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17 janvier 2025 5 17 /01 /janvier /2025 07:00

 

Saint Antoine du Désert, nommé souvent saint Antoine au cochon, a, dans le calendrier religieux officiel, sa fête le 17 janvier. A Sorru in sù, il sera célébré le 18 et le 19.

 

 

Samedi 18 janvier, à 15 heures, messe dans la chapelle de Guagno-les-Bains, récemment acquise par la municipalité.

 

 

Dimanche 19, à 11 heures, à l'église d'Orto, messe suivie de la bénédiction des petits pains.

 
Saint Antoine va être fêté deux fois
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26 décembre 2024 4 26 /12 /décembre /2024 12:06

 

 

La phrase du pape François
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24 décembre 2024 2 24 /12 /décembre /2024 23:23

 

 

Joyeux Noël !
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18 décembre 2024 3 18 /12 /décembre /2024 08:14

 

Vendredi 13 décembre a été le grand jour de chance pour François Bayrou qui est devenu premier ministre.

 

Mais il ne faut pas oublier que cette date est celle de la fête de sainte Lucie qui a toujours été très honorée en Corse, même si, cette année, elle a eu lieu l'avant-veille de l'arrivée du pape François. Elles fait partie de ces traditions dont le pontife a dit qu'elles sont une richesse.

 

A Poggiolo, on peut prier sainte Lucie. Dans l'église Saint Siméon, dans la deuxième chapelle à droite en entrant, se trouve une statue la représentant. Elle surmonte un autel frappé de ses initiales (S. L.). Dans cette même chapelle, sur le côté, a été placée une statue représentant sainte Madeleine.

 

Le jour de François Bayrou et de sainte Lucie

 

Sainte Lucie est ici depuis longtemps, depuis 143 ans.

 

C'est en 1881 qu'elle fut donnée à la paroisse de Poggiolo par Jean-Baptiste PINELLI, si l'on en croit l'inventaire effectué en juin 1905. Elle avait une valeur de 40 francs. Seule, la statue de saint Siméon avait un prix plus élevé.

 

Le jour de François Bayrou et de sainte Lucie

 

Qui était ce généreux donateur?

 

Un enfant de Poggiolo où il naquit le 21 août 1848. Il s'engagea dans l'armée en octobre 1866 et y fit une longue carrière. Jean-Baptiste PINELLI, décédé le 15 juillet 1917 à Paris, fut le Poggiolais le plus âgé ayant participé à la première guerre mondiale (fiche 97 de notre liste). Il fut le père de Noël PINELLI, le seul Poggiolais à avoir été membre d'un gouvernement.

 

Connaissez-vous cette statue? 

 

Pour connaître les nombreux trésors religieux de Poggiolo et Guagno-les-Bains, il faudrait organiser des visites guidées.

Un livre des églises et chapelles de la commune serait certainement utile. Qu'en pensez-vous?

 

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16 décembre 2024 1 16 /12 /décembre /2024 11:10
Deux phrases qui disent tout.
Deux phrases qui disent tout.

 

Corse-Matin lundi 16 décembre 2024

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16 décembre 2024 1 16 /12 /décembre /2024 07:00

 

Inutile de montrer un reportage de la journée du pape François à Ajaccio. Les réseaux sociaux et autres blogs ou sites internet s'en chargeront largement.

 

On se contentera d'une simple photo ayant un rapport avec les Deux Sorru. Et ce sera tout.

 

Pendant la messe au Casone, lors de la prière universelle, une intention a été lue, en lingua nustrale, par Elisabeth BERFINI, prieur de la Cunfraternita di u Padre ALBINI. 

 

Une journée historique pour la Corse, les Corses et les confréries

 

 

 

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14 décembre 2024 6 14 /12 /décembre /2024 07:00

 

La journée du pape François à Ajaccio sera très dense. Il faudra bien faire attention aux différents moments. Le journal La Provence en a donné le résumé.

Le premier arrêt aura lieu au baptistère San Ghjuvà, qui abrite les premiers vestiges paléochrétiens ajacciens datant du Ve siècle, pour une bénédiction et un temps de prière. Le cortège papal assistera ensuite à la clôture du colloque sur la piété populaire, avant d'observer une courte halte devant la mairie.

