispensable

  le bulletin des paroisses des Deux Sorru.

 

En-tete-inseme-copie-1.jpg

.

POGGIOLO SUR FACEBOOK

Les articles du blog se trouvent sur la page Facebook du groupe Guagno-les-Bains Poggiolo.