Deux communiqués annonçant des ouvertures estivales dans le canton viennent d'être publiés:
A MERENDELLA
Chers clients,
La Merendella est heureuse de vous ouvrir à nouveau les portes de son jardin le samedi 20 juin .
Le midi seulement jusqu’au 1 er juillet .
Au plaisir de vous accueillir.
Réservation au 0645356153
LES DEUX SORRU
L'Auberge "Les Deux Sorrru" à Guagno-les-Bains en Corse du Sud au pied du Lac de Crena, est prête à vous recevoir dès le 1er juillet 2020 ! 😃
Une Auberge familiale dans laquelle nous avons voulu que se marient avec harmonie, le confort contemporain avec la culture et les traditions de la Corse.
Une Auberge dont les chambres ont une vue sur les montagnes, que vous pourrez admirer depuis votre terrasse ou balcon.
Une Auberge où le Chef natif du Canton, vous prépare des mets faits maison selon ses recettes jalousement gardées, à partir de produits frais de la région. 🍲 Selon votre envie, mais aussi de la météo, deux terrasses extérieures et deux salles intérieures s'offrent à vous pour les déguster !
Une Auberge où j'ai plaisir à partager avec vous, mon amour de cette vallée à nulle autre pareille ! Où j'ai plaisir à vous recevoir, tout en ayant à cœur que vous gardiez le meilleur souvenir possible de votre séjour parmi-nous ! 🙂
Enfin, soyez bien assurés que tout sera mis en oeuvre pour que vous puissiez bénéficier à l'Auberge, d'un gîte et d'un couvert, dans le respect des normes sanitaires.
Portez-vous bien et à Bientôt, 🙂
Marie-Ange BONIFACJ
https://www.hoteldesdeuxsorru.com
https://www.restaurantdesdeuxsorru.com
A Soccia, dans le quartier de l'Umbriccia, il existe une maison d'habitation dont le style est très nettement celui des années 60. Sur sa façade, se lit toujours l'inscription "groupe scolaire François ANTONINI".
Elle fut l'école de cette commune et des villages voisins pendant quelques années.
Leca Anna-Maria ; Medurio Noelle, “groupe scolaire,” Médiathèque Culturelle de la Corse et des Corses
Après la seconde guerre mondiale, quand Orto construisait son école de style "néo-ceaucescu" (voir l'article précédent), Soccia édifiait la sienne.
Comme il est écrit sur la plaque posée sur la maison de l'Umbriccia, "ce groupe a été construit à l'initiative du docteur François ANTONINI, maire de Soccia de 1929 à 1962".
Leca Anna-Maria ; Medurio Noelle, “groupe scolaire,” Médiathèque Culturelle de la Corse et des Corses
François ANTONINI fut également conseiller général du canton de 1933 (après deux scrutins annulés pour fraude) à 1945. Il avait été auparavant un très bon combattant de 1914-1918, comme en témoignent les décorations placées sur ce marbre: croix de guerre (étoile de bronze), croix de guerre des TOE (étoile d'argent), médaille commémorative du Levant, Légion d'honneur (chevalier puis officier), ainsi que la Palmes académiques.
Les jeunes Socciais habitant toute l'année au village n'étaient pas très nombreux mais ils méritaient des locaux corrects.
La photo ci-dessous, trouvée sur le site Copains d'avant, montre seize élèves pour, semble-t-il, l'année 1950.
Le docteur ANTONINI se battit longuement pour obtenir cette construction dont il ne vit pas l'achèvement. Il mourut le 4 août 1966 à Ajaccio, quelques mois avant l'inauguration.
Le groupe scolaire comprenait deux classes et le logement pour un instituteur. Il fut inauguré le 12 novembre 1966, le maire de Soccia étant alors le docteur Antoine OTTAVY.
