Si vous avez connu
Jean-Pierre
FRANCESCHETTI
S'il vous manque comme à nous, nous manquent ses rires, ses éclats de voix, ses gestes;
Sa présence à cheval du côté de Vaccaghia, ou les vagues qu'il faisait dans le golfe de Porto;
Ses cris après sa mule, ou sa précipitation à être entouré d'amis autour de la cheminée,
Son intérêt et sa curiosité pour tout.
Sa volonté impérieuse d'être proche de sa famille, et surtout de vivre la vie à pleines dents.
Il y a sept ans, il nous quittait, vite, trop vite.
Mais il nous reste l'image de tout ce qu'il aurait pu faire encore.
Et quelquefois, au fond de la plaine de Camputile, résonnent encore la cloche de sa mule et ses éclats de rire.
(version actualisée de l'avis paru dans "Corse-Matin" le 7 février 2009)