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6 août 2022 6 06 /08 /août /2022 10:58

 

   En août dernier, le monde littéraire était en effervescence car des manuscrits inédits de l'écrivain Louis-Ferdinand Céline avaient été révélés. Le rôle du Poggiolais Oscar Rosembly dans la disparition et la réapparition ces documents fut souvent évoqué, sans que l'on sache son importance exacte.

 

   Jean-Pierre Thibaudat, journaliste à Libération, qui fut le dépositaire de ces feuillets avant de les transmettre aux héritiers de l'écrivain, commence aujourd'hui 6 août une série de neuf vidéos pour expliquer cette histoire hors du commun.

 

   Dans la vidéo de présentation, il évoque Rosembly à partir de 4 minutes 50.

 

 

Le premier épisode du feuilleton peut être lu aujourd'hui ici sur Médiapart:

https://blogs.mediapart.fr/jean-pierre-thibaudat/blog/030822/celine-le-tresor-retrouve-la-revelation-19 

 

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28 juillet 2022 4 28 /07 /juillet /2022 18:00

 

   Contre l'insécurité, il faut avoir la volonté de la combattre et s'en donner les moyens.  Un exemple en fut fourni voici exactement deux cents ans. 

 

 

Le ratage du guet-apens

    Entre 1820 et 1827, le bandit Théodore Poli, de Guagno, faisait régner la terreur dans la région vicolaise. Le 29 juillet 1822, le trésorier-payeur Pozzo di Borgo se trouvait à Guagno-les-Bains et devait se rendre à Vico porteur d'une grosse somme. Mais il avait reçu plusieurs messages de plus en plus menaçants de Brusco, le principal lieutenant de Théodore, qui voulait le racketter (même si le mot n'existait pas encore).

 

    Le maire de Poggiolo décida de faire escorter le fonctionnaire par une quarantaine de villageois armés.

 

   Théodore et Brusco s'étaient postés derrière un rocher, sur la route de Sorru, à environ 4 kilomètres de la station thermale. En voyant arriver la troupe, les bandits renoncèrent à lancer l'assaut. Ils se contentèrent de tirer quatre balles qui tombèrent aux pieds des paysans et ils s'enfuirent en montrant le poing tandis que les Poggiolais se moquaient d’eux.

 

   Il faut reconnaître que de tels actes furent rares et que Théodore poursuivit sa carrière jusqu'à sa mort cinq ans plus tard mais la réputation du maire en fut renforcée.

 

 

 

Pascal Paoli parrain d’un Poggiolais

    L’édile courageux était Carlo Francescu Pasquale Pinelli et il était le filleul de Pascal Paoli.

 

   Pour montrer leur attachement au Général de la Nation, plusieurs familles de notables lui demandèrent d’être le parrain de leurs fils. Jean-Laurent Arrighi a répertorié trois cas à Vico, entre 1756 et 1764, pendant la période de l’indépendance («Vico Sagone, Regards sur une terre et des hommes», ouvrage collectif, ed. Piazzola, 2016, pages 81 et 82).

 

   Le cas poggiolais est particulier car le baptême eut lieu en l’église Saint Siméon le 30 septembre 1795. Depuis juin 1794, sous l’influence de Pascal Paoli, la rupture avec la France révolutionnaire avait été votée par la Consulte de Corte et le royaume anglo-corse avait été institué. 

 

Fonts baptismaux de l'église St Siméon de Poggiolo (photo Michel Franceschetti).

Fonts baptismaux de l'église St Siméon de Poggiolo (photo Michel Franceschetti).

   

Le nouveau chrétien, fils de Gioan Natale Pinelli et de son épouse Maria Leca, reçut les prénoms de «Carlo francesco Pasquale».

 

   Le dernier prénom est aussi celui du parrain que l'acte de baptême appelle «Sua Xccelonza il Signore Generale Pasquale de Paoli», formule mise en valeur car écrite avec des lettres plus grosses que les autres et avec de grandes boucles. Elle est encadrée en rouge dans la reproduction ci-dessous.

 

Pascal Paoli avait un filleul à Poggiolo

 

   Le doute n’est pas permis: ce personnage est bien Pascal Paoli, u «Babbu di a Patria», le Père de la Patrie corse.

