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16 septembre 2023 6 16 /09 /septembre /2023 18:01
La fête du miel aura lieu le 24 septembre à Murzu.

 

L’automne est là. Le cycle naturel des saisons nous offre, à nouveau, de profiter des multiples bienfaits de ces mois savoureux qui suivent l’été et ça, c’est déjà un bonheur en soi. L’autre bonne raison de se réjouir de l’arrivée de cette nouvelle saison, c’est le moment de «U Mele in Festa», 1ère Foire automnale de la FFRAAC* depuis 27 ans, et les abeilles nous en sont reconnaissantes. Anc’assai ! Parce qu’elles le savent, nos célèbres abeilles corses s’activent partout dans nos campagnes, forêts et montagnes superbes, comme si elles nous encourageaient « Bzzzz ! allez, allez ! il faut se bouger, tout préparer, que ce soit une fête très réussie cette année encore! ».

 

Josée Cipriani

Présidente de «l’Association Saint Laurent»

 

 

La fête du miel aura lieu le 24 septembre à Murzu.
La fête du miel aura lieu le 24 septembre à Murzu.
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14 septembre 2023 4 14 /09 /septembre /2023 07:06

 

 

TOUTES NOS CONDOLÉANCES.

 

 

Deuil dans la famille Grimaldi
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13 septembre 2023 3 13 /09 /septembre /2023 18:00

 

La rentrée scolaire a été placée sous la polémique concernant les vêtements. Le gouvernement a, après beaucoup de retard, décrété l'interdiction dans les établissements scolaires de certains vêtements trop connotés comme islamistes.

 

A cette occasion, est revenue dans les médias l'idée d'imposer un uniforme aux élèves. Contrairement à ce que certains ont pu raconter, l'obligation n'a jamais existé dans les établissements publics, sauf dans les Antilles. A la rigueur, dans le primaire, il était recommandé d'avoir une blouse ou un tablier (sans style ni couleur imposés) quand l'utilisation du porte-plume et de l'encrier entraînait de gros risques de taches sur les habits.

 

Ce qui est certain, c'est que les vieilles photos montrent que les écoliers de Poggiolo n'ont jamais porté d'uniforme.

 

Les écoliers poggiolais en 1900 (liste de leurs identités en cliquant ICI)

L'uniforme? Quel uniforme?

 

Avec Bernard PAOLI dans les années 1920:

L'uniforme? Quel uniforme?

 

Avec Jojo ANTONINI, entre 1945 et 1954:

 

Au premier plan, François PINELLI, Mélanie PASSONI, Ernestine MALAGUTI et Marie BATTESTI, et au second plan, Toussaint COLONNA, Antoine SICCHI et Jacques DEFRANCHI.

Au premier plan, François PINELLI, Mélanie PASSONI, Ernestine MALAGUTI et Marie BATTESTI, et au second plan, Toussaint COLONNA, Antoine SICCHI et Jacques DEFRANCHI.

 

Ensuite, en 1956, avec Angèle POMPEANI:

De gauche à droite, Jean-Marc TRAMINI, Guy TRAMINI, Jean-Martin PINELLI, Germaine SICHI, Noël SICHI, Jean-Marie PASSONI et Rita PINELLI.

De gauche à droite, Jean-Marc TRAMINI, Guy TRAMINI, Jean-Martin PINELLI, Germaine SICHI, Noël SICHI, Jean-Marie PASSONI et Rita PINELLI.

 

Avec Judith OTTAVI, en 1964-1965, la dernière classe de Poggiolo.

Christian PINELLI, Angèle ANGELINI et Lucie OTTAVY.

Christian PINELLI, Angèle ANGELINI et Lucie OTTAVY.

 

En prime, une photo des écoliers d'Orto et une de ceux de Soccia, toujours sans uniforme (à dater et à identifier):

 

L'uniforme? Quel uniforme?
L'uniforme? Quel uniforme?
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11 septembre 2023 1 11 /09 /septembre /2023 18:00

 

Le 12 septembre 2023 est le jour exact où Pierre Marie NIVAGGIOLI aurait eu cent ans s'il avait vécu.

