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17 novembre 2018 6 17 /11 /novembre /2018 18:15

Les Deux Sorru font partie de ce que le géographe Christophe Guilluy appelle la France périphérique, partie du pays qui est de plus en plus abandonnée par les pouvoirs publics. Un exemple de cet abandon est la confirmation de nouvelles fermetures  de centres des finances dont celui de Vico.

Les services publics s'éloignent. Pour la moindre démarche, il est recommandé d'utiliser internet mais il ne marche pas toujours dans notre micro-région et on n'arrive pas à entrer en contact directement avec un être humain pour bien s'expliquer. Il faut utiliser la voiture mais le trajet est long et, de toute façon, l'Etat fait pleuvoir des taxes au nom de la protection de l'environnement...

Abandon est bien le mot exact.

 

 

Vendredi 15 novembre, l'intersyndicale des finances publiques a manifesté ses inquiétudes à Ajaccio et à Bastia.

 

 

C. M. ET J. C.

À Ajaccio, quatre délégués se sont installés devant la porte du centre des impôts, parc Cuneo, pour proposer aux usagers - qui étaient nombreux hier à venir payer leur taxe d’habitation - de signer leur pétition. Cette dernière expose les menaces qui, à leur sens, pèsent sur leurs emplois ainsi que sur la mission de proximité de ce service public.

"L’État veut supprimer 50 000 emplois dans la fonction publique d’ici 2022. Nous sommes les premiers exposés. Ici en Corse-du-Sud, après les suppressions des trésoreries de Piana et de Porto-Vecchio, ce sont désormais celles de Sainte-Marie-Sicché et de Vico qui sont touchées. Ces trésoreries ont deux missions : la gestion du budget des collectivités et celle du recouvrement de l’impôt pour les particuliers. Cette dernière sera transférée à Ajaccio, ce qui impactera fortement le service public de proximité dont la réévaluation est pourtant inscrite dans la loi Montagne. Et ce sur une île qui compte de nombreuses personnes âgées qui ne peuvent pas utiliser les services en ligne", soulignent Matthieu Caillaud, le secrétaire général de FO Finances publiques et Cathy Paolini, la secrétaire générale de la CGT . Du côté de la direction intérimaire (une nouvelle tête est attendue depuis la mutation de Yann de Poujol de Molliens), on renvoie au mouvement national de suppression de postes et aux propos de Gérald Darmanin qui souhaite réorganiser d’ici 2019 les DGFIP, en tenant notamment compte du prélèvement à la source et de l’évolution du comportement des usagers.

"Les trésoreries de Sainte-Marie-Sicché et de Vico ne fermeront pas à proprement parler, elles garderont leur activité de gestion des collectivités locales. Le recouvrement de l’impôt sera en revanche recentré sur Ajaccio. Mais celui-ci peut se faire par téléphone, par écrit, par internet et sera de plus opéré à la source." Enfin, la direction qui déclare ne pas connaître l’impact des suppressions de postes sur la Corse-du-Sud, assure que les salariés de Vico et de Sainte-Marie-Siché ne seront pas impactés par le recentrage de l’activité de ces trésoreries.

(Corse-Matin, vendredi 16 novembre 2018)

L'abandon des périphéries continue

La trésorerie de Vico abandonnée aux animaux errants?

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9 novembre 2018 5 09 /11 /novembre /2018 17:48

Le décès de l'abbé Jean-Claude MONDOLONI, lundi 3 novembre, a touché de nombreux militants de la cause nationaliste corse. Cet homme d'Eglise a connu une vie très dynamique, depuis la défense de l'Algérie française au sein de l'OAS jusqu'à son adhésion à l'ANC (Accolta Naziunalista Corsa), tout en s'occupant de sa paroisse de Ponte Leccia. Il était devenu une référence incontournable.

Nous reproduisons ici l'article qui lui a été consacré par Morgane QUILICHINI dans "Corse-Matin" de dimanche 4 novembre.

Prêtre et militant
 

MORGANE QUILICHINI

L’homme d’Église le plus charismatique et le moins conventionnel de Corse est décédé. Toujours cash et sans compromis, il n’avait pas pour habitude de mâcher ses mots. Il laisse des milliers de fidèles orphelins

On le savait affaibli depuis longtemps, mais comme c’est souvent le cas pour ces gens que l’on a toujours connu, on espérait que, quelque part, il serait immortel.