Les photos de cette cérémonie viennent du journal "Le Provençal Corse" et ont été reprises dans "Histoire d'un petit village de montagne au cœur de la Corse du Sud", historique de Soccia écrit par Jean-Baptiste PAOLI. On voudra bien excuser la faible qualité de ces images.
L'allocution du docteur OTTAVY fut suivie par celles du docteur CASANOVA, président du Conseil de l'ordre des médecins, du vice-recteur DUCHESNE et du préfet Maurice LAMBERT.
D'autres personnalités étaient présentes: le docteur François COLONNA, maire de Murzo et conseiller général de Vico, l'abbé CASTAGNINI de Vico, le curé MILLELIRI de Soccia...
La première photo montre une assistance concentrée au moment des discours. Le docteur OTTAVY est au centre, à côté du docteur CASANOVA. A gauche, avec un chapeau, la veuve de François ANTONINI était présente. Tout à droite, ne serait-ce point Judith qui avait enseigné auparavant à Poggiolo et qui était l'institutrice de Soccia?
Sur la seconde photo, pour le vin d'honneur, l'ambiance est beaucoup plus détendue.
Le personnage qui est tout à fait à gauche ressemble beaucoup à Laurent-Antoine PINELLI, dit "Antunarellu", le premier adjoint du maire de Poggiolo.
Mais, après un tel démarrage, l'école ne dura pas longtemps. Même avec les élèves des villages voisins, les effectifs étaient faibles et l'administration rectorale finit par imposer le regroupement de tout le primaire à Vico.
Et maintenant l'ex-groupe scolaire garde toujours son nom mais sa vocation est simplement de servir de logement.
L'article sur le photographe Antoine Mangiavacca a donné envie de mieux connaître ses œuvres.
Pour nos lecteurs qui n'ont pas encore pu se connecter sur la page Facebook de Klape, qui est à la fois son pseudonyme et le nom de son entreprise, nous vous proposons un diaporama composé d'une sélection des dernières photos publiées sur cette page.
Vous y reconnaîtrez, dans le désordre,
le bord de mer près de Sagone,
le lac de Crena,
la Spusata,
Cintu et Paglia Orba,
Rotondu avec le lac de Melu, Sorru in sù,
Bocca alle Porte,
le plateau au-dessus de la bergerie de la Minuticcia
Soccia photographié depuis l'Arbariccia lors des dernières neiges, avec Letia et Vicu au fond de la vallée
la cascade du Voile de la Mariée
Letia sous les nuages....
et aussi les villages de Soccia, Guagno-les-Bains et de Poggiolo au crépuscule, avec la Paglia Orba et la lumière du refuge Ciottulu di i mori visible en fond.
Bien entendu, Antoine peut réaliser des tirages de chaque cliché.
CONTACT :
KLAPE@HOTMAIL.FR.
FACEBOOK : KLAPE.FR
06.16.20.27.26.
L'actuelle pandémie de coronavirus réveille toutes sortes de craintes et fait remonter des souvenirs historiques. Elle fait penser à 1918.
Cette année est connue pour être la dernière de la première guerre mondiale. Mais, dans le bilan de la guerre, on oublie souvent les victimes de l’épidémie de grippe, appelée alors grippe espagnole, qui affecta pratiquement le monde entier.
Malades de la grippe dans un hôpital du Kansas, région où les premiers cas mortels furent enregistrés.
Pour sa part, la France eut à déplorer 240.000 morts.
Des célébrités comme Edmond Rostand et Guillaume Apollinaire moururent de cette maladie.
La Corse ne fit pas exception et fut touchée fin juillet 1918.
A Corte, la grippe dura du 4 août à fin septembre.
La grippe dans le canton de Soccia
La tradition orale rapporte que, pendant l’été 1918, il y eut plusieurs victimes dans le village voisin de Soccia et que l’on entendait tous les jours les cloches des enterrements. Par contre, Poggiolo aurait été épargnée. S'agit-il d'une légende ou de la réalité?