 

Malheureusement, il est mort en 1950, il y a 73 ans, à l'âge de 27 ans. Son nom n'est pas inconnu des Poggiolais ou des passants qui jettent un coup d'œil sur le monument aux morts. 

 

Sur les quatre côtés de l'obélisque commémoratif, sont gravés les noms des trente soldats poggiolais victimes de la première guerre mondiale. Devant, deux plaques sont posées. L'une est à la mémoire des morts de 1939-1945 et sur l'autre se lit la simple inscription en lettres dorées:

 

INDOCHINE

LT PIERRE MARIE NIVAGGIOLI

 

Pierre Marie aurait eu cent ans

 

Il s'agit d'un soldat oublié d'une guerre oubliée: la guerre d'Indochine qui, de 1946 à 1954, vit la France tenter de sauvegarder son empire colonial d'Extrême-Orient.

 

Pierre Marie NIVAGGIOLI était lieutenant au 4ème RAC (régiment d'artillerie coloniale) quand il fut tué au combat le 4 mai 1950 près de MY THO, dans le delta du Mékong, au sud de l'actuel Vietnam. Il eut la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze, la Croix de guerre des TOE (théâtres d'opérations extérieures) avec palme et étoile de bronze et la Légion d'Honneur.

 

Sa mort pourrait suffire pour se souvenir de lui. Mais son identité et sa naissance méritent également attention.

 

NIVAGGIOLI n'est pas un nom de Poggiolo. Il est fréquent à Murzo et à Muna. Mais la mère de Pierre Marie était d'origine poggiolaise.

 

Il naquit le 12 septembre 1923, non pas à Poggiolo ni en Corse, mais à Sousse, en Tunisie. Cette ville était alors, grâce à Jean François GALLINI, une véritable annexe des Deux Sorru. Pratiquement toutes les familles des villages des Deux Sorru y étaient présentes. Il est recommandé de lire l'article intitulé L'empire sahélien des Sorrinesi qui fait une étude approfondie de cette colonisation très particulière.

 

Statue de Gallini à Sousse.

Statue de Gallini à Sousse.

 

S'étant engagé dans l'armée, Pierre Marie NIVAGGIOLI suivit les cours de l'Ecole de Cherchell (en Algérie). Dans cette ville, à la caserne Dubourdieu, avait été créée l'E.E.A.A.F.N. (Ecole des Elèves-Aspirants d'Afrique du Nord) dans le but de former rapidement des centaines de chefs de section et de peloton nécessaires à l’ossature des unités de toutes armes après que, à la suite du débarquement anglo-américain de novembre 1942, l'Afrique du Nord française eut basculé dans le camp des Alliés.

 

Pierre Marie fit partie de la 4ème promotion, dite Promotion "MARCHE AU RHIN", qui forma 782 élèves du 16 avril 1944 au 30 octobre 1944, avant d'aller combattre en Europe.

 

Pendant sa formation, le 1er août 1944, les futurs aspirants furent passés en revue par le général de Gaulle, comme le montre la photo suivante.

 

Photo extraite du site http://www.emicherchell.com/ecole/historique.html

Photo extraite du site http://www.emicherchell.com/ecole/historique.html

Moins de six ans plus tard, le jeune officier mourait en Indochine.

 

Pour son centenaire, ayons une pensée pour Pierre Marie NIVAGGIOLI, symbole de ces Corses qui furent si intimement liés au sort de l'empire colonial français. 

 

Le 11 novembre prochain, lors de la cérémonie habituelle, la mairie aura-t-elle une attention particulière pour lui?

 

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10 septembre 2023 7 10 /09 /septembre /2023 18:00
La musique corse dans tous ses états

 

Depuis des années, Patricia BAUDOUX anime une émission hebdomadaire sur la musique et la chanson corse. Son hébergeur (Skyrock) ayant arrêté son activité, elle a dû créer un nouveau blog. Il est désormais en fonctionnement. 

 

En se connectant à son adresse Corsica l'émission, chacun peut écouter une émission généraliste d'une heure.