Pourtant hier, Dieu a rappelé à lui l’abbé Jean-Claude Mondoloni. Au terme d’une vie à nulle autre pareille, qui l’a fait passer d’un prytanée militaire à la paroisse de Ponte-Leccia, après un détour par l’OAS et quelques séjours en prison, l’homme d’Église peut enfin goûter un repos qu’il n’a pas volé.

Cette existence qui aurait mérité que l’on en fasse un film, avait commencé en 1939, au Liban, à l’époque où le pays était sous protectorat français. "Je suis né sous les bombes, nous avait-il un jour confié. Des fois, on me dit que j’aime la bagarre, mais forcément... C’est de l’atavisme !"

Jean-Claude est au milieu d’une fratrie qui compte trois frères et deux sœurs jumelles. Papa est militaire, dans les chasseurs alpins.

Quelques années plus tard et alors que la famille est rentrée en France pour s’installer à Nice, il conserve comme le plus précieux des souvenirs les étés passés à arracher les patates chez son grand-père, "un p’tit paysan fauché comme tout" qui louait des terres au sgiò Fieschi à Petreto-Bicchisano.

Les années passent. Et celui qui est devenu un jeune homme plutôt remuant est inscrit au prytanée militaire de La Flèche, une prépa pour Saint-Cyr où, de son propre aveu, il ne foutra rien pendant deux ans. À l’issue, la prestigieuse école militaire lui tend les bras. Mais Jean-Claude préfère ceux de l’Organisation armée secrète, où il rejoint d’autres Corses, des juifs et des Suisses allemands. Vendu par son capitaine, le commando sera arrêté en Belgique et Jean-Claude Mondoloni ira derrière les barreaux. Pour la première des six fois où cela lui arrivera.

La foi, c’est en Espagne qu’il finira par la rencontrer.

Alors qu’il est en cavale de l’autre côté des Pyrénées, le fils d’un médecin de Montpellier le convainc de faire les exercices de Saint-Ignace. La décision d’entrer dans les ordres date de cette rencontre, mais avant, il reste un détail à régler. Car Jean-Claude Mondoloni est alors toujours poursuivi par la justice. Rentré en France, il fait "un petit tour par Fleury-Merogis", puis est présenté devant la Cour de sûreté de l’État qui le condamne "à 15 ans de taule" et l’amnistie le lendemain.

Prêtre et militant
Obsèques demain à Morosaglia

Au cours d’une longue entrevue, il s’en était amusé : "Je suis retourné en Espagne où j’ai fait un an de probation, un an de noviciat et deux ans de scolasticat. Et là on m’a dit - je ne sais pas où ils sont allés chercher ça - que je ne pourrais pas être religieux parce que j’avais trop mauvais caractère." Il aura pourtant le parcours que l’on sait, malgré son surnom de Cassius Clay. Et pendant trente-cinq ans, aura la responsabilité de la paroisse de Ponte-Leccia et de ses fidèles. Jusqu’au bout, l’abbé Mondoloni aura été présent et ce, malgré un départ à la retraite en 2016, où Leon-Papé Gnacadja lui succéda.

Jusqu’au bout, il fut un militant. Militant politique et culturel. Militant pour la paix et pour le peuple corse. En mai dernier et alors qu’il donnait la messe des commémorations de Ponte-Novu aux côtés du diacre Franceschi, il s’en était pris directement à l’État, arguant que l’on ne peut pas "débarquer dans un pays qui n’est pas le sien comme si on était chez soi. Quand on arrive en Corse, on est chez les Corses."Il avait également conjuré les élus locaux à tenir leurs promesses et à ne pas oublier "la maison de cristal".

 

Prêtre et militant

Emporté dans la nuit de vendredi à samedi par la maladie, l’abbé Mondoloni s’est éteint à la clinique Maymard de Bastia, entouré des siens. Bien qu’originaire du sud de l’île, il a décidé d’être inhumé à Morosaglia, au cœur de la paroisse qu’il dirigea pendant plus de trois décennies. C’est donc là que seront célébrées ses obsèques demain lundi, à 15 heures. "Il a demandé une messe très sobre, souligne l’archiprêtre Culioli qui, en l’absence de l’évêque de Corse, sera chargé de la présider. Il s’est éteint dans une grande sérénité, heureux d’aller retrouver le Seigneur."

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7 novembre 2018 3 07 /11 /novembre /2018 17:54
Commémoration du 11 novembre à Poggiolo

Angèle Pinelli, maire de Poggiolo, et son conseil municipal vous invitent à participer

 

le dimanche 11 novembre

à 11h

au monument aux morts de Poggiolo

 

à la cérémonie de commémoration du 100e anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918 et à l'apéritif offert par la municipalité qui suivra au bar le Belvédère.