Pour répondre, il faut étudier la mortalité de ces communes pendant l'année 1918, ce qui est possible avec les tables décennales d’état-civil disponibles sur internet.
Elles montrent effectivement une forte poussée de mortalité à Soccia en septembre et octobre 1918 avec dix-huit décès pour ces deux mois, soit autant que dans l’ensemble de chacune des années précédentes.
A Poggiolo, il n’y eut que deux décès pour la même période, sur un total annuel de onze, soit moins qu’en 1917 où l'on avait compté quinze morts.
Il semble que Guagno ait également été touché par l’épidémie car on enregistra dix-neuf morts en octobre 1918, soit exactement la moitié du total de l’année pour cette commune. Il n'y avait eu que onze morts pour toute l'année 1917.
Le tableau ci-dessous compare mois par mois la mortalité en 1918 des quatre communes du canton: Poggiolo, Soccia, Guagno et Orto.
POGGIOLO | SOCCIA | GUAGNO | ORTO | |
janvier | 1 | 0 | 0 | 0 |
février | 0 | 2 | 1 | 0 |
mars | 0 | 0 | 4 | 1 |
avril | 3 | 0 | 2 | 1 |
mai | 2 | 1 | 1 | 1 |
juin | 0 | 1 | 2 | 1 |
juillet | 0 | 0 | 1 | 2 |
août | 0 | 1 | 2 | 1 |
septembre | 1 | 8 | 2 | 0 |
octobre | 1 | 10 | 19 | 0 |
novembre | 1 | 3 | 4 | 1 |
décembre | 2 | 2 | 0 | 0 |
total 1918 | 11 | 28 | 38 | 8 |
La hausse des morts en septembre et octobre pour Soccia et Guagno est évidente. Même si tous les décès ne viennent pas de cette maladie, la grippe espagnole a bien été présente dans ces deux villages.
A première vue, on pourrait croire que Poggiolo ait été épargné, ainsi qu'Orto. Mais les deux décès poggiolais d'octobre (Paule MARTINI, 4 ans) et novembre (Antoinette MARTINI, 11 ans) concernent deux filles de Paul MARTINI et de son épouse Marie-Thérèse, née VINCIGUERRA. Des témoignages familiaux attribuent leurs morts à la grippe espagnole.
En revanche, leur sœur Xavière (1905-1981) et leur frère Pierre (1910-1988) survécurent.
La grippe à l'armée.
Il se peut qu'à l'armée certains Poggiolais mobilisés aient été atteints par le virus mais aucun n’en mourut. Le seul cas certain de malade est François Antoine Demartini.
Né à Poggiolo en 1899, il avait été incorporé au 111e régiment d'infanterie le 18 avril 1918. Touché par la maladie, il en réchappa. Il vécut jusqu'en 1975.
La Corse n'est pas loin de l'Italie, à tel point que, depuis l'île, il est possible de photographier la tour de Pise.
Cet exploit n'est pas à la portée de tout le monde. Il faut un très bon matériel, se trouver au bon moment et avoir un bon emplacement. Ces conditions ont été réunies voici deux ans par Antoine MANGIAVACCA dont la photo de la ville italienne depuis le Monte Cinto a été récemment publiée dans le "Corriere della Sera". Cette image a, comme on dit, "fait le buzz" en Italie et en France et a valu à son auteur d'être interviewé par Pascale CHAUVEAU dans "Corse-Matin" du dimanche 1er mars.
Ce talentueux photographe, qui vit à Marseille et vient souvent à Soccia, est connu par les lecteurs de ce blog qui a publié plusieurs de ses productions. Par exemple, en mai 2017, il nous avait envoyé la photo d'un large panorama de la Corse depuis un sommet du Var. On pouvait bien y reconnaître le Tretorre et le Cervellu.