 

🎶🎵  De la polyphonie traditionnelle " paghjella ", de la monodie, de la variété,  du rock, de la pop, des morceaux instrumentaux  ...  Des groupes, des chanteuses, des chanteurs , des enfants. Toute la richesse du chant corse " cantu nustrale " et de la musique corse d'hier et d'aujourd'hui.   Des émissions à thème. Des émissions qui suivent le calendrier, qui suivent l'histoire de la Corse. Des émissions à la pointe de l'actualité du cantu nustrale et des artistes par la découverte des derniers albums sortis et que m'envoient très gentiment les artistes ou les maisons d'édition. 😉 La musique corse comme vous ne l'avez jamais entendue 😉  

 

 

Programme de l'émission du 10 septembre (la 778ème!!!):

 

une interview exclusive de Feli qui nous parle de son école de musique à Folelli et de tout ce qu'il met en place avec son équipe pour les enfants et les jeunes de son territoire.

Cliquer ici.

 

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9 septembre 2023 6 09 /09 /septembre /2023 19:30

 

Max SIMEONI vient de décéder. Peu connu de la jeune génération, il eut un rôle fondamental, avec son frère Edmond, dans le mouvement nationaliste corse. Les hommages sont très nombreux dans les milieux politiques et associatifs corses.

 

Vous trouverez ci-dessous l'article de Julian MATTEI paru sur le site de Corse-Matin qui résume bien la carrière militante de Max.

 

Max est mort

 

Puisqu'il est d'usage de raccrocher le parcours d'un homme à un évènement, à un discours qui aura laissé une empreinte dans les mémoires, l'odyssée militante de Max Simeoni restera sans doute liée à un texte qui fît date : "Je suis un nationaliste corse."

C'était il y a tout juste cinquante ans, le 19 août 1973, dans les colonnes d'Arritti, le journal des autonomistes, fondé quelques années plus tôt. Son éditorial est succinct, mais son contenu est déjà tout un programme. Celui d'une vie au service d'une cause, dont il fut l'un des guides les plus éclairés. La disparition de Max Simeoni, ce samedi 9 septembre 2023 à l'âge de 94 ans, laisse la Corse du nationalisme orpheline de l'un de ses pères. " Max a tout donné à cette cause qui lui paraissait juste, et dont il est resté un militant infatigable et dévoué, jusqu'à son dernier souffle ", se souvient Michel Angeli, un compagnon de route depuis les années 1960.

Max est mort

Les années 1960, c'est justement à cette époque que Max Simeoni rentre en Corse. Le trentenaire avait dû quitter l'île et son village de Lozzi pour suivre ses études de médecine à la faculté de Marseille. C'est à son retour, sa plaque à peine vissée sur la devanture de son cabinet, à Bastia, qu'il fait ses premiers pas en politique. Ses travaux, conduits dans le cadre du Cedic, le comité d'études et de défense des intérêts de la Corse, ancêtre du mouvement autonomiste, fondé en 1964, prennent déjà des allures de manifeste. Le jeune médecin livre à travers cet opuscule son analyse de la société insulaire et accuse Paris d'exploiter des activités lucratives dans l'île, au détriment des Corses, dont l'État favoriserait l'exode.

"Max est, à mon sens, le principal artisan du nationalisme, abonde Louis Sarocchi, vieux militant de l'action régionaliste corse et protagoniste de l'assaut de la cave d'Aleria, en août 1975. Il a grandement contribué à conceptualiser la lutte et à structurer la revendication."

La suite de son engagement politique s'écrit dans l'histoire de la Corse de ces cinquante dernières années. En 1967, il fonde l'ARC, l'action régionaliste corse, avec ses deux frères cadets, Edmond et Roland. Max influera dès lors dans tous les choix du mouvement nationaliste et sera de tous les combats. De l'Argentella aux " boues rouges ", en passant par les évènements d'Aleria." C'est lui qui a posé les fondements théoriques, à travers notamment la notion d'autonomie, considère Fabienne Giovannini, ancienne conseillère territoriale, qui fût aussi sa collaboratrice au Parlement européen. Il a compris très tôt que la lutte ne pouvait pas se limiter à la protestation, mais qu'il fallait structurer le mouvement et conscientiser le peuple. La fondation de l'hebdomadaire Arritti, en 1966, s'inscrit pleinement dans cet objectif. Edmond était la personnalité charismatique, et Max était le stratège."

