Les Oblats de Vico et les fidèles qui s'étaient déplacés samedi 1er et dimanche 2 août ont honoré Notre Dame des Anges avec une grande ferveur en présence de Mgr de Germay, évêque de Corse.
Plutôt qu'un long texte, nous vous proposons quelques photos de la procession du samedi à la grotte et de la messe du dimanche en plein air. Vous y reconnaîtrez un Poggiolais.
Pour être au courant de l'actualité religieuse, regardez la page Facebook Couvent de Vico.
Rappel: tous les mardis d'août à 20 heures, la communauté des Oblats vous invite à un temps de rencontre et de convivialité sous la forme d'un apéritif sous le tilleul de la place du couvent. Participation libre.
Le couvent de Vico célèbre la fête de “Priziuncula“ (ou de “la Portioncule“) les 1er et 2 août en présence de Mgr de GERMAY, évêque de Corse.
Des explications supplémentaires sur l'importance du 2 août à Vico ont été publiées récemment dans la page Facebook du couvent:
Ce dimanche, le 2 août nous allons célébrer une ancienne fête franciscaine
« La Portioncule.»
Pour nous les oblats elle a aussi une importance particulière.
En fait, la toute première célébration liturgique des oblats à Vico a eu lieu le 2 août 1836 - la fête de la Portioncule! Père Albini décrit « un grand concours des pays voisins » et se désole face au « très peu de confessions.»
Un siècle plus tard, la réouverture de la maison oblate après l’expulsion a eu lieu... encore le 2 août 1935! Père Bernardin d’Istria dans son homélie dit alors « tournons cette triste page d’histoire, l’avenir se présente à nous, plus glorieux je l’espère »
Pour nous les oblats, la Portioncule est une fête de notre arrivée et de notre retour à Vico, de notre confiance en l’avenir !
Dimanche à 10h30 sur l’esplanade du Couvent. Venez fêter avec nous !
Sur la photo la fête du retour - la Portioncule, 1935.
Samedi, 1er août et dimanche 2, le couvent de Vico célèbrera la fête de la Priziuncula (ou Portioncule) au début du mois d'août.
Samedi 1er août, à 21h30, se déroulera la procession à la grotte.
Dimanche 2 août, à 10h, la messe sera présidée par Mgr de Germay, évêque de Corse.
Rappel: qu'est-ce qu'A Priziuncula?
Depuis la fondation du Couvent Saint François d’Assise à VICO par les Franciscains en 1481, la fête de Notre Dame des Anges a toujours été célébrée, d’abord par les Franciscains (jusqu’à la Révolution Française) et ensuite à partir de 1835 par les Oblats de Marie Immaculée ( sauf entre 1905 et 1935); c’est A PRIZIUNCULA qui a lieu le 2 août.
La Portioncule (Porziuncola en italien) est la chapelle qu’a reconstruite François d’Assise en 1209, où il a fondé son OFM (ordre des Frères mineurs), où se sont réunis les premiers chapitres généraux franciscains et où il est mort.
Une nouvelle fois, nous vous offrons la version électronique du bulletin interparoissial «INSEME» qui ne peut pas encore être distribué sous forme papier pour le mois de juillet. Cliquez sur le lien qui suit.
Vous y trouverez des réflexions religieuses et médicales sur l’épidémie de Covid, un reportage sur les îles Kerguelen où un Vicolais a accompli une mission de 9 mois, la présentation de l’association Si Po Fa et des annonces sur les activités de l’été.
Bonne lecture
PS: les bulletins "Inseme" sont tous publiés sur le blog http://inseme-bulletin.hautetfort.com
Bulletin du mois de juillet 2020
"INSEME" est un bulletin mensuel gratuit publié par l'Association des Amis du Couvent de Vico. Il fournit les informations religieuses des communautés catholiques des cantons des Deux-Sevi et des...
L’église Saint Siméon de Poggiolo s’enorgueillit de posséder de magnifiques fonts baptismaux en marbre blanc.
Et, surtout, ils seraient un cadeau de l’évêque de Sagone.
Ils se trouvent juste à côté de la porte d’entrée. Ils auraient été donnés à la paroisse en 1644. C’est du moins ce qui est écrit dans « l’inventaire des meubles et objets affectés au culte dans les églises de Poggiolo » de juin 1905.
Cadeau ou non, l’origine sagonaise est enregistrée dans l’arrêté ministériel du 6 mai 1982 qui classe monument historique cette « cuve baptismale aux armes de Mgr Raphaël PIZZURMO, marbre blanc, XVIIe siècle (provient de l’ancienne cathédrale Saint-Appien de Sagone) ».