Panorama: Antoine Mangiavacca récidive - Le blog des Poggiolais
L'an dernier, nous avions été régalés de photos de Corse prises depuis le continent (voir l'article "Tretorre et Cervellu vus depuis le continent") par Antoine MAGIAVACCA. Le jeune photographe ...
http://poggiolo.over-blog.fr/2017/05/antoine-mangiavacca-recidive.html
Voici l'entretien paru dans "Corse-Matin":
Il y a deux mois, sa photo de Pise, prise du Monte Cinto, avait fait le buzz. À 23 ans, Antoine Mangiavacca, sous le pseudo de Klape, consacre son temps à sa passion pour l’image, avec professionnalisme et sensibilité. Chacune de ses photos interpelle, trouble, déclenche ce "je-ne-sais-quoi" qui fait la différence. Et si c’était tout simplement un talent fou.
La photo est-elle pour toi un simple passe-temps?
J’habite Marseille mais j’ai toujours passé toutes mes vacances à Soccia d’où ma famille est originaire. Et c’est ici en Corse qu’est née ma passion pour la photo. En faire mon métier était une évidence. Après le bac, j’ai passé un BTS audiovisuel option image, doublé d’une formation approfondie d’un an sur la photographie. Cela m’a permis de faire des stages intéressants, notamment chez Panavision, une référence mondiale dans ce milieu.
Après mon diplôme en juin dernier, j’ai envoyé des CV à des boîtes de production, des offices du tourisme… Mais il s’agit d’un milieu très fermé, et il est compliqué d’y rentrer. J’ai fini par créer mon entreprise en septembre dernier, en tant qu’auto-entrepreneur. Mes revenus sont encore bien trop insuffisants pour pouvoir en vivre, mais mes parents me soutiennent et m’encouragent. Cela me permet de consacrer tout mon temps à la photo.
Que signifie "consacrer tout son temps à la photo", quand un clic ne prend qu’une fraction de seconde ?
Je ne fais jamais de photo "au pif", chacune demande beaucoup de préparation. Par exemple, je sais que le 16 mars, il y aura un alignement parfait du couvent de Vico et de la Sposata avec le soleil qui va arriver par-derrière.
Il faudra que je prenne la photo juste avant que le soleil vienne sur la montagne. Il y a des éphémérides à ne pas rater pour obtenir l’alignement parfait et capturer de belles lumières. Je peux passer 30 à 40 heures sur Google Earth pour étudier les reliefs, je tiens aussi compte de la météo sur des sites pointus qui donnent le sens du vent, le taux d’humidité, la hauteur du plafond nuageux… Tout cela me renseigne sur l’objectif à choisir. Sans toutes ces données, on peut rater à un jour près un coucher de soleil intéressant.
Dernièrement, le journal italien Corriere della Sera a publié ta photo de Pise, prise du Monte Cinto. Quelle est la genèse de cette photo ?
En réalité, j’étais sur le Monte Cinto pour photographier la côte provençale, de Toulon à Monaco. En me tournant un peu, j’ai vu que Pise était faisable. Cette photo a été faite il y a deux ans, et je l’ai mise sur Facebook quand j’ai créé mon compte professionnel. Beaucoup d’Italiens photographient la Corse depuis l’Italie. Ils ont vu cette photo sur mon site, et l’ont partagée. Environ 2 000 personnes suivaient ma page depuis juin 2016, et en une semaine, les vues ont été multipliées par deux, et la photo a été publiée dans la presse. Je n’en revenais pas !
Est-ce que cette photo a lancé ta carrière ?
Pas encore tout à fait, mais de plus en plus de gens me découvrent à travers mon site, et cela m’a valu de nombreux messages qui m’ont fait chaud au cœur. Ils me remercient de photographier leur village ou leur belle région. Par ailleurs, un monsieur qui gère le musée d’astrophysique de Pise m’a appelé pour participer à une exposition sur les paysages lointains, pris en infrarouge. C’est une technique qui permet de voir plus facilement à travers les brumes.
L’été dernier, j’ai exposé mes photos dans mon village de Soccia, et, en août prochain, elles seront exposées au couvent Saint-François de Vico. Surtout des paysages et des ciels.