Max est mort

Dans un entretien accordé à notre titre, en janvier 2019, quelques semaines après le décès de son frère Edmond, l'intéressé lui-même n'en disconvenait pas : " Je travaillais sur les fondations et lui, il déblayait le terrain autour pour donner une vision publique constante à notre action. " Les deux frères Simeoni ont exercé le même métier, défendu la même cause, y compris parfois en empruntant les chemins de la nuit combattante. En août 1976, un an après Aleria, Max Simeoni se fait activiste. Avec une poignée de militants, il dynamite la cave Cohen-Skalli, à Aghione, et prend le maquis.

Premier nationaliste au Parlement européen

Il revient sur la scène politique un an plus tard, en 1977. Toujours avec Edmond, il porte sur les fonts baptismaux l'UPC, l'Unione di u populu corsu. Un accident de santé éloigne un temps son frère du combat électoral. Max prend alors la tête de liste au moment où le mouvement fait ses premières armes. Il est élu conseiller à l'Assemblée de Corse en 1984. Son parcours politique prend une autre dimension lorsqu'il devient, cinq ans plus tard, le premier nationaliste à faire son entrée au Parlement européen, à la faveur d'une alliance avec les Verts, conduite par Antoine Waechter. En troisième position sur la liste, Max Simeoni poursuit alors un objectif : "internationaliser la question corse " en donnant un nouvel écho à la lutte nationaliste. Dans ses échanges avec Corse-Matin, l'ancien député européen n'en faisait guère mystère : " Cette échéance nous intéressait car elle nous offrait une tribune à une plus grande échelle, et le moyen d'attaquer Paris par l'extérieur comme voulaient le faire toutes les régions d'Europe concernées par les problèmes de peuples minoritaires. "

L'union des peuples minoritaires occupe, elle aussi, une place centrale dans le logiciel politique de Max Simeoni. Il participe, en 1981, à la fondation de l'alliance libre européenne (ALE), à laquelle adhèrent 46 partis défendant le droit à l'autodétermination des peuples, comme la diversité culturelle et linguistique. "Son objectif était avant tout de fédérer pour donner davantage de poids à notre lutte", avance Fabienne Giovannini.

Cet élan ne s'arrête pas là. En 1994, Max Simeoni s'inscrit parmi les membres fondateurs de la fédération Régions et peuples solidaires (RPS), un mouvement rassemblant, à l'échelle de la France, des partis régionalistes basques, bretons, alsaciens, catalans, occitans et corses. La liste qu'il conduit n'obtiendra aucun élu aux européennes de 1994. Mais la démarche est lancée : un an plus tard, Max Simeoni tente, en vain, de candidater à l'élection présidentielle pour sensibiliser l'opinion nationale au " problème corse. "

" Chaque souffle de sa vie a été dédié à la lutte commune, estime le député européen (Femu a Corsica), François Alfonsi. Sa vision à long terme et son engagement militant ont ouvert la voie. " Une voie qui, s'il s'en était écarté au cours des dernières années en raison de son âge avancé, n'a jamais cessé d'attiser le regard éclairé du patriarche. Jusqu'à ses derniers jours, Max Simeoni resta l'éditorialiste parfois mordant du journal qu'il avait contribué à fonder, comme une vigie de cette lutte nationaliste dont il fût l'un des plus discrets bénédictins.