 

   Le parrain n’était pas présent mais cette absence n’avait rien d’étonnant. Pascal Paoli n’était pas venu non plus aux baptêmes vicolais mentionnés ci-dessus. Il était remplacé par un mandataire. 

 

   Au moment de la cérémonie de Poggiolo, le vieux chef corse n’était d’ailleurs pas libre de ses mouvements. A Bastia, où il se trouvait alors, il était sous la surveillance constante des Anglais. Le 14 octobre, deux semaines après le baptême, il s’embarqua à Saint-Florent pour son exil en Angleterre où il finit sa vie. 

 

 

L’homme le plus cultivé de Corse

 

   Il est bon de savoir qui était l’homme qui représenta Pascal Paoli.

 

   L’acte du baptême indique que la procuration avait été attribuée «nella persona del Signor Dottor Giovantonio pinelli».

 

   Il est facile de reconnaître sous ces mots Gian Antonio Pinelli, surnommé «l’homme le plus cultivé de Corse».

 

   Né le 6 septembre 1760, Gian Antonio était le grand-oncle du jeune baptisé. Dans le document, il est qualifié de «Signor Dottor» car, entré dans les ordres, il devint docteur en théologie (1785) et en droit (1789).

 

   Au début de la Révolution Française, il fut élu à l’assemblée départementale puis à la consulte de 1794 qui désigna le roi d’Angleterre comme roi de Corse. Gian Antonio serait allé habiter Florence pendant la période du royaume anglo-corse. Mais il était pourtant bien présent au baptême de son petit-neveu. Sa signature est bien visible en bas du document, juste au-dessus de celle du curé Giovanni Bonifacy.

 

   Le nom et la signature sont mis en évidence ici par un soulignage vert. 

 

Pascal Paoli avait un filleul à Poggiolo


 

 Une longue carrière

 

   Le filleul de Pascal Paoli vécut à Poggiolo.

 

   Carlo Francesco Pasquale devint greffier de justice de paix du canton de Soccia, peut-être avec l’aide de son grand-oncle Gian Antonio. Le représentant du Père de la Patrie lors du baptême était devenu un personnage important: dernier vicaire général du diocèse de Sagone, secrétaire général de la préfecture sous Napoléon Ier, invité au mariage de l’empereur avec Marie-Louise, il fut nommé sous la Restauration conseiller général du canton de Soccia, tout en étant curé de deuxième classe de Soccia avec autorité sur les desservants de Guagno, Orto et Poggiolo. 

 

   Il n’est pas interdit de penser qu’il ait permis à Carlo Francesco Pasquale de devenir maire de Poggiolo en été 1821 (à 26 ans!). A cette époque, les maires des petites communes n’étaient pas élus mais désignés par le préfet, donc avec l’accord du gouvernement.

 

    «L’homme le plus cultivé de Corse», qui avait, disait-on, la plus grande bibliothèque de Corse, servit fidèlement l’administration, favorisant la diffusion de la langue française dans la presse et les écoles corses. 

 

    Le filleul de Paoli fit de même dans son domaine. A partir de 1824, tous ses actes d’état-civil furent rédigés en français. En revanche, dans les documents où il fut remplacé par son adjoint Antoine François Pinelli, le texte était entièrement en italien. 

 

   Rappelons que l'obligation de rédiger les actes d'état-civil dans la seule langue française date de 1852.

 

   Le maire de Poggiolo n’utilisait chaque fois que son premier prénom sous la forme française de Charles, oubliant complètement Francesco et surtout Pasquale. Très souvent, il écrivait simplement: «Pinelli maire».

 

Pascal Paoli avait un filleul à Poggiolo

 

   Sa fonction l’entraîna à enregistrer le décès de son grand-oncle Gian Antonio Pinelli, rappelé à Dieu le 26 décembre 1832 en la maison familiale de Poggiolo.   

 

Maison Pinelli (photo Michel Franceschetti).

Maison Pinelli (photo Michel Franceschetti).