 

 

 

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5 novembre 2018 1 05 /11 /novembre /2018 08:31
La Corse en vente à Marseille

Ce blog avait annoncé la prochaine vente aux enchères de documents et d'objets concernant l'histoire de la Corse (voir l'article La Corse sous le marteau).

La maison LECLERE procédera à ces enchères le vendredi 9 novembre à partir de 14 heures, 5 rue Vincent Courdouan, 13006 Marseille.

L'exposition des livres anciens, autographes, cartes géographiques, tableaux et gravures consacrés à la Corse aura lieu le jeudi 8 novembre de 10 h à 18h et le vendredi 9 novembre de 10h à 12h.

Une nomination signée par le roi Théodore, une lettre de l'impératrice Eugénie et une correspondance de Pascal Paoli avec Antonio Peraldi à l'époque du royaume anglo-corse font partie des lots proposés.

Le catalogue complet et commenté se trouve sur le site de la maison Leclere à l'adresse:

http://leclere-mdv.com/html/calendrier.jsp?t=f

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30 octobre 2018 2 30 /10 /octobre /2018 23:19
Tempête au bout du monde

Ça y est! Il est de retour!

Oui, à 21 heures, aujourd'hui mardi, le courant électrique est revenu pour éclairer les maisons et faire redémarrer tous les appareils indispensables à la vie quotidienne moderne.

Pendant plus de 24 heures, Poggiolo, ainsi que Soccia, en avait été privé. Dans ces conditions, on se rend compte de l'utilité d'avoir gardé une cheminée en bon état.

La tempête, avec forte pluie et vent terrible, ne s'est pas contentée de rompre les câbles électriques. Des arbres ont été abattus, dont un sur la route près des Trois Chemins. Le nombre de tuiles envolées des toits de plusieurs maisons est important.

Or, toutes les chaînes de télévision se sont limitées à montrer les images de bateaux malmenés par les vagues dans les ports d'Ajaccio et de Bastia, comme s'ils étaient toute la Corse.

Mais Poggiolo et Soccia sont au bout du monde...

Tempête au bout du monde

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Photos Michel Franceschetti.

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12 octobre 2018 5 12 /10 /octobre /2018 18:04
Mise en garde contre le vandalisme

A la suite d'incidents qui se sont multipliés récemment au détriment des bâtiments et des objets religieux, le diocèse de l'Eglise catholique de Corse met en garde la population en publiant le communiqué suivant:

Mise en garde contre le vandalisme

 

 

Un des derniers faits révélés:

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11 septembre 2018 2 11 /09 /septembre /2018 14:00

A l'occasion du cinquantième anniversaire de la catastrophe de la Caravelle Ajaccio-Nice, déjà rappelée sur ce blog (voir ICI), Noël KRUSLIN, journaliste de "Corse-Matin", a rencontré Jeanne GRIMALDI et Valère CECCALDI. Leurs témoignages occupent la dernière page de l'édition du 11 septembre du quotidien.

En voici la copie.

Photos Pierre-Antoine Fournil

Jeanne et Valère parlent de la Caravelle
A l’heure des 50 ans du drame de la Caravelle Ajaccio-Nice, Corse-Matin s’est rendu dans les Deux-Sorru, où les Ceccaldi veillent sur la mémoire des leurs qui figurent parmi les 95 victimes. Ils témoignent pour la première fois

Il faut d’abord grimper les ruelles abruptes et sinueuses d’U Pighjolu, à mi-pente entre Guagno-les-Bains et Soccia, pour entrer dans le petit cimetière. Le caveau familial des Ceccaldi s’y distingue car une plaque noire s’ajoute aux pierres tombales. Les noms de ceux qui n’ont pu être rendus à leur terre y sont gravés : Antoine Ceccaldi, 56 ans le 11 septembre 1968, Jean-François Ceccaldi, 34 ans ce même jour où il monta, en milieu de matinée, à bord de la Caravelle Ajaccio-Nice. Cette plaque, c’est Valère, le frère de Jean-François, qui l’a fixée au granite il y a 10 ans. Les mots y précisent les circonstances du drame d’une Caravelle "touchée par un missile auto-détecteur à infrarouge". Une vérité toujours ignorée. "Mais c’est ma vérité, insiste l’octogénaire, cadet d’une petite année de son défunt frère. Rien, désormais, ne peut me faire voir autrement les choses."

