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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 18:08

   La censure, par le Conseil Constitutionnel, de la taxation à 75% des revenus des plus riches a été l'objet de nombreux commentaires car elle est un camouflet pour François Hollande. Cette mesure était une de ses promesses-phares de la campagne électorale.

Mais, en Corse, les réactions concernent un autre point de la décision des neuf "sages".

   Au nom de l'égalité, la prorogation jusqu'en 2017 des arrêtés MIOT a été supprimée. Autrement dit, c'est la fin de l'exonération des droits de succession dont les insulaires profitaient depuis Napoléon Ier. L'île est victime des dommages collatéraux résultant de la suppression des fameux 75%.

   En principe, cette décision s'appliquera à partir du 1er janvier. Les notaires vont avoir du travail et les héritiers, à Poggiolo comme dans les autres communes, vont devoir mettre la main au portefeuille.

 

   Le site "Paroles de Corse" présente cette décision de façon humoristique dans un article dont voici le texte:

 

Exclusif : Ils ont arrêté Miot.

http://www.france-corse.fr/photo/art/default/4814071-7197428.jpg?v=1350296120   Fin de cavale pour André-François Miot en fuite depuis 1802. Il avait été nommé le 17 nivôse an IX aux fonctions d’administrateur général des départements de Corse, Liamone et Golo, et était l’auteur multirécidiviste d’une incroyable carambouille sur les droits de succession en Corse.

   Cette arrestation a été permise grâce au patient travail d’investigation du Conseil Constitutionnel qui a censuré le dispositif fiscal d’exonérations de droits de succession sur des immeubles situés en Corse. C’est un premier succès dans la lutte contre la mafia et l’omerta insulaire après les mesures prises par Manuel Valls et Christiane Taubira.

   Selon une source proche du dossier, l’enquête continue pour éclaircir les complicités dont aurait bénéficié Miot jusqu’en Octobre 2012 auprès des notaires et des élus insulaires notamment à l’Assemblée nationale.   

   Selon cette même source, cette arrestation, suite à des dénonciations locales, n’est qu’un premier pas et un véritable encouragement pour tous ceux qui en Corse rêvent de faire rentrer définitivement l’ile dans le droit commun républicain.

 

 

   Plus sérieusement, une pétition a été mise en ligne pour protester contre cette décision qui va "exproprier les Corses de leurs biens, de leur héritage, de leur terre." Femu a Corsica en lance une aussi.

   La polémique va certainement être importante et chaque Corse, politicien ou non, aura son mot à dire.

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30 décembre 2012 7 30 /12 /décembre /2012 10:00

La tradition du RINGRAZIAMENTU sert à marquer le passage de l’année nouvelle et remercier le Ciel d’avoir vécu l’année entière.

Elle aura lieu lundi 31 janvier à 15 heures à Guagno où elle sera célébrée par le Père Dominique et à Vico à 17 heures avec un office présidé par le Père Jo Thévenet.

Ces deux offices seront animés par la Cunfraternità di u Padre Albini.

 

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28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 18:00

Le 8ème marché de Noël a tenu ses promesses
Une vraie réussite. Le 8ème marché de Noël de Poggiolo s’est déroulé dans une ambiance exceptionnelle. Pas moins de 56 stands attendaient les visiteurs dans la salle polyvalente du village.
Des curieux qui entendaient bien sûr dégoter quelques bonnes idées de cadeaux avant la Noël. Agro-alimentaire, métiers d’art, produits artisanaux fabriqués dans les Deux Sorru, chacun a pu trouver son bonheur.

marché 2012 6


Avec, en prime, un stand conséquent proposé par la librairie La Marge, où les ouvrages des auteurs insulaires étaient en bonne place.

marché 2012 1
Pour la première fois, de jeunes artisans du canton des Deux Sorru, et plus précisément de Poggiolo, Soccia, Orto et Guagno, ont eu l’occasion de vendre leurs produits sur ce marché: farine de châtaigne et charcuterie, bien sûr, mais aussi foie gras fabriqué par Xavier Fondeville.

 

marché 2012 7

marché 2012 4
Autre première appréciable, une animation musicale a été assurée tout au long de la journée, grâce à l’initiative de Christian Passoni et de deux guitaristes, Paul de Sagone et Antoine de Renno. Avec, à la clé, un spectacle de qualité.

marché 2012 2

La soirée s’est terminée par le traditionnel tirage de la tombola, avec des billets de bateau et d’avion en jeu grâce au soutien de la SNCM et d’Air Corsica.
Numéros gagnants: 19, 25, 27, 39, 25, 62, 70, 76, 79

 

(article signé J-M F et publié dans "Corse-Matin" lundi 24 décembre)

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26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 17:16

En se retournant sur les mois passés, on peut se rendre compte que l'année 2012 a été très riche dans la zone des Deux Sorru. Un exemple en est fourni par les fouilles archéologiques de la cathédrale de Sagone. Le bilan en avait été donné très tôt, dès le 19 juillet, dans "Corse-Matin" d'où sont tirés le texte et les photos suivantes.