 

   Maintenu à la tête de la municipalité poggiolaise sous la Monarchie de Juillet, Charles signa son dernier acte d’état-civil le 2 juillet 1847. Il décéda le 14 avril 1849 à l’âge de 54 ans. Il ne s’était pas marié et n’avait pas d’enfant.

 

    Paradoxalement, le filleul de Pascal Paoli fut un acteur docile de la francisation à Poggiolo.

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La vie de Gian Antonio PINELLI, l'homme le plus cultivé de Corsea fait l'objet de trois articles de ce blog auxquels il est bon de se référer.

 

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9 juin 2022 4 09 /06 /juin /2022 18:00

 

Le lieu montré par cette photo est connu: le Fragnu, à l'entrée de Poggiolo, avec la route qui, venant de Guagno-les-Bains, se sépare entre la partie conduisant à Orto et celle allant à Soccia.

 

Cet endroit, qui doit son nom à la présence ancienne d'un moulin à huile, a toujours été marqué par la présence d'une croix en bois qui a plusieurs fois été remplacée, la dernière fois en février 2015. Elle est plantée sur des rochers qui peuvent servir de sièges plus ou moins confortables, comme l'ont fait les deux hommes de cette photographie. Ils sont bien habillés à la mode de 1925-1930: costume, chemise blanche, cravate, chapeau. Peut-être était-ce un dimanche ou un jour de fête.

 

Leurs identités ont été données par le regretté Xavier PAOLI qui avait utilisé cette image pour l'exposition du 16 août 1999 (voir l'article "Quand les Poggiolais regardaient leurs ancêtres").

 

Hier et maintenant: repos au Fragnu

Le personnage de gauche se nommait Toussaint CECCALDI. Nous n'avons pas pu faire des recherches sur lui mais il faisait partie d'une famille connue  Si vous avez des renseignements, faites-en part au blog.

 

A droite et en avant, se trouve François SIAS. Nous allons porter notre attention sur lui.

 

Son nom n'a rien de corse. Son père, Napoléon Auguste SIAS, était né à Marseille en 1855. Il s'établit à Poggiolo comme cordonnier. A cette époque-là, les artisans étaient nombreux dans les villages dont les habitants allaient rarement faire des achats en ville.

 

De son union avec Marie-Hélène BONIFACJ (d'après l'état-civil d'Orto) ou BONIFACCI (d'après l'état-civil de Poggiolo) qui était née en 1861 à Orto, naquit François le 18 août 1899.

 

Il s'engagea le 19 janvier 1918 dans l'armée et fut l'un des près de quatre-vingt-dix Poggiolais ayant participé à la première guerre mondiale. Il fut affecté à l'artillerie lourde. Après l'armistice du 11 novembre 1918, il fit partie de l'armée du Levant jusqu'à sa démobilisation, le 12 février 1922.

 

La seconde guerre mondiale le rattrapa: il dut reprendre l'uniforme le 2 septembre 1939 pour rejoindre un dépôt du train des équipages. Il fut démobilisé le 6 août 1940, après la défaite française.

 

Il décéda à Poggiolo le 1er octobre 1958.

 

 

Hier et maintenant: repos au Fragnu
Hier et maintenant: repos au Fragnu

 

Même s'ils ont été légèrement arrangés et un peu réduits pour mieux installer les diverses versions de la croix, les rochers sur lesquels s'assirent Toussaint et François sont toujours là. Mais, à l'époque, l'arbre du fond ne s'était pas encore développé.

Hier et maintenant: repos au Fragnu
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4 juin 2022 6 04 /06 /juin /2022 18:00
Solution de la devinette. Hier et maintenant: des baigneurs prudents

 

Quand, en juillet 1969, ces deux baigneurs s'aventurent dans l'eau près de Tiuccia, ils ont quand même une vingtaine d'années.

 

Cette image est une copie d'écran d'un film tourné alors par Michel FRANCESCHETTI, ce qui explique sa qualité très moyenne. Mais découper la séquence permet de fournir plusieurs photos. 

 

Solution de la devinette. Hier et maintenant: des baigneurs prudents

 

Ici, on peut comprendre que le personnage de gauche semble entraîné par son camarade. Il faut voir le film pour s'apercevoir qu'il porte des lunettes. Il s'agit de Joël CALDERONI.

