Autrefois, pour le farniente, si l'on ne s'appuyait pas sur le mur de la maison MARTINI, on s'asseyait tout simplement dans la Stretta, juste au-dessus de la route. Les adultes s'y mettaient plus volontiers que les jeunes, comme le montre cette autre photo de Jacques-Antoine MARTINI, prise vraisemblablement le même jour de l'été 1968 que la précédente.
Mais, à part Pierrot PIETRI qui est tout à fait à gauche, les autres Poggiolais visibles ici (et qui avaient tous une forte personnalité) nous ont, hélas, tous quittés.