Daniel ISTRIA a lui-même présenté les fouilles qu'il dirige dans les pages 7 et 8 numéro d'août du mensuel "INSEME" que l'on peut consulter en cliquant ICI. Le chercheur signale que les objets découverts sur le site de Sant'Appianu sont déposés au Musée archéologique de Sartène.

 


http://www.corsematin.com/media_corsematin/imagecache/article-taille-normale-nm/image/protec/2012/07/19/17767528.jpg   Le squelette d'un enfant gît sur des tuiles, dans le fond de la tombe. Plus de seize siècles séparent les restes de ce petit garçon âgé de 4 ans, au moment de sa mort, de l'équipe d'archéologues qui vient de le découvrir. Et pourtant, l'émotion est palpable sur le site de l'ancienne cathédrale de Sagone. De la vie de cet enfant anonyme, les chercheurs ne sauront rien. Seules quelques traces de porosité sur son crâne trahissent la cause probable de son décès : une anémie thalassémique.

   Le sol autour de l'édifice religieux regorge de tombes et de témoignages des siècles. C'est bien ce que Daniel Istria est venu exhumer en terre des Deux-Sorru. Chargé de recherches au CNRS, il dirige une campagne de fouilles sur le site de Saint-Appien depuis 2007 en compagnie d'étudiants en archéologie venus d'universités continentales. Des fouilles programmées et autorisées par les services de la direction régionale des affaires culturelles (Drac).

Pourquoi un évêché à Sagone ?

   Comme sur chaque chantier, les questions se bousculent. L'une d'elles préoccupe Daniel Istria : comment un siège épiscopal a pu être installé au IVe siècle dans une zone rurale éloignée de tout ? Ici comme ailleurs, la réponse est dans le sol. Et ce dernier parle bien plus que l'on ne croit, même 1 700 ans plus tard. Une ancienne villa romaine, un baptistère et une nécropole ont commencé à livrer leurs secrets. Avec parcimonie.
http://www.corsematin.com/media_corsematin/imagecache/article-taille-normale-nm/image/protec/2012/07/19/17767527.jpg
   Les deux premiers éléments avaient déjà fait l'objet d'études à partir des années soixante. Devant la cathédrale ruinée, Daniel Istria explique l'histoire des lieux situés à 200 mètres du rivage : « Au IVe siècle, le site a vu la construction d'un établissement rural de type villa. Un peu plus loin, vers le littoral, se trouvaient des bains, des logements pour des esclaves et (ou) des paysans et une nécropole », développe le chercheur en montrant les alentours.

   Autour de la cathédrale, les archéologues ont commencé à remuer la terre… à coups de pinceau. Histoire de comprendre et de reconstituer l'organisation du site en douceur. Au Ve siècle, les abords immédiats de la bâtisse accueillent une nécropole avec un mausolée. L'espace privé était-il déjà de rite chrétien ? « Il est impossible de l'affirmer pour l'instant », regrette l'archéologue. Car ce n'est qu'entre le Ve et le VIe siècle que la première église voit le jour sur les ruines de la « villa ». Aucun doute n'est permis, l'établissement est dédié à Saint Appien, ancien évêque africain. Une inscription retrouvée sur une tuile le confirme : Sanctus Appianus iubante Deo Paulus fecit (Saint Appien, réalisé par Paulus, selon la volonté de Dieu). L'édifice annonce la fondation du siège épiscopal et donc de la cathédrale. Le pape Grégoire le Grand l'évoque dans une lettre adressée à Léon, futur évêque de Sagone, en 591. Pourquoi choisir Sagone pour édifier un évêché ? « Mariana et Aléria ne pouvaient pas couvrir toute la Corse. De plus Sagone est déjà un relais local, en particulier maritime, avec l'extérieur », ajoute Daniel Istria. Dans le baptistère cruciforme, pourtant déjà fouillé, l'équipe d'archéologues a mis au jour le trône épiscopal et pas moins de trente-huit monnaies de la fin du VIe siècle.

