Les trois articles parus ces derniers jours ("DU SANG À ST SIMÉON", "Du sang à Guagno-les-Bains" et "Du sang à Soccia") ont montré que nos villages avaient connu plusieurs fois, à différentes époques, des morts violentes, parfois particulièrement horribles.
Cela prouve que les grandes villes n’ont pas l’exclusivité de tels actes. Comme Georges BRASSENS l’écrivait et le chantait en 1962 :
«C'est pas seulement à Paris
Que le crime fleurit.
Nous, au village, aussi, l'on a
De beaux assassinats.»
Ce texte est extrait d’une chanson, intitulée «L’assassinat», qui servira de conclusion à cette série de textes.