Jeanne et Valère parlent de la Caravelle

Domiciliés à Suresnes (Hauts-de-Seine), Valère Ceccaldi et son épouse Janine sont fidèles à un rituel immuable, celui d’un été passé au village, dans la maison familiale construite par un arrière-grand-père. Un lieu très riche en souvenirs. "Jean-François et moi y avons passé toute notre enfance." C’est dans les ruelles de ce même village que Valère apprendra le décès de son frère, il y a aujourd’hui 50 ans."Quelqu’un est venu m’alerter en me disant : "Valère, tu as vu ? Une Caravelle est tombée." À la seconde, je me suis demandé si c’était celle de 10 heures." Car Jean-François Ceccaldi, sous-officier de l’armée française en poste à Paris, avait quitté Poggiolo très tôt pour prendre ce vol."Nous étions venus au village pour assister aux obsèques de notre grand-père. Mon frère et notre cousin avaient programmé avant moi leur retour sur Paris." Le cousin dont parle Valère, c’est Antoine Ceccaldi, un instituteur qui vient tout juste de prendre sa retraite . Il est le papa de deux jeunes filles, dont Jeanne, 19 ans à l’époque. La presque septuagénaire vit à Paris, mais vient régulièrement au village où elle s’est assise aux côtés de son cousin pour nous rencontrer. "Tu te souviens, c’est toi qui m’as annoncé que papa était mort", lui rappelle-t-elle.

Pour Jeanne, "une charge émotionnelle encore trop lourde"

Forcément, Valère et Jeanne n’ont pas vécu de la même façon les heures qui ont suivi la catastrophe. Lui, alors trentenaire déjà installé dans la vie, était bien plus à même de faire face que sa jeune cousine qui eut pourtant la maturité de protéger les siens. "Ma sœur n’avait que 14 ans, c’est moi qui ai tout fait pour garder le secret pendant 24 heures. Je voulais qu’un médecin ait le temps d’intervenir et de donner des calmants à ma mère."

Cinquante ans après, Jeanne assure qu’elle a grandi très vite. Ce drame n’y est pas étranger. "C’est moi qui me suis occupée de toutes les formalités administratives", avoue celle qui n’a jamais voulu, jusqu’à ce jour, évoquer ces événements hors du cercle familial. "La charge émotionnelle a toujours été trop forte. Aujourd’hui encore, l’évocation de ces instants est encore très lourde." Le jour de notre rencontre, la présence de Valère fut pour Jeanne un précieux soutien. C’est lui qui se chargea, faisant confiance à sa mémoire, d’entrer dans les détails d’une catastrophe dont le secret-défense ne parvient plus à masquer la véritable cause.

Entre une thèse de l’accident qui ne tient plus depuis longtemps, une quantité de preuves et autant de témoignages étayant la thèse du missile ayant échappé à la manœuvre militaire avant de percuter la Caravelle, Valère n’a plus aucun doute. Au cours de ces cinquante dernières années, il a essayé de comprendre, cherché à savoir. Il a décrypté tous les éléments accréditant la thèse du tir de missile, pointé toutes les incohérences des rapports qu’il conserve précieusement. Il en déplie les feuilles jaunies par le temps pour souligner certains passages. "Regardez, il est question ici de "perforations relevées sur une partie du fuselage", expliquées par "le repli violent de la voilure au moment de l’impact". Pour moi, c’est plus que clair. Les perforations, c’est le Mazurka."  Allusion au missile dont Valère souligne l’évocation,"par un certain Forestier dans le rapport parlementaire. Il parlait d’un "dard de feu". Je regrette, mais il s’agit d’un terme militaire."

Un dîner parisien et "les secrets de Matra"

Dans la mémoire de Valère et dans celle de son épouse, d’autres épisodes, intervenus par hasard dans leur sphère privée, jettent encore le trouble. D’abord les mots d’un ami, un commissaire des Renseignements généraux qui leur glissa, quinze jours seulement après le drame :"C’est un engin Matra qui a frappé l’appareil." Puis, il y a une quinzaine d’années, lors d’un dîner organisé par des amis à Paris... "Un couple que nous ne connaissions pas y était invité, raconte Janine. Au cours de la soirée, nous avons fini par apprendre que le mari avait été ingénieur chez Matra, et dans la conversation, son épouse a carrément dit : "Il y en a des secrets chez Matra, comme l’affaire de la Caravelle." À ce moment-là, son mari lui avait demandé de ne pas en dire davantage."

