11 août 2009
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La beauté d'une femme est toujours rehaussée par ses bijoux, surtout s'ils sont de qualité. La qualité, la
finesse et l'originalité, voilà ce que recherche Cécile GRIMALDI. Elève de l'école de joaillerie du Louvre, installée au village depuis 2002, elle proposera ses créations lors de l'expo-vente qui
aura lieu à Poggiolo le 16 août de 19 à 21 h.
Ne manquez pas cette occasion d'acheter bague, bracelet, collier,
etc.
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8 août 2009
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Même (et surtout) dans un village placé sur la montagne, presque au bout de la route, il est
indispensable de communiquer aussi bien pendant les vacances d'été que lors des froides soirées hivernales.
Pour les accros d'internet, pas de problème. La clef 3G est même utilisable.
Autrefois, il a fallu attendre longtemps pour que le téléphone se popularise. Dans les années 60, deux ou trois personnes avaient une ligne téléphonique. La maison de
Rosine et Jean-Antoine FRANCESCHETTI faisait quasiment office de cabine téléphonique, ce qui arrangeait beaucoup de personnes. Mais ce n'était pas forcément l'avis de leurs
petits-enfants qui y passaient leurs vacances et qui étaient réveillés très tôt par les conversations des uns et des autres, ainsi que par le sempiternel: "Allo Vico. Ici, le 6 à Soccia. Je voudrais le ...". L'automatique n'était pas encore installé et il fallait passer par la
standardiste de Vico.
Ce temps est bien fini et chaque maison a désormais son téléphone. Les gens de passage et ceux qui ont leur ligne en dérangement peuvent utiliser les cabines téléphoniques.
Devenus presque obsolètes, il existe 152.000 publiphones dans l'ensemble de la France. Leur avenir est menacé (60% des cabines ont disparu entre 1997 et aujourd'hui). France Télécom trouve leur
entretien trop cher par rapport à ce qu'elles rapportent (leur volume de communication a diminué de 50% entre fin 2007 et fin 2008) et veut sous-traiter leur maintenance.
Pour le moment, il existe une cabine à Guagno-les-Bains, au bord de la route, un
peu plus bas que l'établissement thermal.

A Poggiolo, elle est sur la place Saint Roch.


Dans les deux cas, la cabine est souvent envahie par les toiles d'araignée et la porte n'existe pas ou si peu. Leur accès est parfois gêné par un
véhicule. Il faut avoir du courage pour arriver à composer un numéro.
Même si leur trafic est faible, faudrait-il les supprimer? Ne jouent-elles pas cependant un rôle de secours en cas d'urgence? Que faut-il en penser?
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7 août 2009
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Activités sportives
2 août 2009
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Une des originalités du festival Sorru in Musica est l'implication de la population de chaque village du canton.
Partout, on s'ingénie à organiser des animations musicales dans les rues, à faciliter l'écoute des concerts et à créer des moments de convivialité.
En dehors de Poggiolo (cf article du 31 juillet), on peut donner les exemples de Soccia et de Guagno.
1 - A SOCCIA, le 24 juillet, stagiaires de l'académie de musique et enfants du village ont fourni d'excellentes prestations dans l'église et
à côté de celle-ci.
Le dynamisme de Judith a permis cette réussite.
Le concert nocturne fut un moment très agréable, en plein air sur une place entourée de vieilles maisons.
Et la convivialité était bien présente ensuite...
...comme le montre une partie des cadavres de la soirée.
2 - A GUAGNO, dimanche 26 juillet, il y eut, bien sûr, les
danses d'enfants. Mais les adultes firent preuve d'originalité en organisant des "danses impériales" en costume. En voici la première partie:
L'ensemble des vidéos musicales et danseuses de Guagno est visible sur Youtube grâce à Marthe POLI. Cliquez
sur:
http://www.youtube.com/user/marthepoli
1 août 2009
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Actualités
31 juillet 2009
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30 juillet 2009
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Depuis sa création en 2004, le festival Sorru in Musica a marqué chacune de ses éditions par la fabrication d'un ou plusieurs tee-shirts. Les amoureux de la musique et (ou) des Deux Sorru ont à cœur de les porter. Voici une série incomplète de cette production.
28 juillet 2009
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Vendredi 17 juillet, a commencé à la chasse aux
"monstres", c'est-à-dire aux objets encombrants. La municipalité de Poggiolo a invité les habitants à se
débarrasser de tout ce qui occupe inutilement les maisons: vieilles télés, lave-linge hors d'usage, matelas crevés....
Le message a été entendu et Alexis a eu de nombreux voyages à accomplir jusqu'à la déchetterie.

Les personnes qui voudraient le renouvellement de cette heureuse initiative peuvent le faire savoir à la Mairie (04.95.28.31.72).
23 juillet 2009
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Actuellement, il est de mise, quand on est en vacances, de se relâcher et d'avoir une tenue plus que décontractée.
Autrefois, les parents obligeaient les jeunes à être très corrects même les dimanches d'été et, bien sûr, le 15 août
(photo de 1967).

Et les aînés prenaient soin de leur apparence (photo de 1968? communiquée par Jacques-Antoine MARTINI)
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Faits du XX° siècle
18 juillet 2009
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La fête qui a eu lieu à Guagno pour les 100 ans de Marie-Madeleine POLI amène deux remarques:
- Tout d'abord, Marie-Madeleine contribua à l'encadrement de l'empire colonial français, comme beaucoup d'autres Corses de l'époque chassés par la misère. Née à Guagno le 22 juin 1909, elle est
devenue institutrice et s'est mariée le 27 août 1929 à Sébastien POLI à Bizerte. Le couple et ses enfants vécurent à Bizerte et Sfax jusqu'à l'indépendance de la Tunisie.
- Marie-Madeleine eut aussi un rôle dans l'histoire poggiolaise. L'article publié dans "Corse-Matin" le 14 juillet révèle que "de 1941 à 1944, c'est à Poggiolo qu'elle effectuera, avant
l'heure, ce qu'on découvre aujourd'hui: "le soutien scolaire". Nombre de Poggiolais ont bénéficié de ses conseils pédagogiques avisés, avec succès." L'école était alors à classe
unique et le dévouement de l'institutrice en poste ne suffisait pas toujours à aider chaque enfant.
P.S.: l'école de Poggiolo a été fermée en 1965 pour manque d'effectifs. Auparavant, elle n'était pas dans un bâtiment particulier et eut plusieurs localisations dans le village. Ci-dessous, des
photos des entrées de deux des maisons qui l'abritèrent.

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Faits du XX° siècle