 

Solution de la devinette. Hier et maintenant: des baigneurs prudents

 

Le personnage qui se trouvait à droite et qui finit par se jeter à l'eau, tout en gardant sa casquette, était Jean-Marc TRAMINI.

 

Solution de la devinette. Hier et maintenant: des baigneurs prudents
Solution de la devinette. Hier et maintenant: des baigneurs prudents

 

Tous deux purent rejoindre les copains sur la plage pour blaguer et s'amuser. C'étaient les vacances d'été avec des plaisirs simples.

 

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9 avril 2022 6 09 /04 /avril /2022 18:00

Christian PINELLI, bien connu à Poggiolo, expose ses réalisations artistiques à Guagno-les-Bains. Une présentation de cet artiste a été publiée dans "Corse-Matin" vendredi 1er avril. Nous en reproduisons le texte et les photos d'illustration.

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François-Aimé Arrighi, directeur du Fam (foyer pour adultes médicalisé) de Guagnu I Bagni, organisait cette semaine le vernissage des œuvres de Christian Pinelli, résident de l'établissement.

 

Il y a un an, l'espace "Arti in Mossa" avait été créé pour accueillir les œuvres de ceux qui avaient participé aux ateliers d'art-thérapie et de médiation artistique de Marie-Claire Benedetti-Papadacci. Un projet auquel Christian n'avait pas participé.

 

Pourtant, celui qui depuis son enfance aime dessiner, sculpter l'olivier ou le châtaignier, et a fabriqué les panneaux de signalisation en bois du village, a pu reprendre sa passion depuis qu'il a intégré le foyer il y a quatre ans. Seul dans sa chambre. "Quand j'ai vu l'exposition l'année dernière, j'ai eu un déclic. pour la première fois, j'ai eu envie de montrer mes œuvres", explique-t-il.

 

Les œuvres de Christian PINELLI

 

"Le style que j'ai dans la tête est plutôt sombre"

Une vingtaine de toiles peintes à l'acrylique, autant de galets peints. Une toile représente quelques maisons de Guagnu I Bagni, une autre U Pighjolu et son clocher, tout le reste est sorti de son imagination. L'artiste donne sa vision de la Sibérie, de la Suisse ou du Canada, où il n'est jamais allé. Il peint des rivières, des forêts et des montagnes, avec des couleurs chatoyantes, dominées par l'orange.

 

"Pourtant, le style que j'ai dans la tête est plutôt sombre, avoue Christian. Mais avec la couleur, les tableaux rendent mieux." Et le résultat est gai et chaleureux.

 

Les œuvres de Christian PINELLI

 

L'exposition est ouverte au public du lundi au vendredi de 13h30 à 16 heures, et durera quelques mois. Les bénéfices des ventes sont intégralement reversés à l'artiste. L'exposition précédente a été transférée dans les locaux de l'agence régionale de santé à Ajaccio.

 

PASCALE CHAUVEAU

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30 mars 2022 3 30 /03 /mars /2022 08:00
Zaza le joueur

 

Surnommé "Zaza" par tout le monde, Xavier PAOLI participait avec plaisir à toutes les activités sociales d'U Pighjolu.

 

Cette très courte vidéo est extraite d'un reportage sur les animations qui égayèrent le village le 16 août 1999.

 

Zaza traduisait en français les numéros tirés du sac pendant la partie de "china" (loto) qui se passait devant l'ancienne mairie.

 

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29 mars 2022 2 29 /03 /mars /2022 09:56

 

 

Par ses recherches continuelles, qu'il conduisit aussi bien aux Archives d'Ajaccio qu'à celles de Gênes, Xavier PAOLI put découvrir de nombreux pans oubliés de l'histoire de Poggiolo et de ses habitants.

 

Il en fit profiter les lecteurs de sa rubrique "Tempi fà" dans le journal "L'info...U Pighjolu" en 2007-2008. Il était souvent sollicité par des demandes de généalogies auxquelles il répondait toujours avec gentillesse et compétence.

 

Le document publié ici est l'histoire abrégée du village qu'il rédigea, à la demande de Jean-Martin FRANCESCHETTI, voici une quinzaine d'années sous forme de prospectus  destiné aux touristes et curieux.