Effectivement, sur le bord de l’objet, on peut lire « EPISCOPUS SAGONEN », le reste étant effacé.
Mais un doute a été avancé par Xavier PAOLI.
A la suite d’un meurtre particulièrement odieux qui souilla le sanctuaire en 1634, Saint Siméon avait été désacralisée et remplacée par la chapelle Saint Roch.
L’assassinat avait provoqué une grave crise entre Mgr SIRI, l’évêque de Sagone précédent, et le gouverneur génois d’Ajaccio, crise qui n’était pas totalement apaisée quand Raphaël PIZZURNO (et non pas PIZZURMO) obtint sa nomination en 1639. Il prit ses fonctions en février 1640 à Calvi où le siège épiscopal était fixé depuis 1625, après avoir été à Vico, Sagone étant trop menacé par les attaques barbaresques.
On ne sait pas quand l’église poggiolaise put reprendre ses activités mais l’année 1644 était peut-être un peu prématurée. Le cadeau aurait-il été donné à l’occasion de la resacralisation du bâtiment ?
Toujours est-il que, de toutes les visites pastorales dont la trace a été conservée, celle de 1686, par de PETRIS, délégué de Mgr Gio. Battista SPINOLA, envoyé par Rome pour inspecter les diocèses de Corse, est la seule à ne pas décrire Saint Siméon et les objets liturgiques. Le rapport se contente de noter qu’il n’y a pas de campanile mais « des cloches perchées sur un châtaignier » et qu’il existe deux confréries (une pour les hommes, une pour les femmes « en costume blanc ») dans la paroisse.
Un siècle plus tôt, en 1589, Mgr MASCARDI avait trouvé des fonts baptismaux « en maçonnerie ».
L’église est de nouveau présente dans la relation de la visite opérée par Mgr COSTA, évêque de Sagone, le 15 juin 1698. Il est écrit : « fonts baptismaux avec couvercle de bois non doublé de tissu…Il faudra le faire ». La doublure fut encore réclamée lors des visites de 1702 et 1708. A cette dernière date, il est précisé que ces fonts conservaient alors « huiles et eau pour les baptêmes des trois villages Poggiolo, Orto, Soccia », ce qui était normal pour une église piévane. Mais aucun de ces rapports ne donne l’origine des fonts.
Déjà malmenée par des doutes chronologiques, l’idée du cadeau de l’évêque est battue en brèche par un document du XIXe siècle.
Dans le rapport de la visite épiscopale de 1887, il est écrit : « cuve des fonts baptismaux dit-on cachée par des bergers à la plage de Sagone puis plus tard ramenée à Poggiolo ». L’état d’abandon de St Appien aurait permis cette capture.
Cette version, qui a été transmise par tradition orale dans certaines familles poggiolaises (Michel FRANCESCHETTI se souvient l'avoir entendue de la bouche de son grand-oncle Filippone), rejoint ce qui est imprimé dans le bulletin paroissial de Vico en décembre 1931.
Un article, anonyme mais vraisemblablement rédigé par le curé Dominique FRANCHI, donnant un bref historique du diocèse, consacre un petit paragraphe à « ce qu’est devenu le mobilier de l’ancienne Cathédrale de Sagone ».
La réponse est :
« Les objets massifs du culte après être restés longtemps sur place furent heureusement sauvés de la destruction par les paroisses voisines. La tradition veut que le Tabernacle du Maître-Autel surmonté d’un beau ciborium en marbre multicolore se trouve eu couvent de Saint François de Vico. Le baptistère également en beau marbre blanc est dans l’Eglise de Poggiolo. Les habitants de Renno que leurs démêlés continuels avec les Grecs de Paomia obligeaient à passer souvent devant la Cathédrale en ruine, en profitèrent pour en déménager l’un de ses plus beaux autels dédiés à Saint Roch ».
Malheureusement, l’article ne donne aucune date et le texte, assez ambigu, peut faire penser que les faits remonteraient à la suppression du diocèse par la Révolution Française.
Le doute n’est pas permis : les fonts baptismaux de Poggiolo proviennent bien de la cathédrale de Sagone. Mais un cadeau ou une récupération d’un objet à l’abandon ?
Comme la silhouette de l'église Saint Siméon domine largement le village de Poggiolo, tout le monde croit la connaître. Pourtant, certains des lecteurs de ce blog ne se souvenaient pas de l'existence de la statue de Jeanne d'Arc qui a fait l'objet d'un article récent.
Il serait peut-être utile de procéder à une visite du bâtiment.
Sa construction fut décidée en 1863 pour remplacer l'ancienne église qui était trop vétuste. Le gros œuvre fut achevé en 1874.