Pour les Ceccaldi, comme pour toutes les autres familles des victimes de la Caravelle Ajaccio-Nice, le poids de l’absence n’aura cessé de se mêler à une forte conviction construite progressivement. Valère et Jeanne n’ont jamais adhéré à l’association portée par les frères Paoli. Non pas par rejet d’un combat collectif qui a fait beaucoup. Plutôt par volonté de préserver le caractère le plus intime d’un destin familial pas comme les autres. Croient-ils pour autant à une prochaine levée du secret-défense pour que la vérité éclate au grand jour ? Nous n’aurons pas vraiment de réponse à cette question.

Leur propre vérité leur suffit. Elle est en eux à jamais... et gravée au cœur du petit cimetière de U Pighjolu, près duquel Valère et Jeanne vivent un 50e anniversaire comme tous les autres. "Il n’y a pour moi, ce jour-là, aucun rituel. Tout est dans la tête. Mais au-delà du 11 septembre, à mon frère, j’y pense constamment."

Jeanne et Valère parlent de la Caravelle
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7 septembre 2018 5 07 /09 /septembre /2018 18:04
Le 8 septembre au col de Sorru

La fête de la Nativité de la Vierge Marie sera célébrée SAMEDI 8 SEPTEMBRE dans toute la Corse et notamment au sanctuaire N. D. de Lavasina.

 

Ainsi qu'il est de tradition, une messe sera célébrée à 10 h 30 à la chapelle du COL DE SORRU où se trouve une statue de la Vierge de Lavasina.

Le 8 septembre au col de Sorru
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6 septembre 2018 4 06 /09 /septembre /2018 08:00
Décès à Guagnu

Toutes nos condoléances.

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11 août 2018 6 11 /08 /août /2018 18:00

Le blog des Poggiolais va prendre quelques jours de vacances (oui, ça arrive!) mais il ne vous abandonne pas: voici quelques dates importantes d'événements prévus pour le mois d'août dans notre micro-région. Essayez d'y participer! 

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Chaque vendredi du mois d'août:

Les Débats de l'été

au couvent de Vico.

Programme en cliquant ICI.

 

Samedi 11 août:

Au couvent de Vico, à 21h30

concert du groupe polyphonique corse

Barbara Furtuna.

 

Mercredi 15 août:

Ouverture de la chasse au sanglier.

 

Mercredi 15 août:

ASSOMPTION à Soccia:

Messe à 11h et procession à 21h.

 

Mercredi 15 août:

à midi, inauguration de la rue Mgr Pierre Zevaco à Vico. 

Un apéritif suivra.

 

Jeudi 16 août:

fête de saint Roch à Poggiolo

A 18 h, messe et procession.

 

Quoi faire au mois d'août?

 

Vendredi 17 août:

challenge de pétanque  Umberto Chiti 

salle des fêtes de Poggiolo 
à partir de 10h 

inscriptions 20€ sur place 
1000€ de prix

 

Samedi 18 août à 18 h:

A Letia (église de Saint Martin),

conférence d'Antoine-Marie Graziani sur

"La route du bois Sagone-Aïtone"

Quoi faire au mois d'août?

Jeudi 23 août:

concert du groupe 

"Les Voix de l'Emotion" 

église de Vico 21h.

 

Mercredi 29 août: 

Messe à la chapelle Saint Elisée à 10h30.

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Présentation

  • : Le blog des Poggiolais
  • : blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù). Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
  • Contact

Qu'est-ce que ce blog?

Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité.
POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici.
Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO.
Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images.
Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).

Recherche

Le calendrier poggiolais

 

 

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Dates à retenir:

Chaque mardi de l'été: apéritif sous le tilleul du couvent de Vico.

Du 20 au 29 juillet: Festival Sorru in Musica.

Samedi 19 juillet: concours de boules "La Poggiolaise".

Samedi 16 août: fête de saint Roch.

Mercredi 20 août: concert du groupe Cuscenza.

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L'album de photos des Poggiolais:

Pour le commander, suivre le lien:

https://www.collectiondesphotographes.com/i-nostri-antichi-di-u-pighjolu-de-philippe-prince-demartini.html

 

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Votre ancêtre a participé à la guerre de 1914-1918?

Envoyez une photo de lui à l'adresse larouman@gmail.com

Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.

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La météo poggiolaise

Pour tout savoir sur le temps qu'il fait et qu'il va faire à Poggiolo, cliquez sur LE BULLETIN METEO

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