À cet égard, son ultime entretien avec Corse-Matin peut aussi être lu à la manière d'un testament à l'endroit de son neveu, Gilles simeoni, qui l'incarne aujourd'hui à la tête de l'exécutif : " Quand Gilles lâche "Tamanta strada", il fait allusion aux cinquante dernières années, mais la route qui reste à faire est plus longue, ou tout au moins plus difficile. Nous avons besoin d'un pouvoir fort, et pour l'avoir, il faut avoir l'autonomie. Pour avoir cette autonomie, il faut que l'essentiel du peuple corse la réclame comme un besoin, et non pas pour faire plaisir à un élu. Avec cette autonomie, il faudra plusieurs années pour remonter la pente. On ne travaillera pas pour nous, mais pour nos petits-enfants. "

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9 septembre 2023 6 09 /09 /septembre /2023 18:00

 

Le Comité des Fêtes U Pighjolu-I Bagni vient de publier les dates de ses prochaines activités.


Notez-les tout de suite.

 

A noter sur vos agendas
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8 septembre 2023 5 08 /09 /septembre /2023 18:10
Du soleil, de l'affluence et de la ferveur pour la Santa.

 

Aucun 8 septembre ne se passe sans que la Nativité de la Vierge soit célébrée à la chapelle du col de Sorru. Cette année, la ferveur et le nombre étaient présents. Lisez le compte-rendu rédigé par Hélène DUBREUIL.

Une Santa au col de Sorru comme tous les ans a rassemblé beaucoup de monde des villages de Sorru in su. Il y avait le soleil, des enfants, des familles et même un enfant de chœur.

Du soleil, de l'affluence et de la ferveur pour la Santa.
Du soleil, de l'affluence et de la ferveur pour la Santa.

Une belle messe chantée par les chanteurs  du haut canton  suivie de l’habituelle procession.

Du soleil, de l'affluence et de la ferveur pour la Santa.
Du soleil, de l'affluence et de la ferveur pour la Santa.
Du soleil, de l'affluence et de la ferveur pour la Santa.



Ce fut un moment de partage et d’émotion quand le père Charles a évoqué le souvenir de la famille Cipriani qui a assuré la transmission de cette tradition…

Pour beaucoup d’entre nous, enfants, la Santa de Sorru sonnait la fin des vacances et les anciens évoquaient avec un peu de nostalgie «l’aria sittembrina», annonciatrice d’un changement de saison.

Du soleil, de l'affluence et de la ferveur pour la Santa.
Du soleil, de l'affluence et de la ferveur pour la Santa.

 

Renseignements sur la chapelle du col de Sorru:

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8 septembre 2023 5 08 /09 /septembre /2023 06:48

 

 

TOUTES NOS CONDOLÉANCES.

 

 

Obsèques à Orto
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6 septembre 2023 3 06 /09 /septembre /2023 17:59

 

Retisser les liens entre les générations et rendre hommage aux figures emblématiques du village, ces objectifs sont poursuivis dans plusieurs villages dont nous avons signalé les initiatives, aussi bien à Letia qu'à Figari.

 

C'est au tour de Zicavo de présenter une exposition intitulée "Mimoria di Zicavo" avec près de 170 photos envoyées par toutes les familles de la commune, comme le signale Corse-Matin de mercredi 16 août.

 

Poggiolo avait connu une telle initiative voici 24 ans (voir l'article "Quand les Poggiolais regardaient leurs ancêtres").

 

Il serait temps de la renouveler.

 

Cliquer sur l'article pour l'agrandir.

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Présentation

  • : Le blog des Poggiolais
  • : blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù). Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
  • Contact

Qu'est-ce que ce blog?

Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité.
POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici.
Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO.
Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images.
Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).

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Le calendrier poggiolais

 

 

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L'album de photos des Poggiolais:

Pour le commander, suivre le lien:

https://www.collectiondesphotographes.com/i-nostri-antichi-di-u-pighjolu-de-philippe-prince-demartini.html

 

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Votre ancêtre a participé à la guerre de 1914-1918?

Envoyez une photo de lui à l'adresse larouman@gmail.com

Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.

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Vacances de Pâques:

du samedi 12 avril au lundi 28 avril.

Vacances d'été:

samedi 5 juillet.

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La météo poggiolaise

Pour tout savoir sur le temps qu'il fait et qu'il va faire à Poggiolo, cliquez sur LE BULLETIN METEO

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