L'ancien édifice est décrit dans l'article A quoi ressemblait l'ancienne église? (1/2)
Comme la majorité des églises catholiques, Saint Siméon est en forme de croix latine.
Le chœur montre l'Est, ainsi qu'il en est traditionnel. Il est à fond plat et non pas arrondi.
La nef est large tandis que les branches Nord et Sud du transept sont assez courtes. Ces deux branches forment deux chapelles: celle du Nord (à gauche) est dédiée à la Vierge et celle du Sud (à droite) à Saint Jean-Baptiste.
En bordure de la nef, ont été placés quatre autels.
A gauche, un est consacré à Notre Dame de Miséricorde. A droite, un est pour Sainte Lucie et l'autre est occupé par le "sepolcro" (voir les articles "Le Christ était noir" et "Le sepolcro de Poggiolo a été oublié").
Dans cet article, il va seulement être question de la chapelle St Jean Baptiste où se trouve la statue de Jeanne d'Arc. Elle a plusieurs voisines: cette chapelle regroupe 5 des 18 statues et 3 des 6 ex-voto dénombrés dans cette église.
En partant du chœur et en allant vers la droite, on voit la statue de Saint Martin, puis celle de Sainte Thérèse. Il est à remarquer que la petite sainte de Lisieux a été reconnue par l'Eglise à la même époque que la libératrice d'Orléans: béatifiée en 1923 et canonisée en 1925 (1909 et 1920 pour Jeanne).
Thérèse de l'Enfant Jésus eut rapidement une très grande popularité, dont témoigne la présence, sous le tableau voisin, d'un ex-voto datant de 1931.
Entre les statues de Jeanne et de Thérèse, une peinture à l'huile est accrochée. Elle mesure 1,52m sur 1,16m et représente le baptême du Christ par Jean Baptiste.
Ce tableau est classé au titre d'objet par les Monuments Historiques depuis le 26 septembre 2016. Trois autres objets de cette église sont également classés, et depuis plus longtemps. Ils seront présentés dans d'autres articles.
Ce blog l'écrit et le rabâche depuis toujours: il existe vraiment des richesses à Poggiolo !!!
L'auteur de cette œuvre n'est pas connu. Il serait un Corse du XIXe siècle.
La scène du baptême est reproduite sur la voûte de la chapelle grâce au talent du peintre Mario SEPULCRE qui a restauré en 2007 les fresques originelles de COPPOLANI et BASSOUL datant de 1903.
Au fond de la chapelle, a été placé un autel parfaitement identique à celui de la Vierge qui se trouve dans la chapelle d'en face. Mais celui-ci supporte la statue de Jean Baptiste reconnaissable à son vêtement en poils de chameau cité dans l'Evangile.
Leca Anna-Maria ; Medurio Noelle, “église Saint-Siméon,” Médiathèque Culturelle de la Corse et des Corses.
La photo ci-dessus date de juillet 2013, dans le cadre de la collecte de renseignements opérée par Noelle MEDURIO et Anna-Maria LECA pour un travail universitaire (voir l'article "Deux jeunes filles ont enquêté sur notre patrimoine").
Mais la statue a une autre allure dans une photo du 21 août 2016: les poils de chameau sont devenus dorés !
Entretemps, elle a été restaurée par l'artiste Ewa POLI.
Cette statue est ancienne car elle est mentionnée dans l'inventaire de juin 1905. Elle était alors placée au même endroit. Elle fut offerte par Jean-Baptiste PAOLI (1824-1907) en 1875 et avait une valeur de 30 francs.
Les autres statues de la chapelle n'étant pas citées dans cet inventaire, elles ont donc été installées après 1905.
La statue de Saint Restitute est dans ce cas. Cette sainte, ici représentée agenouillée, était la patronne seconde du diocèse de Sagone depuis 1729. Une plaque de 1925 exprime sa reconnaissance pour une prière, avec une faute d'orthographe qui a transformé son nom en Restitude. La statue a donc été installée entre 1905 et 1925. Plus de renseignements sur Restitute en cliquant ICI.
La statue de Jeanne d'Arc évoquée dans un article précédent n'est vraiment pas toute seule.
Mais, si la chapelle St Jean Baptiste vient d'être décrite, la visite de l'église de Poggiolo n'est pas terminée.
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En dehors de la copie d'écran Google, d'Ewa Poli et de la photo de l'autel St Jean Baptiste, tous les schémas et toutes les photographies de cet article sont de Michel Franceschetti.