 

Il constitue la base que devrait savoir chaque Poggiolais pour bien connaître ses racines.

 

 

Xavier ou la mémoire de Poggiolo
Xavier ou la mémoire de Poggiolo
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28 mars 2022 1 28 /03 /mars /2022 06:53

 

 

TOUTES NOS CONDOLÉANCES 

À MARIE-ANGE,

À JEAN-BAPTISTE 

ET À TOUTE LEUR FAMILLE.

 

Xavier nous a quittés
Xavier nous a quittés
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31 janvier 2022 1 31 /01 /janvier /2022 18:53

 

 

È campà quì est une émission de France Bleu RCFM présentée du lundi au vendredi à 10h45 et à 17h40 par Christophe ZAGAGLIA.

 

 

Le journaliste va chaque semaine à la rencontre de ceux qui font vivre leur village, leur micro-région, leur quartier...

 

 

Jean-Mathieu Corieras © Radio France - È campà quì

Jean-Mathieu Corieras © Radio France - È campà quì

 

Balade dans les villages des Deux-Sorru cette semaine!

 

 

1ère étape au village d'U Pighjolu, chez un éleveur et castanéiculteur: Jean-Mathieu CORIERAS.

 

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19 novembre 2021 5 19 /11 /novembre /2021 10:40

 

L'affaire des manuscrits de Louis-Ferdinand CÉLINE est évoquée ce soir vendredi 19 novembre sur France 5, à 20h55, dans la série "Le doc stupéfiant".  Poggiolo et Oscar ROSEMBLY y ont leur place.

 

L'émission intitulée "Céline, les derniers secrets" développe, au bout de 46 minutes,  la piste poggiolaise, à savoir qu'Oscar ROSEMBLY, qui fut très proche de l'écrivain, aurait volé les manuscrits et les aurait cachés à Poggiolo.

 

Contrairement à ce que croyait Céline, Oscar n'était pas juif.

Contrairement à ce que croyait Céline, Oscar n'était pas juif.

 

On peut assister à une discussion entre Véronique CHOVIN, une des ayants-droit de l'écrivain, et Pierre MARTINI, cousin d'Oscar ROSEMBLY, devant la fontaine du Lucciu.

 

Poggiolo à la télévision avec Pierre et Oscar
Poggiolo à la télévision avec Pierre et Oscar

 

Pierre MARTINI explique que, à son avis, les manuscrits volés par Oscar à la libération de Paris, ont été cachés dans la soupente de la maison où il habitait au village.  

 

Il montre le lieu à Véronique CHOVIN qui trouve cette histoire comme la plus vraisemblable.

 

Poggiolo à la télévision avec Pierre et Oscar
Poggiolo à la télévision avec Pierre et Oscar
Poggiolo à la télévision avec Pierre et Oscar
Poggiolo à la télévision avec Pierre et Oscar
Poggiolo à la télévision avec Pierre et Oscar

 

A l'occasion de ce documentaire, des vues originales de Poggiolo ont été filmées par drone.

 

Poggiolo à la télévision avec Pierre et Oscar

 

L'émission est disponible sur le site de France télévision.

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Présentation

  • : Le blog des Poggiolais
  • : blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù). Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
  • Contact

Qu'est-ce que ce blog?

Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité.
POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici.
Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO.
Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images.
Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).

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Le calendrier poggiolais

 

 

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Carnaval de Sorru in Sù

Samedi 26 avril: départ des chars à 16 h devant le FAM de Guagno-les-Bains.

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L'album de photos des Poggiolais:

Pour le commander, suivre le lien:

https://www.collectiondesphotographes.com/i-nostri-antichi-di-u-pighjolu-de-philippe-prince-demartini.html

 

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Votre ancêtre a participé à la guerre de 1914-1918?

Envoyez une photo de lui à l'adresse larouman@gmail.com

Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.

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Vacances de Pâques:

du samedi 12 avril au lundi 28 avril.

Vacances d'été:

samedi 5 juillet.

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La météo poggiolaise

Pour tout savoir sur le temps qu'il fait et qu'il va faire à Poggiolo, cliquez sur LE BULLETIN METEO

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