64 tombes étudiées

   Une fois le mausolée abandonné, les occupants du lieu ont eu la bonne idée d'y entreposer des poubelles. Une mine d'or pour les scientifiques. « L'année dernière, nous avons pu découvrir de la céramique de la région de Carthage, des monnaies, des perles, des boucles de ceinture ou des lampes en verre », précise Daniel Istria. Puis, à partir du VIIe siècle, plus rien. Le sentiment que l'activité s'est totalement arrêtée jusqu'au Xe siècle. C'est dans les strates de cette période que l'équipe a découvert soixante-quatre tombes.
http://www.corsematin.com/media_corsematin/imagecache/article-taille-normale-nm/image/protec/2012/07/19/17767453.jpg
   L'occasion pour Anne-Gaëlle Corbara, doctorante à Aix et spécialiste en archéoanthropologie, d'entrer en jeu. À chaque fois, les nombreux ossements d'adultes, enfants et adolescents sont nettoyés et examinés à la loupe. « Mais ils ne nous ont rien appris de nouveau pour l'instant », souligne-t-elle. Des morts qui ne demeurent pas silencieux car ils ont permis de découvrir une véritable économie liée aux pratiques funéraires.

   Malgré la « réactivation » du site religieux au XIIe siècle, Sagone a perdu sa cathédrale au profit de Vico. Elle ne la retrouvera jamais. Pourtant, son sol regorge de trésors témoignant de la grandeur de l'église primitive qu'il ne suffit pas d'exhumer. L'équipe de Daniel Istria s'emploie aussi à les faire parler.

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 08:37

Pour la fête de Noël, qui célèbre la naissance de Jésus, une image socciaise.

 

buon natale

 

 

 


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24 décembre 2012 1 24 /12 /décembre /2012 17:24

La nostalgie des Noëls d'autrefois avec Tino ROSSI. 

 

 

 

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23 décembre 2012 7 23 /12 /décembre /2012 18:00

  Avec Antoine CIOSI, entrez dans l'esprit de Noël.

 

 

 

 

 

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 18:00

A Poggiolo, les lumières ne luisent pas seulement à l'époque de Noël, comme l'indiquait l'article précédent.

L'éclairage municipal joue sa fonction pour permettre d'avoir des rues éclairées la nuit.

 

lumière rue

 

lumière mairie

L'église St Siméon se voit de loin par des lampes installées autour du bâtiment et dans le clocher.

 

lumière St Siméon

 

A l'entrée du village, la croix du Fragnu avait reçu un équipement particulier mais le branchement ne fonctionne plus. Certaines mauvaises langues disaient d'ailleurs qu'elle ressemblait ainsi à une croix enflammée, symbole du mouvement raciste américain Ku-Klux-Klan!

 

lumière croix Fragnu

 

La fontaine du Lucciu et le monument aux morts ont leur illumination particulière.

 

lumière Lucciu

lumière monument morts

La couleur change régulièrement grâce à des lampes installées aux angles de la clôture.

 

lumière installationlumière lampe

 

Ce système est identique à celui qui existe pour le monument aux morts de Soccia.

 

lumière monument Soccia

 

Il est vrai que l'installateur a été le même pour les deux villages.


Alors, quand la température nocturne n'est pas trop basse, on peut se promener dans les rues pour apprécier la lumière du village.

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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 07:10

A 14h30, aujourd'hui, aura lieu la cérémonie religieuse suivie de l'enterrement de Marphise DENARNAUD.

Toutes nos condoléances à sa famille.

 

Marphise

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 18:00

    Etait-ce parce que le président de la république française devait aller en voyage officiel en Algérie les 19 et 20 décembre ou était-ce un simple hasard?

   Toujours est-il que la chronique "Storia e storie" de Jean-Pierre GIROLAMI, dans "La Corse-Votre hedo" du 14 décembre, a pour titre "Louis XVI libère les Corses des barbaresques" et raconte comment le roi de France a fait libérer les Corses esclaves en Afrique du Nord..


    Pendant longtemps, la Corse a souffert de la piraterie et des raids barbaresques qui s'emparaient des habitants pour les vendre comme esclaves sur les marchés des ports du Maghreb.

http://web.ac-corse.fr/clg_porticcio/docs/histoire/barbaresques.jpg

    Les villages côtiers, trop exposés aux attaques, furent abandonnés du XVIème au XVIIIème siècle. A partir de 1569, l'évêque de Sagone dut même s'installer à Vico. Mais les pirates musulmans pouvaient parfois avancer loin à l'intérieur des terres, surtout à partir du golfe de Porto où ils préparaient leurs attaques avant la construction de la tour génoise. Des Poggiolais en furent peut-être victimes.