Que l'on ait été appointé ou bénévole, faire sonner les cloches de Saint Siméon avant leur électrification demandait à la fois du doigté, de l'oreille, de la force musculaire et le sens de l'équilibre. Le son pouvait se produire en tirant les cordes mais aussi en actionnant les battants à la main.
C'est de cette seconde manière que, par exemple, le 10 août 2008, Bernard Franceschetti annonça le décès de Pascal Vecchi, comme le montrent les photos suivantes.
Mais quelle musique sort du clocher? Il est possible de l'entendre grâce à "Comment sonnent les cloches poggiolaises", film réalisé par Thierry Calderoni à l'occasion de la Toussaint 2008.
Avant le passage du clocher de Poggiolo à l'électricité, le 16 juin 2010, il fallait faire sonner les cloches à la main, ce qui n'était pas une mince affaire.
A la fin du XIXe siècle, le 16 avril 1882, un sonneur avait été recruté par le conseil de fabrique pour "sonner l'angelus, tous les jours, et les messes, les bénédictions le dimanche et les jours de fête". Le poste échut à Baptiste BATTESTI, originaire d'Orto mais marié avec Mattea DEMARTINI (renseignements donnés par Xavier PAOLI et publiés dans "L'Info U Pighjolu" d'avril 2007).
Le temps passant, il n'y eut plus de sonneur professionnel et les occasions de faire tinter les cloches de Saint-Siméon furent de plus en plus rares.
Mais il existait toujours des sonneurs occasionnels qui se transmettaient le savoir-faire ou le savoir-sonner. Le 30 août 2008, l'Association Artistique et Culturelle de Sorru in Sù et le comité paroissial de Poggiolo organisèrent une journée de formation qui eut beaucoup de succès et dont nous reproduisons le compte-rendu publié dans le "Corse-Matin" du lendemain. On remarquera la conclusion dont la prédiction s'avéra fausse deux ans plus tard.
Tintez les cloches!
Le 27 juillet à Poggiolo, le festival de Sorru in Musica a été un beau festival lors de sa soirée lyrique en plein air avec des musiciens de renommée internationale.
Un mois après, ce samedi 30 août, le festival de sonneurs de cloches a été un beau récital avec des stagiaires «sonneurs» de 20 à 83 ans et, agréable surprise, avec une candidate féminine poggiolaise. Les jeunes avaient de la vigueur, les seniors de la fougue maîtrisée, un beau cocktail où les sons partis du campanile survolaient les montagnes des Deux Sorru au gré des vents en cette matinée ensoleillée. Le campanile construit en 1892 à l'italienne, c'est-à-dire isolé de l'église de quelques mètres, abrite trois cloches qui furent bénies en 1877.
Assourdissant mais sublime
Le campanile n'existait pas encore, les cloches étaient alors suspendues à un châtaignier, mais elles étaient là et on les faisait sonner... par un employé appointé au salaire exorbitant de 50 francs (il s'agissait de francs or) révèle Xavier, l'historien du village.
Sonner les cloches en étant appointé, certes, mais avec l'obligation d'annoncer journellement l'Angélus, les messes fort nombreuses à l'époque, les fêtes et autres manifestations. Un escalier de bois abrupt de soixante marches dans le campanile permettait d'accéder au plateau des trois cloches, auquel succéda en 1953 un escalier en béton plus confortable. C'est sur ce plateau que se sont retrouvés les stagiaires appliqués, à l'écoute des conseils de Jean-Martin et Xavier. Ces sons, ce bruit, aïe, ale ... , c'est assourdissant mais sublime.
Le bénévolat à l’honneur
Ainsi Philippe, l'employé communal, fit preuve d'une grande technicité et maîtrisa les cordes malgré une formation réduite. Quant à Jean-Silius, l'adjoint au maire, la Cicone - la plus grosse des cloches - ne lui fit pas peur et virevolta autour de sa poutre ancestrale. Mélange de sons graves, mélange des genres, sans métronome, faisant fi de la clé de sol ou de la clé de fa ou du battement de la baguette du chef d'orchestre qui n'existe pas. L'association artistique et culturelle de Sorru in Sù et le comité paroissial de Poggiolo, organisateurs du stage, ne peuvent se permettre de rémunérer, comme en 1882, un sonneur de cloche, d'où le bénévolat qui est à l'honneur avec l'engagement volontaire de chacun. Il existe, et ce fut cela la beauté de ce stage qui en appellera d'autres.
Les cloches de Poggiolo sonnées manuellement ont encore un bel avenir devant elles défiant le progrès des cloches actionnées électriquement.
J.-M. F.
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Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.
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Vacances de Pâques:
du samedi 12 avril au lundi 28 avril.
Vacances d'été:
samedi 5 juillet.
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