Le pape se recueillera ensuite devant la statue de la Madunnuccia, sous la protection de laquelle la ville a été placée en 1656, alors que la peste sévissait à Gênes.

La visite papale se poursuivra à la cathédrale d'Ajaccio, rénovée avec quelques mois d'avance, où l'attendront des représentants du clergé local et de France. Une délégation du diocèse marseillais sera également présente sur place.

Après un temps de repos, le souverain pontife rejoindra enfin la place du Casone pour y célébrer une messe, à 15 h 30. La célébration devrait durer environ deux heures et pourra être suivie par 8 000 personnes directement depuis le site. Une rediffusion aura également lieu place Miot, où une fan zone a été mise en place.

Le pape François s'envolera enfin pour Rome à 18 h 15, non sans avoir pris le soin de consacrer un temps d'échange au président Macron, à l'aéroport d'Ajaccio.

 

Rappel des différents moments prévus pour dimanche 15 décembre
Rappel des différents moments prévus pour dimanche 15 décembre
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13 décembre 2024 5 13 /12 /décembre /2024 07:00

 

S'il faut préparer l'arrivée du pape François à Ajaccio, on n'oublie pas la préparation de Noël dans les villages. 

Le moment de préparer crèches et églises

 

Ainsi, à Soccia, la crèche a été installée, ce qui n'est pas un mince travail car il faut transporter tout un décor particulier.

 

Photos du groupe Facebook Santa Maria Soccia.
Photos du groupe Facebook Santa Maria Soccia.
Photos du groupe Facebook Santa Maria Soccia.
Photos du groupe Facebook Santa Maria Soccia.
Photos du groupe Facebook Santa Maria Soccia.

Photos du groupe Facebook Santa Maria Soccia.

 

Les bénévoles en ont profité pour bien nettoyer l'église. Elle sera prête pour la messe de Noël.

 

Le moment de préparer crèches et églises

 

Et n'oublions pas l'arbre de Noël qui sera organisé samedi 14 décembre.

 

Le moment de préparer crèches et églises
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11 décembre 2024 3 11 /12 /décembre /2024 07:00

 

France 3 Corse ViaStella a signalé dans un communiqué que l’ensemble de ses équipes se mobilise pour suivre le voyage du pape François à Ajaccio. Texte ci-dessous.

 

Dimanche 15 décembre, vous pourrez suivre la visite du Pape en direct sur notre antenne numérique et sur ViaStella dès 8 heures, à l’arrivée du pape à l’aéroport Campo dell’oro. La rédaction de France 3 Corse prendra l’antenne toute la journée jusqu’au départ du souverain pontife avec en point d’orgue la messe en direct à 15h 30. 

Une tranche d’informations de plus de 9h de direct sur ViaStella et internet qui sera notamment retransmise sur les écrans géants installés dans les rues d’Ajaccio et dans de nombreuses villes et villages de l’île. 

Les équipes de France Televisions seront aussi fortement impliquées avec la présence France Info et de France 2 qui proposeront une couverture des temps forts de cette journée sur les antennes nationales du groupe.  

Durant la semaine précédant la visite les éditions d’information seront largement consacrées au déplacement du souverain pontife.

De plus, toutes les émissions de décryptage du Corsica Sera seront dédiées à cette visite. L’Ochjata du 6 décembre sera consacrée à la religion catholique en Corse, le Cuntrastu du 11 décembre aura pour invité le Cardinal Bustillo, artisan de la visite du pape en Corse. 

Des documentaires sur la religion dans l’île seront également diffusés durant la semaine. 
À noter que les journaux télévisés auront pour décors le site du Casone où se tiendra la messe le dimanche 15 décembre, dès le samedi précédant l’évènement .  

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Une initiative à signaler: à Marignana, la visite papale sera retransmise toute la journée sur grand écran. 

 

Comment suivre le pape toute la journée du 15 décembre
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10 décembre 2024 2 10 /12 /décembre /2024 07:00

 

Avant l'arrivée du pape François, Corse-Matin publie lundi 9 décembre un article intéressant sur l'importance des confréries en Corse.

 

Ressuscitées, les confréries attendent le pape.