J’adorerais faire des portraits, ou des plaquettes pour les campings, hôtels ou Airbnb, mais personne ne m’en a encore demandé. En réalité, j’aimerais être un couteau suisse capable de tout faire.
En cadeau, une toute récente photo (elle a été publiée le 29 février sur la page Facebook de Klape, le pseudonyme d'Antoine).
"Le village de Soccia sous la brume matinale, avec les aiguilles d'Ortu et les crêtes de Rinella en fond éclairées par le Soleil. Les oiseaux étaient la cerise sur le gâteau pour cette image !"
Il est très agréable de regarder le reportage présenté par Celia PETRONI: "Deux Sorru. La Corse grandeur nature", qui a fait l'objet de l'article précédent. Mais...
IL COMPORTE UNE ERREUR,
une erreur d'autant plus importante qu'elle est au détriment des Poggiolais.
Après avoir laissé Jean-Mathieu CORIERAS à Saint Elisée, la présentatrice montre Soccia en s'exclamant "Comme c'est beau!" depuis l'héliport d'où le panorama vers ce village est superbe.
Mais, alors qu'elle déclare que Soccia "est principalement connu comme étant le point de départ des randonnées pour Crena mais pas que...", défilent des images de ... POGGIOLO !
Au bout de 7 minutes 50 secondes du début de l'émission, après le clocher arrondi de l'église de Soccia, on reconnaît sans contestation le clocher pointu de la chapelle Saint Roch.
De toute façon, chacun sait bien que Poggiolo est le plus beau et le meilleur des villages corses!
En attendant une émission complète sur Poggiolo, vous pouvez revoir la vidéo de ce reportage.
France 3 Via Stella vient de diffuser un nouveau reportage de la série "D'UMANE", maintenant présentée par Celia PETRONI: "Deux Sorru. La Corse grandeur nature".
Elle a choisi de rencontrer quatre personnages pour lesquels "le terroir reste une valeur sûre pour la créativité". Parmi eux, deux sont Poggiolais.
L'émission commence par Jean-Mathieu CORIERAS qui, avec ses mules, amène des matériaux à la chapelle Saint Elisée. Il en profite pour montrer le lac de Crena et évoquer la légende diabolique de sa création.
Celia rencontre ensuite à Soccia Cécile GRIMALDI qui dit bien clairement qu'elle est "Poggiolaise et mariée à un Socciais" et qui explique sa passion pour le travail des bijoux.
Près de Vico, Johanna SOTTON, l'éleveuse de chèvres, fait goûter son camembert corse.
Enfin, à Sagone, Pierre GERONIMI présente son laboratoire où il prépare des glaces en alliant toutes sortes de parfums inattendus.
Un reportage très plaisant à regarder.
Il comporte simplement une grosse erreur. Saurez-vous la remarquer?
Regardez cette photo.
Cet endroit avec la lette H est bien connu dans notre haut-canton car il joue un rôle important pour tous ceux, malades ou blessés, qui ont besoin d'être secourus.
A quoi sert-il exactement? Tout le monde le sait.
Où est-il précisément? La réponse est en principe connue de tous.
Depuis combien de temps existe-t-il? Là, c'est plus difficile.
Réponse demain.
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Dates à retenir:
Samedi 21 juin: Fête de la musique avec le groupe U Bandu.
Samedi 5 juillet: Vacances d'été.
Samedi 19 juillet: concours de boules "La Poggiolaise".
Samedi 16 août: fête de saint Roch.
Mercredi 20 août: concert du groupe Cuscenza.
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L'album de photos des Poggiolais:
Pour le commander, suivre le lien:
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Votre ancêtre a participé à la guerre de 1914-1918?
Envoyez une photo de lui à l'adresse larouman@gmail.com
Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.
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Les articles du blog se trouvent sur la page Facebook du groupe Guagno-les-Bains Poggiolo.