    Dans son étude sur "Letia et la région de Vico dans l'histoire de la Corse", François PAOLI donne des exemples bien précis sur les malheurs provoqués dans notre micro-région:

  "Cristinacce avait ainsi été la cible d'un raid terrible en 1550, à l'occasion duquel quatre-vingts personnes avaient été emmenées en captivité. En 1565, ce serait le tour d'Ambiegna, avec la prise de quarante-quatre habitants. Entre temps, en avril 1564, c'était au tour de Chidazzo et de Marignana de se trouver victimes d'une attaque. Celle-ci allait être victorieusement repoussée, grâce à l'alliance et l'intervention rapide des habitants des villages alentour, faisant plus d'une centaine de morts parmi les assaillants. Ceux-ci semblaient avoir été guidés par un renégat originaire de Renno, un certain Griscello. Il allait en être de même, au mois de mai suivant, à Appricciani, à côté de Vico.

A Letia, quand on étudie la liste des habitants établie pour le paiement des "tailles" en 1591, on ne trouve pas moins de deux "chefs de feu" prisonniers des Turcs."

 

 

    L'article de Jean-Pierre GIROLAMI raconte la fin de ces souffrances. En 1779, après http://www.visitvoltaire.com/images/louis_16_26k.jpgque le Roi de France eut payé une rançon de 250.000 livres au bey de Tunis et au dey d'Alger, un navire suédois ramena à Marseille cinquante-sept esclaves corses ainsi que vingt-quatre femmes et enfants provenant d'Alger et de Tunis. Ils avaient tous été capturés avant 1768, date du rattachement de  la Corse à la France. Un traité signé en 1770 obligeait les Tunisiens à rendre  immédiatement  les Corses capturés après ce rattachement.

    Le 19 août 1779, les Corses débarquèrent à Calvi, puis le 21 à Saint-Florent, puis à Bastia et les derniers, originaires du sud, arrivèrent le 2 septembre à Bonifacio et le 5 à Ajaccio. Ce retour fut accompagné de grandes cérémonies et d'acclamations qui en firent une excellente opération publicitaire pour le roi Louis XVI.

   Notre canton était concerné car deux des libérés, rachetés à Tunis, étaient originaires de Sagone:

- ROSSI (Georgio), capitaine, 47 ans, et "chef" du groupe des esclaves ramenés de Tunis (c'est lui qui a la liste de ses compagnons d'infortune). Accompagné de deux de ses filles. "Il fait part de son désir de servir sur mer, pour le roi, comme avant pour la nation corse"

- MARCHETTI (Sébastien), matelot, qui a 80 ans et qui détient le triste record de captivité au Maghreb: 41 ans!!!

 

   Si la Corse n'eut plus à en souffrir, la piraterie persista en Méditerranée jusqu'à la prise d'Alger par les troupes de Charles X en 1830.

 

   Mais tout cela est un passé très lointain...

 

   Renseignements complémentaires:

http://www.lafoliedix-huitieme.eu/les-lys-leur-eclat/topic2300.html

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Présentation

  • : Le blog des Poggiolais
  • : blog consacré à Poggiolo, commune de Corse-du-Sud, dans le canton des Deux-Sorru (autrefois, piève de Sorru in sù). Il présente le village, ses habitants, ses coutumes, son passé et son présent.
  • Contact

Qu'est-ce que ce blog?

Accroché à la montagne, pratiquement au bout de la route qui vient d'Ajaccio et de Sagone, POGGIOLO est un village corse de l'intérieur qui n'est peut-être pas le plus grand ni le plus beau ni le plus typé. Mais pour les personnes qui y vivent toute l'année, comme pour celles qui n'y viennent que pour les vacances, c'est leur village, le village des souvenirs, des racines, un élément important de leur identité.
POGGIOLO a une histoire et une vie que nous souhaitons montrer ici.
Ce blog concerne également le village de GUAGNO-LES-BAINS qui fait partie de la commune de POGGIOLO.
Avertissement: vous n'êtes pas sur le site officiel de la mairie ni d'une association. Ce n'est pas non plus un blog politique. Chaque Poggiolais ou ami de POGGIOLO peut y contribuer. Nous attendons vos suggestions, textes et images.
Nota Bene: Les articles utiliseront indifféremment la graphie d'origine italienne (POGGIOLO) ou corse (U PIGHJOLU).

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u mele in festa

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Pour le commander, suivre le lien:

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Envoyez une photo de lui à l'adresse larouman@gmail.com

Elle pourra être publiée dans notre dossier des combattants poggiolais.

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du samedi 19 octobre au lundi 4 novembre.

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