En Corse, des confréries ressuscitées,

boostées par l'aura du cardinal Bustillo

 

 

Portant haut l'oriflamme, elles incarnent un renouveau hors norme dans l'île - où elles sont plus d'une centaine pour quelque 4 000 membres - berceau le plus fertile, en France, de ces communautés également boostées par celui qui en fait un point cardinal. Décryptage.

 

"Si je n'étais pas confrère, il me manquerait une finalité. Un morceau de moi". C'est dit dans un souffle, une conviction intime partagée sur l'autel d'un chemin tracé depuis longtemps.

Jean-Michel Bisgambiglia vient de rentrer chez lui, à Peri, non loin d'Ajaccio, après une journée chargée. Dévouée, surtout. Il fait partie, à l'instar de centaines de bénévoles ayant répondu à l'appel, de ces petites mains qui tissent chaque jour les conditions d'accueil de François, le 15 décembre prochain.

Le trentenaire, prieur - depuis bientôt dix ans - de la confrérie San Larenzu, née au XVe siècle, mise sous l'éteignoir après que les trente-cinq jeunes partis au front en 14-18 ne sont pas revenus, se définit comme un "laïc engagé", aime-t-il répéter. Un socle commun à ces associations loi de 1901, qu'elles soient enracinées depuis des siècles, ou tout juste portées sur les fonts baptismaux.

Au sein de la compagnie, réactivée en 2004, Jean-Michel Bisgambiglia vit sa confraternité "chaque jour, en cultivant le lien social pour aider les plus vulnérables. Nous jouons également un rôle de paceri, de faiseurs de paix".

À la clé, un volet culturel, indissociable et fondateur, qui n'efface rien du cultuel - "nous sommes là pour épauler le curé" - le transcendant afin de mieux le servir, sans rien sacrifier de traditions qui passent aussi par la transmission et la "restauration du patrimoine liturgique".

Mais avant d'en arriver là, elle fut longue la route.

Ressuscitées, les confréries attendent le pape.

"Un refuge sur notre terre à forte identité"

Bannies par la Révolution française et un décret du 18 août 1792, les confréries - elles sont alors trois cents en Corse - apparues vers la fin du Moyen-Âge sous l'inspiration des ordres franciscains, afin d'instaurer le rituel de la Passion du Christ et la notion de pénitence, survivront d'abord secrètement. Puis, elles retrouveront grâce sous l'Empire, et leur place, progressivement, au cours du XIXe siècle. Plus tard, la Première Guerre mondiale les saignera, entraînant leur quasi-disparition.

Il n'empêche, "certaines n'avaient pas totalement rendu l'âme, éclaire Cécile Liberatore-Ruggieri, guide conférencière au musée de la Corse et auteure d'une enquête sur les vieilles compagnies pieuses de l'île. C'est dans les années 1970, que le Riacquistu permettra leur renaissance".

Jusqu'à atteindre un engouement spectaculaire à partir des années 2000, date à laquelle blasons, bannières, oriflammes, flottent à nouveau sur les nombreuses fêtes et événements religieux à travers l'île.

"Lorsque la procession s'achève, on est envahi par un sentiment très particulier, glisse une jeune novice, à bas bruit. Ce n'est pas seulement une histoire de foi, plutôt une envie de croire que l'on peut se côtoyer différemment les uns les autres".

Aujourd'hui, les diverses communautés, aux couleurs de la mantelletta qui les identifie, ont regagné du terrain, fait des émules.

"J'en avais recensé 70 à l'époque de l'enquête, en 2009, aujourd'hui, il y en a plus d'une centaine, réactualise Cécile Liberatore-Ruggieri, pour quelque 4 000 membres. La Corse étant le territoire le plus actif en France".

Notamment, parce qu'à contre-courant du continent, "les confréries agissent comme un refuge sur notre terre à forte identité, décrypte l'autrice, et rassurent dans un monde en proie aux effets de la mondialisation".

En corollaire, la prégnance de l'attachement familial, insiste la guide-conférencière. "On va en confrérie parce que le grand-père en était. On trouve ainsi dans ces associations qui maillent l'île, beaucoup de jeunes motivés par le chant, la langue, il est là, le vecteur".

Ressuscitées, les confréries attendent le pape.

Cœur de communauté

D'accord, Christophe Mondoloni, qui a co-fondé la confrérie d'Afa, en 2019. "Dans 80 % des cas, le chant est présent, confirme-t-il, les églises fonctionnant comme de véritables centres de formation. La plus ancienne confrérie de Corse, A compagnia del Santissimo Sacramento de Sartène, dont je me suis inspiré pour monter celle d'Afa, a sa propre messe chantée que l'on perpétue".

De la région ajaccienne à l'éperon rocheux qui soutient le village de Speloncato, en surplomb de la vallée du Reginu, en Balagne, une même vocation. Donner de la voix.

"Nous disposons de notre oratoire et chaque fois qu'un habitant décède, nous célébrons un office, c'est notre vrai boulot. Tout le monde pense qu'être confrère consiste à s'habiller et défiler à la messe, non. Nous avons gardé le répertoire de Speloncato avec 53 chants différents", s'enorgueillit Raphaël Quilici, 42 ans, qui fut, à l'âge de 20 ans, à l'origine de la refondation de la confrérie Saint-Antoine Abbé, forte d'une vingtaine de membres.

Au-delà de l'aspect religieux, pointe-t-il, l'important, c'est la cohésion, a fortiori dans le rural. "La confrérie est le cœur de la communauté. Quand nous fabriquons des petits pains pour la Saint-Antoine Abbé, en allumant le four communal et en invitant le village à se rassembler, ce n'est pas parce que l'on a besoin de monde, mais pour passer un moment ensemble".

La volonté d'agir, de coudre de l'entraide et de la fraternité, Émilie Cherubini, 24 ans, ex-prieuse de la confrérie Santa Croce, à Saint-Florent, la met en œuvre naturellement.

Rentrée dans la compagnie à 19 ans, elle développe, avec la quarantaine de confrères qui l'entourent, l'idée "d'une solidarité à travers le social".

Ressuscitées, les confréries attendent le pape.

Une "bienveillance" utile, renchérit l'Ajaccienne Marie-Paule Berti, consœur dans les rangs exclusivement féminins de Notre-Dame de la Miséricorde, liée à la Vierge Marie.

"Je suis très croyante et je trouvais que la religion chrétienne perdait de sa valeur. Participer à la vie religieuse de la cathédrale, m'occuper des autres, m'apaise".

"Serrer la main du Saint-Père"

Fin octobre 2024, le cardinal François Bustillo bénissait les douze confrères de Sant'Antone Abbate, à Orto, saluant la résurgence d'une confrérie en sommeil depuis la Seconde Guerre mondiale.

Une renaissance visant, martèle Barthélémy Rutily, qui en est l'une des chevilles ouvrières, à conjurer le sort face à l'intérieur de l'île "qui se meurt" afin de "recréer une entité soudée dans une région où les villages se jouxtent".

La venue du pape ? "Elle peut être de nature à susciter l'émergence de confréries, réfléchit l'Orticais, néanmoins le travail est déjà fait par notre cardinal, notre vicaire".

Ressuscitées, les confréries attendent le pape.

Il prêche une convaincue, Cécile Liberatore-Ruggieri considérant que le renouveau auquel "on assiste n'a pas besoin de François pour être amplifié, le cardinal, très proche des confréries, étant déjà un médiateur privilégié entre ces dernières et l'Église".

Demeure, cependant, l'incontestable effet Bustillo, prompt à susciter des "créations", abonde Christophe Mondoloni, tandis que l'accompagnement des compagnies a été restructuré, indique l'abbé Frédéric Constant, vicaire général du diocèse d'Ajaccio. Deux diacres ont été désignés, Pierre-Ange Agostini pour le nord et François-Aimé Arrighi pour le sud.

"Si on ne croit plus en rien, on est perdu", lance Marie-Paule Berti, avant de revenir à des considérations plus pragmatiques lorsqu'on lui demande ce que lui apporte la venue du pape. "Énormément de travail", lance-t-elle, avec une franchise désarmante. Mais en rêvant, confesse-t-elle, de "serrer la main" du Saint-Père. Un rêve qui ne restera peut-être pas à l'état de vœu pieux.

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Présentation

  • : Le blog des Poggiolais
  • : blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù). Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
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Qu'est-ce que ce blog?

Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité.
POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici.
Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO.
Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images.
Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).

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